BIBLIOGRAPHIE (27/08/2010)
« Les convictions sont des ennemies de la vérité plus dangereuses que les mensonges »
Friedrich Nietzsche - [ Humain, trop humain ]
Ce qui compte ce n'est pas, '' quoi penser ''- mais, '' comment penser ''
Les religions monothéistes sont par essence des idolâtries
Vidéo
http://blvids.free.fr/Universit%c3%a9_populaire_de_Caen_....
Le FAIT athée c'est l'ensemble des philosophies non matérialistes de la volonté de domination - qui ne font références à aucune hiérarchies artificielles*1 ( Démocrite - Épicure*2 - Jean Meslier, Julien Offray de La Mettrie, Locke, Gassendi, Helvétuis, D'olbach, Nietzche, R.Dawkins, M.Onfray, Alain Badiou, ect... )
*1 : la fable ou croyance en un dieu sans apporter la plus petite preuve associée à d'imaginaires arrière-mondes ( paradis-enfer ect...) constituent l'essentiel de que l'on nomme : les hiérarchies artificielles
*2 : Documentation :
http://crab.painter.free.fr/textes/Lettre_a_Pythocles.odt
Pourquoi Démocrite et Épicure ne sont pas enseignés ?
Les racines de la France ne sont pas chrétiennes, mais grecques
BIBLIOGRAPHIE
Cours accéléré d'athéisme
" Nous assurons, nous les athées que dieu n'est pas mort, car rien d'inexistant ne peut mourir."
( Antonio Lopez Campillo & Juan Ignacio Ferreras / Cours accéléré d'athéisme / 2004 )
Dieu n’est pas grand
Présentation de l'éditeur
A l'heure où la laïcité positive fait débat, où les thèses créationnistes tentent de s'imposer, où la question religieuse n'a jamais été aussi brûlante, Christopher Hitchens, chef de file des nouveaux athées, polémiste génial, " un des meilleurs journalistes de notre époque ", selon le London Observer, lance un pavé dans la mare : la religion empoisonne tout. La religion se mêle de sexe, contrôle ce que nous mangeons et exacerbe notre propension à la culpabilité en multipliant les interdits les plus arbitraires. La religion diabolise la science, se fait complice de l'ignorance et de l'obscurantisme. Source de haine, de tyrannie et de guerres, la religion met notre monde en danger. Avec un mélange jubilatoire d'érudition et d'humour, s'appuyant sur une argumentation rigoureuse et une parfaite connaissance des textes sacrés et des classiques, Christopher Hitchens nous livre un pamphlet intelligent et incisif, un brûlant plaidoyer pour un nouvel humanisme des Lumières. Que l'on soit fidèle croyant, fervent athée ou indécis, cet ouvrage soulève le débat et fait souffler un vent de liberté de pensée et de paroles.
Présentation de l'éditeur
" Il peut paraître étonnant que les pensées profondes se rencontrent plutôt dans les écrits des poètes que dans ceux des philosophes. La raison en est que les poètes ont écrit sous l'empire de l'enthousiasme et de la force de l'imagination. Il y a en nous des semences de science comme en un silex des semences de feu ; les philosophes les extraient par raison, les poètes les arrachent par imagination : elles brillent alors davantage. "
Descartes
Biographie de l'auteur
Henri Pena-Ruiz est l'auteur de nombreux ouvrages, dont le Roman du Monde (Flammarion, 2001, coll. " Champs ", 2004) et Les Leçons sur le bonheur (Flammarion, 2004). Il enseigne la philosophie au lycée Fénelon, à Paris.
Pour en finir avec Dieu
Richard Dawkins
Robert Laffont
(2008, 432 pages) "Imaginez, avec John Lennon, un monde sans religion... Pas de bombes suicides, pas de 11 Septembre, pas de Croisades, pas de chasses aux sorcières, pas de Conspiration des poudres, pas de partition de l'Inde, pas de guerres israélo-palestiniennes, pas de massacres de musulmans serbo-croates, pas de persécutions de juifs, pas de "troubles" en Irlande nu Nord, pas de "crimes d'honneur", pas de télévangélistes au brushing avantageux et au costume tape-à-l'oeil.
Imaginez, pas de Talibans pour dynamiter les statues anciennes, pas de décapitations publiques des blasphémateurs, pas de femmes flagellées pour avoir montré une infime parcelle de peau..." (Richard Dawkins)
Présentation de l'éditeur
Voici l'essai qui crée l'événement et vient à point nommé : où l'un des plus grands esprits d'aujourd'hui démontre qu'on peut en finir définitivement avec Dieu et vivre dans un monde sans religion.
Le biologiste Richard Dawkins, athée " pur et dur ", a un objectif : donner toutes les explications et les encouragements nécessaires au plus grand nombre d'esprits libres afin qu'ils se libèrent complètement de l'emprise de la religion. Et qu'ils soient fiers d'être athées, car, pour l'auteur, l'athéisme est presque toujours la marque d'une saine indépendance d'esprit, et d'un esprit sain. Richard Dawkins s'attaque ici non à une "version particulière" de Dieu, mais à tous les dieux et tout ce qui est surnaturel.
Pour ce spécialiste de l'évolution, la question de Dieu n'est pas hors de portée de la science. Insistant sur le fait que "la probabilité de l'existence de Dieu est extrêmement faible", il dit mener sa vie en se fondant sur le présupposé qu'il n'existe pas. Tout particulièrement choqué par le fait que les parents imposent leurs opinions religieuses à leurs enfants, Richard Dawkins, au nom du rationalisme, entre en guerre contre la forme de superstition la plus répandue selon lui et contre cette idée que pour avoir des principes moraux, on ne saurait se passer de convictions religieuses.
Qualifié par les scientifiques de "rottweiler de Darwin" pour sa défense virulente et efficace de l'évolution, désigné par le magazine Prospect comme l'un des trois plus grands intellectuels du monde (à côté d'Umberto Eco et de Noam Chomsky), Dawkins concentre aujourd'hui son esprit brillant sur la religion, qu'il dénonce en s'appuyant sur des démonstrations scientifiques. Un cocktail explosif qui a provoqué une chaude polémique dans tous les pays où le livre a été publié, lequel s'est vendu à plus de quinze millions d'exemplaires à travers le monde.
Biographie de l'auteur
Richard Dawkins, professeur à l'université d'Oxford, est un spécialiste mondialement connu de l'évolution. Son ouvrage le plus fameux est Le Gène égoïste, et plus récemment le remarquable Il était une fois nos ancêtres (publié chez Robert Laffont, octobre 2007). Site personnel de l'auteur : www.richarddawkins.net.
Le Mot de l'éditeur : Devenez sorciers, devenez savants
" Nous ne prétendons nullement dans ce livre renverser le cours des choses. Nous espérons seulement, en proposant quelques expériences de sorcellerie banales, montrer comment un certain nombre de sorciers modernes abusent le pauvre monde ! En apprenant à berner les autres, vous serez mieux préparés à déceler les boniments des marchands d'illusions qui cherchent à vous persuader de leurs connaissances hors du commun, que ce soit dans les domaines touchant à la santé, à la vie sentimentale ou à la politique. Nous ne voulons en aucun cas imposer une pensée unique, nous militons au contraire pour le doute, le scepticisme, la curiosité et la science. Restez savants, devenez sorciers ! "
Sommaire
Sorciers et savants
Les premiers stades de l'initiation
Les coïncidences exagérées
Enquêtes à la Sherlock Holmes
Droit au rêve et à la lucidité
A l'aube du nouveau millénaire...
