Un exemple d'évolution (06/05/2011)
Julia set -
Une fois n'est pas coutume je vais parler de moi ce qui ne permettra plus à certains qui bien souvent s'éloignent du débat d'idées tentent de le faire à ma place - « Je suis fier de savoir que je suis né dans '' le péché '' »
Certains disent '' c'est dieu qui l'a voulut ou le veut
D'autres disent '' c'est l'intelligent dessin [ ou créationnisme intelligent ] qui l' a voulut car rien ne saurait-être le fait du hasard quand bien même conjugué avec la complexité
Résumé
Pour premiers, c'est dieu qui transmet aux hommes le Sida [ pour les fanatiques d'ajouter '' pour les punir...dans le sens des mythes ou interdits sexuels dans l'antiquité qu'évoque un R GIRARD plus grand devant l'éternel qu'académicien sous la coupole ]
Vachard ce dieu là, il commence par infecter les singes nos cousins les plus proches …
Oui, je vous vois venir, psychologiquement s'entend, je vous sent à C.R.A.N ou à couteaux tirés... eh bien, non – non et non je ne suis pas entrain de vous dire qu'un nègre s'est envoyé une femelle singe, en Afrique il y à aussi des européens de teint clair, plus ou moins sombre, voire pour certains trés foncé [ ce n'est pas moi qui le dit ce sont quelques cadres de F.F.F ] , des métisses de plusieurs origines...Désormais il est admis que '' les chercheurs du M.R.A.P '' , depuis peu, auraient trouvé une espèce animale nouvelle venant compléter le genre humain '' l' homme musulman '' - voilà, vous en conviendrez qui explicite ou illustre particulièrement bien la complexité
[ Après de tels propos avec le N.I.D, j'ai peu de chance d'être '' présumé innocent '' ]
Pour les autres, c'est dans '' l'ordre naturel '' , le Sida entre dans la programmation du créationnisme intelligent
Car voyez-vous, mon bon monsieur, ma bonne dame, le grand dessin ! [ Rire ]
Qu'est-ce qu'il est '' intelligent '' dans sa grande injustice le '' créationnisme scientifique '' et son phasme '' le créationnisme intelligent '' d'infecter les uns et non tout le monde
Vraiment pas équitable du tout...
Le créationnisme à donc désiré et programmé en copiant sur le dieu archaïque des chrétiens et des musulmans, mais juste pour faire plus malin de mettre en place une variante moins miraculeuse, pour faire scientifique, faire de telle sorte que les poissons changeraient de sexe au contact de la pollution d'une rivière
J'oubliais la cause des causes, qu'au préalable le créationnisme tellement, tellement '' il est intelligent '' qu'il avait d'abord une envie folle, irrésistible de programmer la pollution
Dire du créationnisme qu'il avait extraordinairement désiré, c'est bien trop faible, c'est indicible, surnaturel, dans sa prévision la plus spectaculaire n'a t-il pas programmer que le Président SARKOZY, s'arrangerait pour ne pas faire de réformes structurelles rien que pour prouver et signifier à son bon peuple qu'il est préférable de s'en remettre au clerc et non à l'instituteur
Voilà une remarque si chère aux créationnistes qui aiment à parler, s'empressent de façon très réductrice et d'attribuer la micro-évolution aux évolutionnistes au lieu du scientifique terme adaptation [ terminologie Darwinienne ], pour reprendre par exemple, après l'impact d'une météorite et la disparition de la plupart des espèces, comme s'ils n'existaient l'apparition notamment d'information génétiques nouvelles et ces derniers [ les évolutionnistes ] seraient donc si bêtes que cela leur aurait échappé...
Que voulez-vous mon bon monsieur et ma bonne dame, nous vous l'apprenons non sans plaisir qu'à l'époque les hommes sortaient en laisse ou avec muselière leur très très très gentils dinosaures pour de bon matin salir les trottoirs de nos mégapoles
La mythologie dans ce qu'elle a de moins riche ou d' appauvrissant manifestement aura pour quelques temps encore la possibilité de prospérer sur la crédulité...la mutation culturelle pour ceux quoi qu'ils en disent sont encore dépendant de la vielle idée [ obsolète ] de création,vivent encore sur les traces ou les éléments essentiels remontent au XVIIIe siècle, les idées du transformisme ne sont toujours pas à l'ordre du jour
Crab – 06 Mai 2011 -
Notes
Un exemple d'évolution
Supposons qu'un chevreuil naisse pourvu d'une fourrure plus dense qui lui permette de supporter une température plus froide d'une dizaine de degrés. Supposons que cet avantage soit héréditaire et qu'il le transmette à ses descendants. Ceux-ci (au fil des générations) pourront monter un peu plus haut vers le nord et se développer en grand nombre puisqu'ils jouiront d'un territoire inoccupé. Mais cela ne veut pas dire pour autant que les chevreuils normaux aient disparus. Les deux races pourront coexister pendant des milliers d'années. Si le climat se réchauffe, la première race prendra de l'importance puisqu'elle pourra monter brouter le territoire de la deuxième. Si, au contraire, le climat se refroidit, la deuxième race devient avantagée et il peut même arriver que la première race soit complètement éliminée.
