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14/10/2012

Pour en finir avec le Concordat

Concordat,meurthe-moselle,laïcité,religion,athéisme,fanatisme religieux,talibans

 

La Culture assassinée

Hypatie dont la singularité fait tâche dans une époque du premier quart de millénaire pas si éloignée de la nôtre, où la montée des intégrismes, quand la prétention des '' modérés religieux '' de toutes confessions à travers des revendications cléricales cherchent à dominer ou à pérenniser leurs pouvoirs sur les consciences et assujettir à leurs idéologies les jeunes enfants dans les écoles de notre république

Hypatie une personnalité, à son époque ( 370 – 415 de notre ère ), supérieure à tout autre, cette femme de culture grecque, passionnée d’algèbre, de géométrie et d’astronomie, titulaire d’une chaire de philosophie, aura consacré ainsi toute sa vie à la pensée philosophique dans une société d'Alexandrie, dont l'élite intellectuelle est persécutée ou subissant jour après jour, l'esprit de secte, l'absolutisme, le délire d'intégristes religieux adeptes des monothéismes, d'une intolérance sans égale

 

Par la suite le dernier des grands monothéismes ( grands pour la longueurs,mais aussi les longueurs et non par la qualité, plutôt infantile, des textes ) , en matière d'intolérance, ne brillera que par son absence de nouveauté : La tradition islamique ( Hadith ) cite Mahomet: « Ma nation se divisera en 72 ethnies. Un seule d’entre elles échappera ( à l’enfer ) »

 

Judéo-chrétiens, mais surtout chrétiens assujettis à des textes fondés sur de prétendues '' révélations '' ( pour chacune des confessions ), celles d'un '' dieu unique '', ou la soumission est la règle universelle, entreprenant la déconstruction des sociétés polythéistes qui ELLES n'interdisaient pas la liberté d'expression où des philosophes, incroyants tel Démocrite, Leucippe, Lucrèce ( par exemple ) et croyants polythéistes se côtoyaient et débattaient librement des idées ou de la philosophie ou encore des pratiques philosophiques, quand il ne s'agissait de poésie philosophique ou encore de jouer, parfois même de se jouer, par le jeu d'une saine concurrence, en public, la Tragédie

 

Époques de l'antiquité et des premiers siècles où le fondamentaliste Platonicien s'opposant à l'athéisme ou le déisme aristotélicien ( plus laïcisé ) pouvait être encore un des objets mis à l'épreuve de l'exercice de la réflexion critique de toutes et de tous ceux épris de l'idée de liberté de se manifester en prenant la parole en public - mais la notion de liberté n'est pas, et ne sera jamais hier et aujourd'hui, synonyme de monothéisme - en témoigne, si besoin est les guerres inter-religions de notre époque, la traque sauvage des incroyants, le sort, en son temps, qui fut réservé à Hipatia :

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/tu-aimeras-ton-prochain/

Histoire de se détendre...un peu : Croire, c'est vraiment pas bien du tout, l'ADN d'un organisme mort à une durée de vie de 521 ans, donc il n'y aura pas la moindre possibilité de cloner des dinosaures, quand aux possibilité de résurrection seules les graines dans la nature permettent, pérennisent le renouvellement de la nature, je vous laisse le soins chers amies et amis lecteurs de méditer sur l'illusion d'une part et de la réalité observable et vérifiable, d'autre part...soit dit en passant, à l'attention des chantres de l'au-delà, les seuls paradis existants, donc définissables ou démontrables sont fiscaux, l'enfer est un territoire réservé à la plupart des '' en galères ''

Mais autant s 'accommoder de l'idée que la médecine nous épargne d'être victime prématurée de la sélection naturelle, en cela des vers de terre se sont bien adaptés ou ont mutés pour évoluer en milieu '' naturels '' pollués par l'arsenic, je fais de même en me vaccinant régulièrement, avec délectation, contre les religions

 

Le Concordat fragilisé par la laïcité ?

Thème du débat qui s'est tenu dans le cadre des États généraux du christianisme, qui se sont tenus le 12 Octobre 2012, le Concordat a été mis sur la sellette

 

Un débat non contradictoire

Un débat pour in fine '' justifier '' tous les passes droits ou privilèges, dont bénéficient, obtenus ou réclamés par des minorités religieuses qui en outre s'estiment détentrices de la vérité

De se présenter, non sans vergogne, seules garante de la morale, en éliminant d'emblée la recherche éthique des incroyants dont les modes de pensées ont permis ( contre les religions ) d'humaniser, de rehausser le niveau de civilisation de notre société

Nul ne sera surpris qu'aucun philosophe incroyant et laïc, n'ait été invité à participer à ce débat, un peu comme dans '' les bonnes émissions de télévisions '' dès qu'il s'agit de laïcité ou de la place des religions dans la société, un débat qui c'est donc tenu entre personnalités croyantes, qui plus est toutes favorable à maintenir le Concordat au nom d'un très curieux vivre ensemble dont elles réclament la paternité - vous me direz que réclamer la paternité va de soi pour des gens dont la religion monothéiste sacralise le patriarcat

 

Pour ces minorités religieuses pas d'autre vérité que leurs vérités !