Citation : « L'école est le symbole de l'enfant - qui dit pourquoi ? » - Georges Charpak
« Et te voici permise à tout homme »
Sans cette phrase du rituel juif que doit prononcer son ancien mari, une femme, même divorcée, ne retrouve jamais vraiment sa liberté – Eliette Abécassis
Les religions face
aux femmes"
ed Accarias-l'originel
Quelle place le judaïsme, l'islam, l'hindouisme, le bouddhisme, le confucianisme et le taoïsme ont-ils réservée aux femmes ?
Comment les ont-ils représentées à travers leurs mythes, dogmes et croyance ?
Comment les femmes ordinaires et la société en ont-elles été affectées ?
Comment les grandes mystiques se sont-elles adaptées au sein de religions définies par les hommes pour les hommes ?
Cette étude, la première de son genre par son ampleur, est constituée de chapitres indépendants pouvant être lus séparément. Elle comporte deux perspectives.
-
La première présente les religions et leurs textes sacrés une par une. Elle montre que, face aux femmes, Jésus, le Bouddha ou Mahomet ont souvent surpris leurs contemporains.
-
La seconde expose les dernières découvertes de l'anthologie, de la sociologie, de la génétique, de la psychologie et de la linguistique concernant la construction du masculin et du féminin.
Ce livre pose de nombreuses questions de manière neuve. Quels sont, par exemple, les rapports entre les croyances et la science ? ENtre la nature et la culture ? Entre les religions établies et la spiritualité ?
Comment les grands maîtres de deux sexes vivent-ils ce qu'on appelle les noces mystiques, l'éveil ou la libération ? La transcendance reste-t-elle pour eux un dieu sexué ( comme Dieu le Père ou comme la Grande Mère ) ?
Les limites sexuelles sont-elles infranchissables ?
Pour l'auteure de ce livre, une seule chose est sûre : l'évolution harmonieuse des rapports entre les sexes ne pourra pas s'appuyer sur les institutions religieuses.
Elle devra s'inspirer de l'expérience spirituelle, car c'est la seule qui ouvre à cette dimension d'amour et d'intelligence qu'on ne saurait représenter, et qui permette aux deux sexes de dépasser les conventions du " féminin " et du "masculin", pour devenir des êtres humains à part entière et témoigner du divin.
Présentation de ce livre par moi-même
En avant propos
Parenthèse
La religion islamique [une idéologie misogyne] n'est pas le sujet du livre. Mais je n'hésite pas pour ma part à établir un lien entre le conservatisme des patriarcats qui émanent de l'islam d'une opposition nette des valeurs de la cause des femmes
Dans une enquête récente publiéedans le Figaro, un jeune garçon répond à son prof d'histoire '' que la fille violée est une française, ça n'arrive pas chez nous ''
Cela je le redis une fois de plus ne préoccupe pas les associations autoproclamées antiracistes comme le mrap ou sos racisme
Que des filles qui se veulent libres soit insultées ou la pratique des traques à l'homosexuel ne les affectent manifestement pas - un jour un des intervenants du mrap m'avait répondu que tout cela n'entrait pas dans l'objet de leur association – depuis ce temps certains d'entre eux ont inventé '' l'homme musulman '' – tout un symbolique programme de défense de la misogynie islamique
Voir...
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/racisme-sexisme/
Et...
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/racisme/
Pour bien comprendre ce que signifie être civilisé –c'est à dire,les valeurs qui font notre identité d'hommes et de femmes français c'est être résolument déterminé à ne faire aucune concession à tout ce qui nuit à l'autonomie, à la liberté et à l'indépendance financière de la femme
Le garçon qui dit à son prof d'histoire '' que la fille violée est une française, ça n'arrive pas chez nous'' fait la démonstration que la religion [ l'islam ] génère le racisme actuel le plus odieux...
Les moraline judéo-chrétienne ont été défaite par la volonté exprimée par les féministes de ne plus être sous domination masculine et aujourd'hui que cela déplaise à certains de l'entendre, en tant qu'incroyant, je me sens plus libre que d'autres pour dire que l'islam n'est que le dernier reliquat de la phallocratie mais la plus totalitaire des religions et ne mérite aucun respect
Pour ne pas capituler devant ces obsédés de la main-mise sur les femmes et bien comprendre ce que signifie dans une société civilisé les droits de la personne et un réel antiracisme un livre bien fait à offrir à toutes les pré-adolescentes où qui devrait faire parti des livres scolaires gratuits ; ''Merci les filles'' de Valérie Ganne, Juliette Joste et Virginie Berthemet - Crab
Cachez moi cette liberté d'expression que je ne saurais voir
- Photo détournée par Crab -
Le blasphème
La vraie Scène de la vraie Cène
Proclamation ; le texte situé dans la bulle:
[ « En vérité je vous le dis, Judas sera nominé Prix Nobel du bon sens, seulparmi les mâles il comprend avant tous que le Féminisme Universaliste est l'avenir de l'homme » - Crab - ]
La chrétienté n'est en réalité qu'une radicelle dans la toile immense et complexe des racines grecques du Grand Arbre de notre Culture
La place de Manet dans l'histoire du féminisme
En une seule phrase
D'un homme, de l'artiste, la touche féministe, Olympia de son seul seul regard , coup fatal porté à l'idéologie du patriarcat, soudain au yeux du public la femme fut
Olympia -
Le déjeuner -
Suite sur...
Les vapeurs du hammam
[ Rappel : « L'islam ne serait-il qu'un voile destiné à brouiller l'esprit des adeptes ? La liberté des musulmans s'arrête là où commence le débat d'idées » - Crab ]
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/obscurantisme/
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LA RELIGION et L'ÉCOLE
Notes :
Citation : Concordat en Alsace-Moselle
Le régime concordataire est un élément du droit local alsacien et mosellan. Il reconnaît et organise les cultes catholique, luthérien, réformé et israélite. Il constitue donc une séparation incomplète des Églises et de l'État, même si à son entrée en vigueur il reconnaissait égales les trois confessions et la religion présentes.
Il est issu du concordat de 1801 signé par Napoléon Bonaparte, n'ayant été abrogé ni par l'annexion allemande en 1870 ni par le retour des trois départements au sein de la République française en 1919. Contrairement aux idées reçues, cet élément du droit local est donc issu du passé français des trois départements (et non de son passé allemand contrairement au droit local des associations ou le régime local de la sécurité sociale). Un avis du Conseil d'État du 24 janvier 1925 déclare que la loi du 18 germinal an X appliquant le concordat de 1801 est toujours en vigueur. Fin de citation
Perturbation de l’ordre réel
Ci-dessous :
La chambre d'écoute - Huile sur toile de René Magritte
...ils ont été trahis...