Mais ce n'est pas si simple. Pendant les dizaines de milliers d'années de coexistence, il y eut sûrement toutes sortes de croisements entre les deux races de sorte que ce n'est plus des blancs et des noirs que nous avons, mais toute une échelle de gris. C'est-à-dire une gradation d'épaisseur de fourrures. Toutefois, advenant le cas d'une glaciation intense, et que 99 % du troupeau total meurent de froid et de faim, il est certain que le 1 % de survivants sera composé des plus purs représentants de la deuxième race (fourrure épaisse). Ces derniers donneront naissance à une nouvelle lignée de chevreuils qui auront tous, les caractères héréditaires de leur lointain ancêtre à fourrure plus épaisse.
Ceci est un exemple. Un des moyens utilisés par la nature pour faire fonctionner l'évolution s'appelle la sélection naturelle. La nature est sans pitié ; elle peut faire périr des millions d'individus simplement pour conserver les plus forts et ainsi commencer une nouvelle lignée. L'évolution est un phénomène très complexe qui n'est pas facile à saisir pour un humain. Pour y arriver, il faut se placer par la pensée, hors du temps et de l'espace à l'échelle humaine. Il faut être capable d'imaginer des millions d'années, des millions de générations, des millions de petits changements minimes. Cela demande un gros effort d'imagination pour un être humain dont la durée de vie ne dépasse pas cent ans.
Pour que l'évolution fonctionne, il faut trois choses :
-
Premièrement, une différence entre les individus
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Deuxièmement, des conditions de vie très difficiles. (où le moindre avantage physique peut représenter une question de vie ou de mort)
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Troisièmement, du temps, des générations. (2)
Explication de ces trois points :
1-Une différence entre les individus
Même à l'intérieur d'une même espèce, comme l'espèce humaine, il n'y a pas un individu exactement semblable à un autre. Cela est une nécessité pour le fonctionnement du phénomène évolutif. C'est aussi une réalité que tu ne peux nier et c'est en même temps, j'oserais dire, une preuve de l'évolution. En effet, si un dieu nous avait créés, il aurait bien pu nous faire tous identiques, mais pas l'évolution. Je ne veux pas trop parler de Dieu, ça c'est ton domaine, mais pourquoi nous avoir faits différents ? Tu vas me sortir une de tes réponses « fleur bleue » ? Bon. Mais alors, pourquoi n'a-t-Il pas fait les fourmis toutes identiques ? Cela n'aurait dérangé personne. Non, il y a autant de variété chez les fourmis, les pucerons, les arbres et les fleurs que chez les Hommes.
2-Des conditions de vie difficiles
Plus il y a de morts, plus les générations se succèdent rapidement, plus il y a évolution. Il peut y avoir momentanément dégénérescence, mais à long terme, il y aura évolution. C'est sûr, puisque c'est toujours le plus fort, le plus intelligent ou le mieux adapté qui survit. Et c'est toujours le plus faible, le malade ou le mal-adapté qui crève en premier. Or nous savons que la terre n'est pas un endroit facile à vivre. Le têtard (bébé grenouille) qui vient au monde dans une mare, n'a pas une chance sur dix milles de vivre 24 heures.
Les créationnistes se plaignent de ne pas voir l'évolution en marche. Est-ce que les enfants voient avancer les aiguilles de l'horloge ? Non, et pourtant elles avancent. On ne voit pas l'évolution parce que c'est trop gros, trop lent et qu'on est trop près. En plus, on ne sait pas où regarder. L'évolution, contrairement à ce que certains en pensent, n'est pas arrêtée. Il y a peut-être parmi nous, des spécimens humains des races supérieures qui nous succéderont dans quelques milliers d'années. Mais nous ne les voyons pas. Ils sont peut-être américains, ils sont peut-être russes ? Ils sont peut-être champions olympiques ou peut-être champions mondiaux d'échecs ou peut-être autre chose ? Nous ne savons pas. Pas plus que l'homme de Neandertal, lorsqu'il rencontrait un spécimen d'homo sapiens, ne pouvait s'imaginer qu'un jour cette race aurait pris toute la place et que sa propre race serait complètement éteinte. Probablement qu'un jour, l'homme moyen sera comme un mélange de champion olympique et de champion d'échecs d'aujourd'hui.
