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Joanie de Rijke (28/09/2010)

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Joanie de Rijke 

INOUÏE

Probablement issue d'un milieu peu enclin à se doter d'un esprit critique, ignorant ce qu'est ''une idéologie non critiquée'' , cette journaliste imprégnée d'une ''science des solutions imaginaires'', se livre à des déclarations qui relèvent de ce que l'on désigne par ''des bouffées de délires'' – une femme probablement trop habituée à vivre dans l'illusion ou dans la pataphysique de Souk en vient même  à parodier son identité de femme

Cela me fait tristement penser à ces femmes qui parlent d'elles comme si elles étaient extérieures à ce qu'il advient d'elles dans une situation donnée [Voir Aïcha...en bas de texte]

A rapprocher de ''l'homme musulman'' [et non pas de l'homme arabe] qui quand il parle des femme dit ''nos femmes'' ou ''nos filles'' ….

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Je pense qu'elle s'accommoderait volontiers des contradictions d'un Gérard Miller qui se prétend athée* (non croyant? Surprenant dans la bouche d'un ex-maoïste) [rire], manifestement n'a pas compris que la laïcité avait été inventé pour mettre fin aux guerres de religions sur l'espace public en maintenant les croyances comme l'opinion propre des personnes privées

Miller, par ailleurs auparavant, grand défendeur de la burqa en duo avec Roland Dumas lors d'une émission sur le plateau du chantre du communautarisme le sus-nommé Ardisson...

Crab

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Avid Editor's Insights

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Posted by avideditor on June 8, 2009

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Traduction [tant bien que mal...texte original en anglais en suivant]

Au mois de novembre 2008 un journaliste hollandais, Joanie de Rijke, a été enlevé par en Afghanistan de combattants de Taliban. Elle a été tenue en captivité, violé à maintes reprises, et relâché après six jours pour une rançon de 100.000 euros ($137,000). Après son épreuve, elle a reconnu que ses ravisseurs «a fait des choses horribles à moi,» mais a ajouté durant plusieurs entretiens multimédias «Ils m'ont respecté aussi,» et souligné «Ils ne sont pas de monstre».

Dans un discours dans le Parlement hollandais jeudi dernier, l'opposition le dirigeant Geert Wilders hollandais s'est référée à Joanie du cas de Rijke.

«Elle a été violée, mais elle n'était pas fâchée.

La journaliste qui est allé chercher dans l' Afghanistan taliban a vu sa fin de curiosité dans une épreuve cruelle de viol multiple. Pendant que pour cela d'autres ferait fâchées ou tristes, cette journaliste fait preuve de compréhension. Elle dit: ‹Ils m'ont respecté aussi›. Et lui a été donnée du thé et des petits gâteaux».

«Cette histoire» a dit Wilders,

«Est une illustration parfaite du déclin moral de nos élites. Ils sont si aveuglés par leur propre idéologie qu'ils tournent un œil aveugle à la vérité. Le viol? Bien, je mettrais ceci dans la perspective, dit le journaliste de gauche: le Taliban n'est pas de monstre.

Nos élites préfèrent nier la réalité au lieu de lui fait face à. L'un prévoirait: une femme est violée et trouve cela insupportable. Mais cette journaliste n'est pas fâchée parce que le musulman impliqué lui a aussi montré du respect. Nos élites, s'ils sont des politiciens, des journalistes, des juges, gobblers de subvention ou des fonctionnaires, sont totalement nuls. Le bon sens simple a été déchargé pour nier la réalité. Ce n'est pas juste cette journaliste violée qui souffre du syndrome de Stockholm, mais l'élite hollandaise entière. La seule morale adressée à laquelle ils se doivent est: ne pas irriter les musulmans – qui est la seule chose qu'ils condamneront». Fin de la traduction de l'article

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Ci-dessous le texte original

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Leftwing Dutch Journalist: “Yes the Taliban Repeatedly Raped Me… But They Respected Me & Are Not Monsters”

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Leftwing nut Joanie de Rijke traveled to Afghanistan to conduct a sympathetic interview with the Taliban. What happened next was horrific.
But, her response to the ordeal was even more shocking. 

Joanie brought her tablet and pencils with her to the Taliban cave.

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In November 2008 a Dutch journalist, Joanie de Rijke, was abducted by Taliban fighters in Afghanistan. She was held captive, raped repeatedly, and released after six days for a ransom of 100,000 euros ($137,000). After her ordeal, she acknowledged that her captors “did horrible things to me,” but added in several media interviews “They also respected me,” and emphasized “They are not monsters.”

In a speech in the Dutch Parliament last Thursday, the Dutch opposition leader Geert Wilders referred to Joanie de Rijke’s case.

She was raped, but she was not angry. The journalist who went looking for the Taliban in Afghanistan saw her curiosity end in a cruel ordeal of multiple rape. While this would make others angry or sad, this journalist shows understanding. She says: ‘They also respected me.’ And she was given tea and biscuits.”

This story” Wilders said,

is a perfect illustration of the moral decline of our elites. They are so blinded by their own ideology that they turn a blind eye to the truth. Rape? Well, I would put this into perspective, says the leftist journalist: the Taliban are not monsters. Our elites prefer to deny reality rather than face it. One would expect: a woman is being raped and finds this unbearable. But this journalist is not angry because the Muslim involved also showed respect. Our elites, whether they are politicians, journalists, judges, subsidy gobblers or civil servants, are totally clueless. Plain common sense has been dumped in order to deny reality. It is not just this raped journalist who is suffering from Stockholm syndrome, but the entire Dutch elite. The only moral reference they have is: do not irritate the Muslims – that is the one thing they will condemn.”

Source

http://avideditor.wordpress.com/2009/06/08/joanie-de-rijke-leftwing-dutch-journalist-yes-the-taliban-repeatedly-raped-me-but-they-respected-me-are-not-monsters/

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Suite sur... AÏCHA

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/aicha-et-psycholuc...

13:41 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : illusion, femme, délire, talibans, relativisme culturel |  Facebook | | Pin it! |  Imprimer |