La laïcité n'est pas respectée par tous les français, ni par toutes les institutions – la religion est enseignée au frais de tous les contribuables [ incroyants et croyants ] en Alsace-Moselle mais n'est pas enseignée l'Athéologie [ Athéisme ]
Humiliant, les parents qui ne le veulent pas sont tenus de signer une dispense et voient leurs enfants obligés à la place de suivre des cours de morale
Il me paraît important de rappeler ici que l'athéisme au sens originel de relier est la religion de l'Éthique et non pas n'importe qu'elle moraline plus ou moins issue des religions duelle
Ils ont fait une guerre qu'ils ne voulaient pas faire – ils ont été trahis...
Suite sur...
Culture française - un village -
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/culture-francaise/
L'amour maternel est-il un instinct qui procéderait d'une " nature féminine ", ou bien relève-t-il largement d'un comportement social, variable selon les époques et les mœurs ?
Tel est l'enjeu du débat qu'étudie Elisabeth Badinter, au fil d'une longue et précise enquête historique. Avec lucidité, mais non sans passion
Notes:
Elisabeth Badinter, philosophe, spécialiste des Lumières, est maître de conférence à l'Ecole polytechnique. Elle est l'auteur, entre autres, de L'Amour en plus (Flammarion, 1980, réédition 2010), L'Un est l'autre ( Odile Jacob, 1986 ), Fausse Route ( Odile Jacob, 2003 ) et d'une magnifique histoire intellectuelle du siècle des Lumières chez Fayard ( 3 vol.). Son ouvrage Madame du Châtelet, Madame d'Epinay : Ou l'Ambition féminine au XVIIIe siècle a fait l'objet d'une adaptation en scénario pour la télévision, par l'auteur elle-même.
Son dernier ouvrage, Le conflit, la femme et la mère, paraît en février 2010, très exactement 30 ans après L'Amour en plus.
Mme du Châtelet, Mme d'Épinay ou l'Ambition féminine au XVIIIe siècle Elisabeth Badinter aborde le problème de l'ambition féminine à travers le destin de deux grandes dames du XVIIIe siècle : madame du Châtelet, qui fut la compagne de Voltaire, traduisit le grand oeuvre de Newton et fut l'égale des savants de ce temps. Madame d'Épinay, amie de Grimm, imagina une nouvelle pédagogie, critique de Rousseau, et traça le destin des futures mères. Ces deux ambitieuses, au sens le plus noble du terme, refusaient d'accepter les limites que la société leur assignait. Elles voulurent se donner toutes les chances dont elles se sentaient capables, en dépit de leur sexe. Madame du Châtelet incarne à nos yeux l'ambition personnelle, madame d'Épinay l'ambition maternelle, deux figures entre lesquelles se partage la vie des femmes. Quelles leçons peut-on retenir de ces deux carrières prestigieuses ? Une analyse qui nous conduit au coeur du XVIIIe siècle sans perdre de vue le présent le plus actuel
Résumé du livre
L'homme pourra-t-il, lui aussi, régénérer naturellement tout ou partie de son corps si complexe ? Pourrons-nous faire repousser des tissus ou même des organes entiers ? Les paralytiques pourront-ils remarcher ? Et pourrons-nous vivre éternellement ? L'apparition de techniques scientifiques ultramodernes - génomique, thérapie génique, biologie cellulaire ou clonage thérapeutique -, laissent penser que la régénération d'une partie du corps humain est désormais possible. Mais les questions soulevées demeurent nombreuses, d'ordre scientifique autant qu'éthique. Ce livre fait la synthèse des avancées dans un domaine encore méconnu du grand public, mais qui mobilise toute une population de scientifiques et de médecins : la médecine régénératrice.
Le Genou de Lucy
Voici l’histoire des jours anciens, notre histoire, celle de la « lente émergence de l’hominidé, de la difficile percée de sa conscience, du lourd redressement de son corps et de l’instabilité émouvante de sa bipédie, de la maladresse de ses premiers essais de taille de la pierre et de sa touchante ténacité à les améliorer ». Voici l’histoire d’une science, la paléoanthropologie, et de ses plus récentes avancées. Voici enfin l’histoire d’une vie de recherches, illuminée par la découverte de Lucy, objet de fascinations multiples. « À quoi sert la préhistoire ? Voici la réponse : elle met l’homme à sa place. Elle nous fait comprendre qui nous sommes, comment nous le sommes devenus et pourquoi. »
Présentation de l'éditeur
Michel Onfray, cohérent avec lui-même, s'en prend ici à une religion qui, bien plus que les monothéismes qu'il pourfendait dans son Traité d'athéologie, semble avoir encore de beaux jours devant elle. Cette religion, c'est la psychanalyse - et, plus particulièrement, le freudisme. Son idée est simple, radicale, brutale : Freud a voulu bâtir une « science », et il n'y est pas parvenu; il a voulu « prouver » que l'inconscient avait ses lois, sa logique intrinséque, ses protocoles expérimentaux - mais, hélas, il a un peu (beaucoup ?) menti pour se parer des emblèmes de la scientificité. Cela méritait bien une contre-expertise. Tel est l'objet de ce travail. Avec rigueur, avec une patience d'archiviste, Michel Onfray a donc repris, depuis le début, les textes sacrés de cette nouvelle église. Et, sans redouter l'opprobre qu'il suscitera, les confronte aux témoignages, aux contradictions, aux correspondances. A l'arrivée, le bilan est terrible : la psychanalyse, selon Onfray, ne serait qu'une dépendance de la psychologie, de la littérature, de la philosophie - mais, en aucun cas, la science « dure » à laquelle aspirait son fondateur. On sera, devant une telle somme, un peu médusé : Freud n'en ressort pas à son avantage. Et encore moins sa postérité – qui aura beau jeu de prétendre que si Michel Onfray conteste si violemment la religiosité en vogue chez les archéologues de l'inconscient, ce serait précisément parce qu'il craindrait de contempler le sien. Une « ouverture » biographique, semblable à celle qui précède chacun de ces essais, devance cette objection en racontant comment et pourquoi Michel Onfray a découvert - en vain - cette « science de l'âme » qui n'en est pas une.
Biographie de l'auteur
Il n’est pas nécessaire de présenter Michel Onfray, ni de rappeler la polémique qui a accueilli son Crépuscule d’une idole. Après avoir pris acte de l’émotion suscitée par sa critique iconoclaste du freudisme, et afin de dissiper les malentendus qui ont émaillé, bien souvent avec mauvaise foi, la publication de son ouvrage, Michel Onfray a éprouvé le besoin d’ajouter une Apostille à son essai. Il ne s’agit pas d’un repentir ou d’une auto-critique – mais d’une mise au point indispensable. Fin de citation
Point de vue
Après Nietzsche, Michel Onfray est le premier parmi les philosophes ; j'apprécie pleinement son '' grand œuvre '' sans que cela signifie, que j'adhère pour autant en totalité à sa proposition de mode de vie hédoniste – Je n'ai pas d'idole, ni de maître à penser, je ne crains pas le crépuscule, je prends le droit et le temps de jours comme de nuit de regarder le paysage de mes envies...
A propos de Nietzsche
Le concept de surhomme ne peut être associé à l'idée d'une société de maîtres et d'esclaves...
Vous aviez caricaturé Nietzsche en allant jusqu'à le traiter de précurseur du nazisme , c'est sans appel, je vous oppose la finesse de Michel Onfray
Lire la vidéo
http://crab.painter.free.fr/videos/Onfray_rencontre_Nietz...