3-Beaucoup de temps
La planète Terre est vieille de 4,6 milliards d'années. Là-dessus je ne veux même pas discuter. Les créationnistes me font bien rire lorsqu'ils mettent en doute les systèmes de datation. Ces systèmes sont des machines. Est-ce qu'on met en doute des machines ? En 1987 ? Est-ce qu'on met en doute la télévision, l'ordinateur ? Voyons donc ! *
* (voir à la fin « Méthodes de datation »)
La marge d'erreur peut être plus ou moins grande, même très grande, tous les systèmes disent la même chose : la planète Terre est très vieille. Le Soleil et le système solaire en entier se sont formés il y a plus de quatre milliards d'années.
En tous cas, le chiffre de 6000 ans est impensable. Par exemple, il est impossible de faire entrer les dinosaures entre l'Éden et le Déluge. L'Homme n'a jamais cohabité avec les dinosaures. L'Homme n'a jamais chassé le dinosaure. Le dinosaure ne fait pas partie de l'histoire de l'Homme. Et la paléontologie nous dit que les reptiles géants ont dominé la Terre pendant 130 millions d'années. Il n'y a aucun dessin de dinosaures dans les grottes des hommes préhistoriques. À l'époque des dinosaures, il y a plus de 65 millions d'années, notre ancêtre était une sorte de souris ; heureusement trop petite pour intéresser un dinosaure. Même les paléontologues les plus croyants, admettent que l'Homme n'a jamais vu de dinosaures vivants. (3)
Source des notes: Pierre Cloutier
Source :
http://pages.infinit.net/pclou200/evol1987.htm
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ÉTHIQUE
Je joins ci-dessous un extrait d'un texte de conférence qui à le mérite de bien poser la problématique...
LE GÉNIE GÉNÉTIQUE
Les bioéthiques, et plus généralement les sciences du vivant, touchent à ce qu’elles ont repéré et produit pour l’instant comme étant la structure fondamentale du vivant complexe, à savoir l’ADN ; en cela, elles heurtent le concept de l’humain.
Dire cela évidemment ne simplifie en rien le problème de comprendre la venue du génie génétique comme intervention sur le vivant.
Au contraire cela nous engage à un effort de pensée, non pas pour trouver une solution experte qui réglerait le problème mais pour ce que l’effort lui-même de pensée apporte au sujet qui le crée et en soutient l’épreuve.
En ce sens vous voyez que nous pouvons remercier nos hôtes qui nous poussent à nous réunir pour échanger sur ce difficile dossier.
Les experts de la bioéthique ne feront réellement bien leur travail que si les sous-bassements citoyens de la société s’en préoccupent aussi, le prennent en souci.
Selon cette hypothèse, ce ne serait pas du côté du génie génétique que porterait un espoir nouveau ou un désespoir de plus, le bien ou le mal, mais dans notre façon de l’accueillir et donc de nous positionner.
Chercher, trouver une position dans le débat, c’est-à-dire dans l’articulation d’un discours à un autre, d’un discours qui ne serait donc pas insécable est sans doute la chance que les sociétés démocratiques offrent.
Un discours qui n’est pas insécable est un discours composé d’éléments hétérogènes, _ ici donc hétérogènes à la science _, mais qui peuvent grâce à leur rencontre présenter une cohérence.
C’est pourquoi nous partageons la vision de Jean Ladrière : « Bien entendu, une analyse complète de la dynamique de la science ne peut ignorer que la science n’est pas une pratique isolée, mais qu’elle est en interaction avec toutes les autres composantes de la vie sociale.
Par conséquent, il faut tenir compte, dans l’étude de l’évolution de la science, d’une part des facteurs d’ordre interne et d’autre part des interactions avec les autres formes de l’action humaine. » (p 42)
Source :
LE GÉNIE GÉNÉTIQUE :
NOUVEAUX HORIZONS OU TRANSGRESSION ?
Texte complet
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Suite sur les pages
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/laboratoire-de-zet...
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