Suite sur la page
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2011/05/29...
Crab
"Une femme en colère", de Wassyla Tamzali
par Élaine Audet Sur le site http://sisyphe.org/spip.php?article3677
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Avocate et auteure algérienne, directrice des droits des femmes à l’Unesco pendant vingt ans, Wassyla Tamzali a raconté avec passion, dans Une éducation algérienne (2007), comment elle a vécu la lutte pour l’indépendance de son pays. Dans Une femme en colère. Lettre d’Alger aux Européens désabusés (2009), elle interpelle les Européens qui, au nom de la "laïcité ouverte" et du respect de toutes les religions, n’hésitent pas aujourd’hui à sacrifier les droits fondamentaux des femmes.
Dans ce livre courageux, Tamzali montre que la laïcité ne peut réussir seule à faire le poids face à la notion de choix et aux arguments sur les accommodements religieux mis de l’avant par les islamistes. Pour elle, l’argument primordial doit reposer sur la dénonciation des valeurs patriarcales défendues et maintenues par toutes les religions, dont l’islam, qu’il soit modéré ou radical. Elle ne croit pas non plus à un féminisme islamique qui représente une contradiction dans les termes et une imposture.
Dans ce livre courageux, Tamzali montre que la laïcité ne peut réussir seule à faire le poids face à la notion de choix et aux arguments sur les accommodements religieux mis de l’avant par les islamistes. Pour elle, l’argument primordial doit reposer sur la dénonciation des valeurs patriarcales défendues et maintenues par toutes les religions, dont l’islam, qu’il soit modéré ou radical. Elle ne croit pas non plus à un féminisme islamique qui représente une contradiction dans les termes et une imposture.
Sur la question du libre choix par les femmes du hijab, du tchador, de la burqa et du niqab, l’auteure évoque à juste titre les arguments similaires à ceux qui prétendent que les femmes prostituées choisiraient librement de devenir de simples marchandises asservies aux fantasmes masculins les plus avilissants et violents. Bien au fait des luttes féministes dans le monde, elle démontre clairement comment sous le couvert de la tolérance religieuse, on a cherché à enterrer les droits des femmes. Face à une telle dérive, elle rappelle la question de l’esclavage et conclut que "la différence culturelle ne peut jamais justifier cette pratique, même si elle est inscrite dans le Coran ou dans les pratiques culturelles".
La religion comme critère d’appartenance
Les dérives des visions culturalistes et différentialistes ne sont pas d’aujourd’hui, note Wassyla Tamzali. Déjà en 1975-1985, en pleine décennie des femmes, Rigoberta Manchu du Guatemala, prix Nobel de la Paix en 1992, affirmait que "le féminisme est la dernière forme du colonialisme", remettant ainsi en question les revendications des femmes dans les pays du tiers monde. Sous la bannière des luttes nationales et anticolonialistes, on proposait subrepticement aux femmes la différence religieuse et culturelle comme principal critère d’appartenance et non celui de l’égalité des sexes.
Wassyla Tamzali remarque qu’on lui parle maintenant comme à une femme musulmane plutôt qu’algérienne et elle se demande avec humour "s’il ne faut pas désormais être voilée pour être vue ?" Le rapport d’altérité sur lequel se fonde tout dialogue n’existe plus que pour celles qui affichent leur différence culturelle et religieuse. Ainsi, précise-t-elle, "notre absence sur le terrain de l’identité [en tant que féministes] explique la place gagnée par les mouvements religieux qui, eux, répondent à la question de l’identité et en font la base de leur recrutement". Contrairement à ce qu’elle croyait, force lui est de reconnaître que la laïcité et la démocratisation n’entraînent pas automatiquement la reconnaissance de l’égalité des femmes. Comme le montre l’histoire, seules leurs luttes en sont garantes.
La primauté des droits religieux sur ceux des femmes
Les islamistes, remarque Tamzali, jouent sur la culpabilité des empires coloniaux, amenant une partie de la gauche et même des féministes à défendre le droit des anciens colonisés de vivre selon leur culture, selon leur identité. L’Assemblée nationale française, souligne-t-elle, en préférant mener un débat national sur la laïcité a ainsi mis de côté la question éthique de l’égalité des sexes qui seule aurait pu mettre fin aux arguments malhonnêtes comme le droit de "s’habiller" comme on veut, en taisant le fait que "la dissimulation des cheveux et autres parties du corps des petites filles conduit à une ségrégation sexuée, à la différence des autres signes religieux".
Pour l’auteure, "refuser les pratiques néfastes aux femmes qu’elles soient issues de la tradition islamique ou très clairement prescrites dans les textes coraniques, ce n’est pas être islamophobes, c’est simplement être féministes". Face au relativisme individualiste post-moderne, elle affirme lutter pour certaines causes "non parce que [s]on identité est maghrébine et musulmane, mais parce qu’[elle est] humaniste, anticolonialiste, démocrate et féministe". Ainsi dénonce-t-elle sans relâche le relativisme éthico-culturel qui, en France comme au Québec dans un cas de viol, fait acquitter un émigré ayant battu sa femme au motif "que c’était un trait de sa culture religieuse" !
Un islamisme modéré ?
"Qui sont les musulmans européens modérés ?", demande-t-elle. Pour le savoir, elle recommande "de mettre à l’épreuve leur rhétorique sur la démocratie et la laïcité, pour peu que l’on considère la question des femmes comme une part intégrante et indivisible de ces principes". Il lui paraît difficile de croire à un courant islamique modéré alors que la liberté de conscience est condamnée par la religion musulmane : "Un laïciste musulman ne pourrait parler de laïcité que s’il condamne fermement et clairement la notion de crime d’apostasie". Une condamnation, précise-t-elle, qui est non seulement morale, mais civile et pénale – y compris dans les pays dont le code pénal ne comporte pas de textes punissant ce crime."
Tamzali s’étonne que dans des pays laïques et démocratiques, on tolère l’exigence des musulmans "d’être acceptés sans modifier leurs comportements, la différence au nom de laquelle ils sont acceptés avec leurs us et coutumes, au nom de laquelle ils obtiennent le passe-droit exorbitant de vivre selon une morale et une ségrégation sexuelle contraire au principe fondamental de l’égalité des hommes et des femmes". Un principe qu’ils n’accordent, bien sûr, jamais aux membres de leur propre communauté. Les pays occidentaux, au nom de la tolérance et de la laïcité ouverte, intègrent peu à peu "des discours doctrinaires légitimant la violence contre les apostats à l’intérieur de la communauté des croyants et, à l’extérieur, contre les infidèles".
Pour croire à l’existence d’un courant musulman modéré, ajoute l’auteure algérienne, il faudrait que les personnes qui s’en réclament dénoncent publiquement "des règles incompatibles avec notre conscience moderne, comme la lapidation, la polygamie, les mains coupées, l’inégalité dans l’héritage, la ségrégation sexuelle." Elle rappelle que le plus connu des "modérés", Tarik Ramadan, "qui n’aurait pas pris un grand risque en condamnant la lapidation, n’a pas trouvé les moyens de ce courage, aussi minime fût-il". Il y a certainement lieu de se demander avec l’auteure si la cause de la popularité de l’islamisme, tant modéré que radical, ne serait pas justement son antiféminisme.
Un débat public et politique
Pour Tamzali, la définition de la laïcité n’est pas le respect de toutes les religions, c’est "d’abord et avant tout la liberté de conscience". Quant au discours multiculturel sur la diversité, il cherche simplement à maintenir les ghettos ethniques et à avoir la paix. Cet état de chose lui paraît tout aussi néfaste pour les femmes que le scénario à l’iranienne. Ainsi, poursuit-elle, "nous nous retrouverons, comme par le passé, face aux mêmes maux : le racisme, l’asservissement, le désir forcené de dominer et d’asservir tout un peuple à une idée, à une religion, à des intérêts privés, la réduction des femmes à leur rôle de procréatrices, l’ostracisme, la violence et la suppression de toutes les libertés, la tyrannie, le mythe de la communauté pure, l’ordre moral, la haine de l’étranger, le bannissement, cela s’appelait hier fascisme, colonialisme, aujourd’hui cela s’appelle fondamentalisme et islamisme modéré."
Elle invite à ouvrir les yeux et à constater que "les femmes sont l’objet d’un pacte secret consistant à donner le plein pouvoir aux hommes sur les femmes, plutôt que des droits démocratiques à tous les citoyens quel que soit leur sexe". Une vérité que plusieurs refusent de voir, car il leur faudrait remettre en question des privilèges qu’ils considèrent naturels ou d’ordre divin. Se voiler aujourd’hui, c’est s’inscrire dans un débat public et politique. Pour l’auteure algérienne, "seule la pensée féministe, qui est d’abord une pensée politique, est capable de renouveler l’analyse des dispositifs des pouvoirs autoritaires et leurs alliances, secrètes ou avouées, avec l’idéologie radicale religieuse". Elle souhaite que les Européennes pensent la condition des femmes émigrées, "comme elles pensent la leur" en fonction de la liberté de pensée et non de la religion pratiquée dans le pays d’origine de celles-ci.
Au Québec, où divers courants cherchent à donner la priorité aux droits religieux sur les droits inaliénables des femmes, où la question d’une Charte de la laïcité se pose avec de plus en plus d’acuité, le livre de Wassyla Tamzali, Une femme en colère, avec son écriture engagée, claire et directe, est incontournable pour bien comprendre les enjeux socio-politiques actuels.
Wassyla Tamzali donnera une conférence à Ottawa, le mardi, 19 octobre à 19 h, Local VNR 1075, Pavillon Vanier, Université d’Ottawa (136, rue Jean-Jacques Lussier),
à Montréal, le mercredi 20 octobre à 20 h, à la salle B-0305 du Pavillon 3200 rue Jean-Brillant, de l’Université de Montréal,
à Québec, le jeudi, 21 octobre à 19 h 30, 2e auditorium du Musée de la civilisation (85, rue Dalhousie).
Wassyla Tamzali, Une femme en colère. Lettre d’Alger aux Européens désabusés, Gallimard, 2009, 152 p.
Entrevues avec Wassyla Tamzali à Radio-Canada :
-
Entrevue à l’émission "Dutrizac l’après-midi", à 98,5 FM, le 20 octobre 2010.
Mis en ligne sur Sisyphe, le 7 octobre 2010
© Sisyphe 2002-2010
Antoine COYPEL – Peinture -
Démocrite conscient de l'inhumanité environnante, refuse de céder à la haine, à la misanthropie, à l'amertume et au dédain proposait un repli sur sa psyché [ son entendement ], non d'un repli sur soi, ouvrait ainsi la porte au débat d'idées
Démocrite
Ce tableau a été peint en 1692, comme l’indique la lettre de la gravure exécutée la même année et accompagnée d’un quatrain caustique:
Cet enjoué censeur des sotises des hommes
Et que rien n’a jamais aigry
Que n’a-t-il veu le jour dans le siècle où nous sommes
Il auroit bien autrement ri.
Antoine COYPEL[Paris – 1661 - 1722]
L'être humain [ l'espèce ] n'est pas au-dessus de la nature, [ il n'est pas une création ] il est la nature et en même temps une petite partie de la nature
L'art n'est ni du genre masculin ni du genre féminin, il est la nature
Un peu de détente
http://crab.painter.free.fr/videos/Religion_Foutaise_une_vid%c3%a9o_%c3%a9die_et_humour.mp4
http://blvids.free.fr/0%20Religion___Foutaise___une_vid%c3%a9o_%c3%a9die_et_Humour.mp4
« Fausse route »
Un pas en avant, deux pas en arrière. Constat peu glorieux ? Fausse route d’Élisabeth Badinter dresse un état des lieux des luttes féministes. Rappelant que la différence des sexes est un fait qui ne doit pas prédestiner aux rôles et aux fonctions, Élisabeth Badinter pointe, dénonce parfois, les contradictions d’un féminisme "obsédé par la problématique identitaire". Et l’auteur de poser la question : quels sont les réels progrès réalisés depuis quinze ans ? À étudier de près les phénomènes sociaux et comportementaux durant les deux dernières décennies, aussi bien dans le monde oriental que dans le monde occidental, on prend conscience de la pérennité d’une guerre des sexes, doublée d’une renaissance des stéréotypes sexuels. Au-delà de ce constat, Élisabeth Badinter décrypte la tendance insidieuse d’un nouveau féminisme qui a retrouvé les accents moralisateurs du judéo-christianisme, voire la naissance d’une "bien-pensance féminine" ou – pire – une dérive d’un féminisme guerrier.
Qu’on ne se trompe pas : la guerre des sexes a toujours lieu. Élisabeth Badinter rappelle que "l’indifférenciation des sexes n’est pas celle des identités. C’est au contraire la condition de leur multiplicité et de notre liberté". --Denis Gombert
Présentation de l'éditeur
Elisabeth Badinter est notamment l’auteur d’Emilie, Emilie : l’ambition féminine au XVIIIe siècle, des Remontrances de Malhesherbes, de la série des Passions intellectuelles. Avec Robert Badinter, elle a écrit Condorcet. Un intellectuel en politique. Sur les relations hommes/femmes, elle a publié plusieurs ouvrages classiques, L’Amour en plus, L’un est l’autre et XY, De l’identité masculine.
Pour les femmes, quels sont les progrès réels accomplis depuis quinze ans ? Le discours féministe qui se fait le plus entendre aujourd’hui reflète-t-il la préoccupation de la majorité d’entre elles ? Quels paradigmes féminin et masculin cherche-t-il à promouvoir ? Quel modèle de sexualité veut-il imposer ?
« À en croire certains discours, il ne s’agit plus seulement de condamner les obsédés, les pervers. Le mal est bien plus profond et touche la moitié de l’humanité. C’est le principe même de virilité qui est mis en accusation. D’un côté Elle, impuissante et opprimée ; de l’autre Lui, violent, dominateur, exploiteur. Les voilà l’un et l’autre figés dans leur opposition. On prône ainsi un encadrement de plus en plus strict de la sexualité masculine qui atteint par ricochet celle des femmes. L’élargissement progressif de la notion de crime sexuel et la répression mise en place depuis quelques années dessine la carte d’un sexe légal, moral et sacralisé en opposition radicale avec la liberté sexuelle dont usent les nouvelles générations. En luttant aujourd’hui pour l’élargissement de la répression du crime sexuel à la prostitution et à la pornographie, le féminisme bien pensant n’hésite pas à faire alliance avec l’ordre moral le plus traditionnel. L’enjeu de la bataille est fondamental : il ne s’agit rien moins que de la redéfinition des rapports entre hommes et femmes, et de leurs libertés réciproques. Lutter contre la domination et les violences masculines est une nécessité ; mais vouloir aligner le masculin sur la féminité traditionnelle est une erreur, sinon une faute. L’Un est l’Autre, à condition que persistent l’Un et l’Autre. Parallèlement, la remise à l’honneur de la différence biologique entre hommes et femmes est-elle propice à l’émancipation de celles-ci ? À faire du biologique le critère distinctif des femmes, on justifie par avance la spécialisation des rôles que l’on s’est efforcée de combattre depuis plus de trente ans. On redonne ainsi vigueur aux vieux stéréotypes. Il est à craindre que les hommes aient tout à y gagner et les femmes beaucoup à y perdre. » E. B.
D’amalgames en régressions, un bilan sans concession du discours féministe.
Fin de l'article de presse
L'exécrable pudibonderie
A l'époque, peu après la sortie du livre, je constatais que l'analyse de madame Élisabeth BADINTER dérangeait plus particulièrement les associations [comme par exemple en France les ''chiennes de garde''] dont j'avais relevé à leur encontre leur incapacité soit à comprendre ou à admettre que les religions duelle pérennisent [institutionnalisent] la vision patriarcale des rapports entre hommes – femmes, l'oubli que des hommes comme des femmes se prostituent - [que l'ennemi c'est le proxénète et pour répondre à l'urgence de mise en sécurité des personnes d'autoriser l'ouverture de maisons autogérées par les hommes et les femmes prostitués ]
Que la vision de la sexualité des hommes plus particulièrement par ce type d'association [''d'esprit peu française''] relevait ou ce rapprochait du discours du refoulement de la sexualité lecture à l'aune de l'autel de ce que les sociétés connaissent de pire, c'est à dire les idéologies pudibondes [totalitaires] qui ont ou sévissent encore aux État-Unis où en Angleterre où elles prirent corps – Idéologies qui dans l'actualité reflètent plus surement le projet politique des islamistes
Aussi nul n'est vraiment étonné que cette association [''chiennes de gardes''] est pris position contre le vote de la loi d'interdiction de la burqa – fort heureusement, elles auront aboyées en vain, la loi est passée...
Il est à noter que le mouvement qui combat le lait maternisé est parti des États Unis, des milieux pudibonds qui tentent de faire rentrer toutes les femmes à la maison sous le prétexte fallacieux qu'elles n'auraient pas d'autres aspirations que de devenir ''de bonnes mères'' allaitantes
Ce sujet est finement analysé dans '' le conflit, la femme et la mère '' - Crab
Suite...
ÉMILIE du CHÂTELET
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/emilie-du-chatelet/
Le conflit la femme et la mère
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/le-conflit-la-femm...
La bombe à retardement
du curé d’Étrépigny
Je crois pouvoir dire que quand il n'y aurait, par exemple, que les fables d'Esope, elles sont certainement beaucoup plus ingénieuses et plus instructives, que ne le sont toutes ces grotesques et basses paraboles, qui sont rapportées dans les Evangiles - Jean Meslier
Testament
Extrait
[…/...] Récemment, le livre de Barbierato, Percorsi della miscredenza a Venezia fra Sei e Settecento, nous a montré, justement pour la période dans laquelle ont vécu Jean Meslier et ses paroissiens, qu’à Venise, les manifestations d’incrédulité et les critiques politiques de la religion et du clergé, étaient monnaie courante jusque dans les classes les plus basses, où elles pouvaient parfois prendre l’allure d’une critique sociale et politique, ce à quoi – remarquons-le – est en elle-même susceptible de conduire la thèse de l’imposture politique des religions. Il nous paraît important, du point de vue de l’histoire, de rendre la fameuse formule à une voix d’en bas, qu’elle soit réelle ou fictive. Ce passage frappant – le « vœu d’un vrai philosophe » dira Naigeon, nous permet ainsi de prendre acte du fait que le curé d’Étrépigny n’a pas élaboré sa pensée à travers ses seules lectures, mais aussi et avant tout, en s’appuyant sur ses expériences, sur des rencontres, sur un contact direct avec la réalité économique et sociale de la France du premier xviiie siècle, déjà pénétrée d’un esprit d’insoumission et de révolte, pour minoritaire et marginal qu’il fût, mais sans l’existence duquel, on peut gager que le curé rebelle n’aurait pu composer son œuvre et sans lequel surtout, par-delà Meslier, les bouleversements de la fin du siècle resteraient complètement incompréhensibles.
Suite et source
http://dossiersgrihl.revues.org/4526
Albert Einstein
- Janvier 1954 - L’idée de Dieu est un "produit des faiblesses humaines", la Bible, "plutôt enfantine" (Albert Einstein)
Lettre d’Albert Einstein à Eric Gutkind
Cette lettre d’Einstein écrite en 1954, un an avant sa mort, prouve une fois de plus qu’Einstein n’était pas un croyant religieux, idée qu'essaient de faire accroire les adeptes du surnaturel
Lettre manuscrite adressée au philosophe Eric Gutkind décrit l’idée de Dieu comme "le produit des faiblesses humaines" et la bible comme "plutôt enfantine", permet en outre de mettre au placard des faussaires toutes les tentatives de travestir l’illustre penseur avec les couleurs de la foi religieuse
Mais aussi
"Ce que vous avez lu sur mes convictions religieuses était un mensonge, bien sûr, un mensonge qui est répété systématiquement. Je ne crois pas en un Dieu personnel et je n’ai jamais dit le contraire de cela, je l’ai plutôt exprimé clairement. S’il y a quelque chose en moi que l’on puisse appeler "religieux" ce serait alors mon admiration sans bornes pour les structures de l’univers pour autant que notre science puisse le révéler."
(Albert Einstein / 1879-1955 / "Albert Einstein : le côté humain" édité par Helen Dukas et Banesh Hoffman, lettre du 24 mars 1954)
"Je ne peux pas imaginer un Dieu qui récompense et punit l'objet de sa création. Je ne peux pas me figurer un Dieu qui réglerait sa volonté sur l'expérience de la mienne. Je ne veux pas et je ne peux pas concevoir un être qui survivrait à la mort de son corps. Si de pareilles idées se développent en un esprit, je le juge faible, craintif et stupidement égoïste."
(Albert Einstein / 1879-1955 / Comment je vois le monde / 1934)
HYPATIE
Hypatie de par sensibilité et ses actes serait représentative de ce que notre époque nommerait '' Les lumières '' - incroyante elle enseignait la philosophie et les sciences sans pratiquer aucune discrimination confessionnelle maintenait ainsi le principe du droit de penser qui avait fait les meilleures périodes de la civitas fondée sur un gouvernement civil laïque et le débat d'idée
Je dirais d'un pays ou prime le débat d'idées - qu'il est la civilisation -
Les racines de l'Europe ne sont pas Judéo-chrétienne ni islamiste mais grecques teintées d'un peu de la culture dû à la Rome antique
Notre langue, notre parler littéraire en ait la preuve la plus évidente, et c'est bien à la culture issue et développée depuis l'antiquité grecque, à travers les siècles, que nous devons les lumières - Crab
Suite
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/tu-aimeras-ton-pro...
Vidéo
http://crab.painter.free.fr/videos/1%20Hypatie_d_Alexandrie.flv
Ou sur
http://www.terre.tv/fr/protection-de-lenvironnement/repor...
Les racines de la France
ne sont pas chrétiennes, mais grecques
Hellénisme
La grande dame, la liberté et la république:
hommage à Jacqueline de Romilly
Jacqueline de Romilly (1913-2010) nous a quittés le 18 décembre dernier, cette grande helléniste, haute figure de notre culture républicaine, qui a tant défendu la place de l’enseignement du grec comme porte d’accès à une culture générale dont les lettres classiques constituent un des piliers jamais démenti. On lui doit cet intérêt porté à la Grèce antique et à sa culture, non comme l’héritage d’une histoire arrêtée aux ruines d’une civilisation passée, mais comme une des clés de la compréhension du monde contemporain. Elle fut toujours animée d’une foi sans hésitation dans les valeurs universelles nées de ce berceau athénien de la démocratie où elle prenait à chaque instant sa respiration.
Lauréate du Concours général la première année où les filles pouvaient concourir puis, première femme élue au Collège de France (1973), elle devait accéder à la reconnaissance suprême de l’Académie française en en devenant membre (1988), seconde femme élue à y occuper un des sièges sacrés. Ce fut l’un des aboutissements d’un parcours exemplaire qui a fait de sa carrière de femme dans un monde d’hommes une très grande dame de notre République.
Elle ne nous parlait pas seulement de culture et d’histoire, mais de liberté !
Grande spécialiste du monde grec, c’est de liberté dont elle entendait nous parler, celle propre à cette invention émancipatrice du politique et de la citoyenneté, se synthétisant dans le gouvernement des hommes par les hommes, se fondant sur l’interchangeabilité des droits, la conscience d’un bien commun supérieur à tous les autres, l’homme mesure de toute chose. Elle n’avait de cesse d’attirer l’attention sur cet homme nouveau surgissant de l’histoire, l’homme grec : celui qui fait les lois auxquelles il obéit.
Elle luttait contre l’oubli d’un legs essentiel transmis depuis l’antiquité auquel notre modernité doit beaucoup, un oubli parfois entretenu vis-à-vis d’un vieux continent européen trop facilement identifié par certains à l’unique héritage judéo-chrétien. Elle a inscrit le travail d’une vie de transmission et de fructification d’un domaine dans le prolongement des inventeurs d’une civilisation qui a eu l’ambition de donner à l’homme la maîtrise de son destin, avec une forme de conscience qui demeure aux racines de la nôtre comme sa toile de fond.
Dans un contexte de relativisme culturel qui ne joue pas en faveur de la défense de cet acquis universel parfois incriminé hors propos d’ethnocentrisme, elle n’a cessé de rappeler que l’homme agent de son histoire est né en Grèce entre le VIIIe et le IVe siècle avant notre ère et nulle part ailleurs, comme un cadeau à destination de tous les peuples. Elle en interroge le mystère, sans cesse le secret de fabrication à travers un questionnement fondateur d’une démarche ouverte sur le sens de l’histoire : « Pourquoi la Grèce ? ».
Lorsqu’Œdipe, sous l’écriture du tragique grec Sophocle, nous dévoile le déterminisme de l’inconscient à travers la mise en scène prophétique d’un fils commettant sans le savoir ce qui apparait comme le crime suprême, l’inceste, pour mieux affirmer sa prohibition, on touche à une nouvelle humanité qui est incitée à prendre conscience d’elle-même, qui a à voir avec une nouvelle responsabilité de l’individu invité à anticiper sur les conséquences de ses actes. C’est l’émergence d’une notion de la responsabilité se référant à la loi commune, à cette capacité d’une société à savoir se corriger elle-même relativement à ce qu’elle définit comme son bien, telle que la démocratie le propose dans le gouvernement des affaires de la cité.
Freud lui-même, ce génial observateur de la complexité mentale de l’homme, ne s’y était pas trompé, en voyant au cœur de la culture grecque à travers le « complexe d’Œdipe » un des schémas explicatifs fondamentaux du développement de la personnalité et un des axiomes principaux de la psychanalyse. Certaines pulsions doivent être mises sous l’autorité de la loi et refoulées pour laisser place à l’action consciente de l’individu, c’est la condition de sa liberté, comme une nouvelle condition de l’homme s’émancipant à la fois des archaïsmes de l’instinct et d’une forme passée du religieux où la divinisation de la nature dominait la pensée. C’est le passage réussi de l’homme d’un temps biologique au temps psychologique. Il en découlera une démarche intellectuelle, philosophique, culturelle et scientifique qui donnera à la raison ses lettres de noblesse, d’Homère à Eschyle, de Sappho à Aristote.
La culture grecque : l’égalité et la raison bien de l’humanité
Dès l’Iliade, on voit l’égalité commencer à s’imposer comme nouvelle valeur collective. Agamemnon est le roi suprême à la tête de l’expédition de Troie pour reprendre la Belle Hélène, qui est l’épouse de son frère Ménélas, à Pâris qui l’a enlevée. Il croit bon, en raison de sa position royale qu’il pense au-dessus du commun, de prendre à Achille Briséis, sa concubine, pour son bon plaisir et déclenche ainsi la colère du héros qui se retire de la bataille, thème principal de l’Epopée. Agamemnon sera en définitive contraint de la lui rendre, de renoncer à sa démesure face au risque de perdre la guerre et la face si Achille ne revient pas au combat, jusqu’à même devoir publiquement se déjuger, sous la pression de son camp avec le soutien des dieux. Agamemnon doit, comme tout autre, se soumettre à la loi commune qui rejette la démesure, fut-elle celle d’un grand roi, face à l’intérêt commun. S’imposait en reflet dans la société d’alors l’effacement de la royauté à la faveur d’une aristocratie des égaux, l’indication d’un nouveau chemin. C’était le début d’une nouvelle histoire de l’homme qui fera passer, non sans crises sociales animées par la revendication de l’élargissement de cette égalité à tous, le pouvoir des mains des rois dans celles des peuples.
Comment ne pas voir une révolution en marche à travers cette comédie d’Aristophane, Lysistrata, où pour la première fois les femmes, par-delà l’exclusion de la citoyenneté dont elles furent victimes dans la cité, se voient donné tout le pouvoir par la mise en scène d’une grève du sexe qu’elles opposent aux hommes afin de les contraindre à arrêter de se faire la guerre. Dans une œuvre artistique, un pouvoir leur était alors conféré sur la destinée collective, sans précédent dans l’histoire, qui augurait de futures transformations dans la réalité retentissantes concernant les rapports hommes-femmes… L’égalité entre les sexes ne put sans aucun doute jamais être posée, sans cette révolution de la pensée grecque.
Jacqueline de Romilly avait ô combien raison de nous ramener ainsi vers la Grèce antique, qui inventa la démocratie mais aussi le théâtre avec sa tragédie et sa comédie, le droit public et l’alphabet à l’origine du nôtre, la philosophie sous les traits de la raison, l’art comme expression de l’artiste et non du magico-religieux, la justice collective avec ses jurys populaires qui faisait sortir les hommes de la logique brutale d’« œil pour œil, dent pour dent ».
La modernité républicaine prend source à la pensée de Périclès
Rendre hommage à cette grande dame, c’est d’abord et avant tout poursuivre l’œuvre engagée, de défense et de diffusion de l’hellénisme, une forme de pensée et de culture dérivant d’un tournant radical dans l’histoire : la civilisation grecque comme nouveau point de départ, comme nouveau paradigme d’un temps qui s’écoule jusqu’à nous et au-delà.
La mètis des grecs (les ruses de l’intelligence) nous en offre certaines des plus belles manifestations : De l’ingénieux Ulysse, crevant l’œil du cyclope pour retrouver sa liberté tout en se rendant invisible à sa vengeance à se donner comme nom « Personne » plutôt que de se dire roi d’Ithaque, indiquant par là une désacralisation de la fonction royale, à celui du piège du cheval de Troie, offrande faite à l’ennemi qui va par démesure l’accepter pour qu’elle le détruise, comme la métaphore de la nouvelle place donnée au passé avec lequel il s’opère une rupture sans retour simultanément qu’il en est pris possession à travers une nouvelle forme de conscience du temps, tout nous montre ici que la modernité des anciens a encore et encore à nous en apprendre pour aller plus loin de l’avant.
La pensée grecque a inspiré les humanistes de la renaissance, irrigué la pensée des Lumières et la Révolution française, les grands principes sur lesquels se fonde notre modernité républicaine. Un de ces bouleversements de la réalité porteurs de changements dans la façon même de poser les problèmes.
Jacqueline de Romilly a fait sa thèse de doctorat sur « Thucydide et l’impérialisme athénien », sur celui qui fut le premier historien de l’histoire après les prémices d’Hérodote, il n’y a là aucun hasard. La plus belle des références à lui faire est sans doute cette Oraison funèbre prononcée par Périclès, s’il faut en croire Thucydide précisément qui la rapporte dans son récit prenant pour objet « La guerre du Péloponnèse », qui nous donne toute la hauteur de cette culture en héritage : « Notre régime politique ne se propose pas pour modèle les lois d’autrui, et nous sommes nous-mêmes des exemples plutôt que des imitateurs. Pour le nom, comme les choses dépendent non pas du petit nombre mais de la majorité, c’est une démocratie. S’agit-il de ce qui revient à chacun ? La loi, elle, fait à tous, pour leurs différents privés, la part égale, tandis que pour les titres, si l’on se distingue en quelque domaine, ce n’est pas l’appartenance à une catégorie, mais le mérite, qui vous fait accéder aux honneurs. (…) Nous pratiquons la liberté non seulement dans notre conduite d’ordre politique, mais pour tout ce qui est suspicion réciproque dans la vie quotidienne ; nous n’avons pas de colère envers notre prochain, s’il agit à sa fantaisie, et nous ne recourons pas à des vexations qui, même sans causer de dommages, se présentent au dehors comme blessante.” (« Les plus beaux textes d’Homère à Origène », sous la direction de Jacqueline de Romilly, de l’Académie française, Danielle Jouanna, Simina Noïca, Bayard, Les Belles Lettres, 2003). Cette évocation de la démocratie et cette fine psychologie qui s’attache au respect des sentiments humains sont révélatrices d’acquisitions mentales qui ont, à cet endroit, éclatées au grand jour et valent pour nous, sur le mode intemporel.
Voilà des idées propres à une démarche emprunte d’humanité, que Jacqueline de Romilly n’a cessé de porter, pour tenter qu’elles ne puissent échapper au moindre des citoyens. Un sens de l’humanité sorti de l’histoire dont les valeurs et les idées sont toujours dans l’actualité, surtout si on a à l’esprit les remises en cause actuelles des valeurs républicaines de liberté, d’égalité et de fraternité, au nom du droit à la différence confinant à la différence des droits, du communautarisme encouragé par le clientélisme politique, d’un retour radical du religieux et du patriarcat déniant aux femmes qu’elles puissent être les égales de l’homme ! Précisément, la conquête de l’égalité des droits entre les sexes ne fit pas l’économie, en regard de la tradition et de la religion, de hautes luttes pour s’imposer, passant par des exemples de femmes comme Jacqueline de Romilly qui, sans en avoir l’air et sans s’en être réclamée, sans en faire non plus le combat d’un genre contre un autre, a voulu œuvrer simplement au nom du bien de tous.
Une grande dame, symbole républicain d’émancipation : après l’Académie, le Panthéon !
L’égalité républicaine incluant les femmes a pu et su ainsi synthétiser, la modernité grecque qui les excluait du politique, l’histoire avançant souvent d’un pas à la fois, avec les avancées contemporaines des libertés individuelles, des libertés publiques, de la démocratie et de la laïcité portant l’intérêt général au dessus des différences et des religions, avec aussi la dimension sociale de la République jouant un rôle si essentiel en faveur de la solidarité de la nation. L’émancipation des femmes, ce mouvement révolutionnaire qui constitue à part entière une histoire dans l’histoire qui a encore bien du champ devant elle à l’échelle de notre planète, a été et reste porteuse d’émancipation pour toute la société, pour toute l’humanité, à quoi a formidablement contribué à sa façon, la « grande dame » dont nous parlons.
Gardons de Jacqueline de Romilly ces quelques mots en ouverture d’un petit ouvrage de poche qu’elle écrivit « la Grèce antique à la découverte de la liberté » (Editions de Fallois, 1989) pour faire partager sa passion de l’hellénisme : « L’idée de la liberté nous vient de Grèce, où elle a été découverte et proclamée avec force, pour la première fois et de façon durable. » Des lignes qu’on ne se lasse pas de relire, écrites d’une main ferme et d’une pensée qui voit loin, qui font partie de notre patrimoine commun le plus vivant. Elle pourrait mériter le Panthéon. - Guylain Chevrier, Docteur en histoire -
Source
http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/l-...
Darwin disait ; '' les idées comme les espèces sont appelées à disparaitre '' - fin d'une juste remarque
[ C'est bien là ce qui fait la différence, l'évolution est un fait et non une idée ni une croyance, ni une espèce – Crab - ]
Pour mettre fin à la rumeur
Il est bien de rappeler qu'aucune guerre civile ou autre dans toute l'histoire de l'humanité ne fut jamais déclenchée au nom de l'athéisme
Hitler était athée, rien ne permet de l'affirmer et les pourceaux d'Épicure d'ajouter, que la guerre faite à l'Europe par les nazies était une guerre de l'athéisme
C'est revisiter cette période par la négation de l'histoire de la persécution des juifs durant des siècles et des siècles par la chrétienté...et de l'impact sur la mentalité de nombreux croyants
Quelles raisons, à ces époques tragiques, feraient qu'un incroyant haïsse les juifs ?
Avez-vous entendu parlez de prières anti-juives de la part d'incroyants ?
[ Même pas envie de rire ]
Suite
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2011/05/04/2011-l-encyclopedie.html
11:27 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : athéisme, laïcité, religion, fanatiques | Facebook | | | Imprimer |