Cette absence d'impartialité donne aussitôt le ton du sens de l'égalité des droits qui anime ces communautés dont l'activisme se plie à la tentative dérisoire de faire passer la laïcité pour une religion opposée aux autres religions, c'est d'autant plus grave quand parmi les participants figurait le président du conseil régional représentant de par sa fonction la république laïque [ sachant qu'à laïque ne s'associe aucun adjectif...laïcité " ouverte " ou " plurielle " ou encore '' efficace '', sont des concepts reflets d'une contestation dissimulée des principes de la laïcité ]

 

Marianne n'étant ni athée ni croyante

Parmi nous certains sont athées ou agnostiques ; d'autres encore croient en un dieu ou en plusieurs

Évoquer le vivre ensemble sans les incroyants [ 44% des français ( derniers sondages ) ], auxquels il convient d'ajouter les populations agnostiques et les croyants sans confessions, rassemble en ce '' grand jour de gloire à dieu '' les adeptes du Concordat

 

Narcissiques :

Comme s'il n'existaient qu'eux, se veulent défendeurs du Concordat, au nom, disent-ils, du pluralisme religieux !

Nulle raison fondée, dans les écoles, de salarier des enseignants monothéistes, sinon en contrepartie de salarier tout philosophe incroyant [ religion ou philosophie de l'éthique ], agnostique ou polythéiste au nom de l'égalité des droits, ce ne serait que justice dans le plus scrupuleux respect de la liberté de conscience des parents qui confie leurs enfants à l'école de la république, mais ce n'est pas le rôle de l'école d'enseigner ce qui relève de l'incroyance ni des croyances – rappeler, ici, que le rôle de l'école n'est pas d'apprendre '' quoi penser ''

http://blvids.free.fr/Universit%C3%A9_populaire_de_Caen_.mp4

 

Service public ?

Durant le débat, un des intervenants membre d'une confession religieuse, veut constitutionnaliser le financement public des enseignants de la religion : « Ne pourrait-on pas entretenir les grandes religions comme un service public ? », démontrant une fois de plus que des religieux se croient supérieurs à toutes autres catégories sociales de populations, bon train et sans le plus petit scrupule, de confondre ce qui relève de leur intérêt strictement personnel - alors qu'ils proposent purement et simplement de maintenir ou d'accroître le détournement de l'argent public pour augmenter leurs privilèges corporatifs

 

C'est le puits sans fond de la recherche de privilèges et quoi de mieux pour les obtenir de tenter de faire oublier qu'un service public répond à l'intérêt général et non à celui de telle ou telle organisation

 

Le rôle républicain laïque de l'école

Hors, l'école est le lieu ou l'on enseigne, transmet des savoirs et non des croyances ou idées reçues dans le cadre familial

Notre république place toutes les options spirituelles des incroyants, des agnostiques et des croyants sur une même horizontale, c'est ce qui définit la laïcité et justifie de n'enseigner aucune religion à travers les programmes scolaires, donc abroger le Concordat permettrait au Gouvernement qui se targue de rassembler les français et non de les diviser, et au Parlement, de réhabiliter sur l'ensemble du territoire l'égalité dans l'espace public

 

Cesser de financer en partie des écoles confessionnelles permettrait de retrouver des fonds pour financer '' du sur mesure '' dans les '' petites classes '' localisées dans certains quartiers de nos villes pour y réduire le risque d'échec scolaire

 

Notes :

La laïcité, c’est la liberté de conscience liée à l’égalité de traitement de celui qui ne croit pas au ciel et celui qui y croit

Rappeler que c'est une démarche humiliante, pour les parents incroyants, résidant en Meurthe-Moselle, l'obligation de remplir une demande de dispense pour que leurs enfants ne suivent pas les cours de religions - il est plus que temps, de demander à ce gouvernement socialiste, de mettre un terme à cette discrimination...inacceptable dans une société démocratique

J'ajouterais que l'égalité des droits dans l'espace public réclame de réhabiliter, rétablir ou établir la laïcité sur l'ensemble des territoires concerne trois ministères : Éducation Nationale, l'Intérieur et la Justice au service d'un Présidant qui prétend incarner le changement

Dans notre société, cherchons les nouveaux Condorcet, Proudhon, Rousseau, Tocqueville, Hugo, Camus ( …/... ) ;

ils en existent, parfois participent le plus souvent dans quelques uns des débats télévisés programmés après 22 heures, mais jamais aux heures dites de grandes écoutes, alors que les religions bénéficient de ce privilège, la télévision publique n'octroie toujours pas aux incroyants ni aux philosophes spécialisés dan la contre histoire de la philosophie une matinée par semaine le samedi ou le dimanche

...À Malala Yusufza ( 14 ans ), écolière pakistanaise qui se bat pour l'essentiel de l'éthique, c'est à dire '' l'égalité femme-homme '' - Crab - 14 Octobre 2012

Suite :

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/0-l-ecole-et-la-philosophie/

 



 

14/10/2010

DIGNITÉ DE LA FEMME

ÉGALITÉ

 

FEMMESHOMMES -

Burqa et le Senat02-476aa.jpg

Remerciements les plus vifs et les plus chaleureux à monsieur Robert Badinter, sans oublier les combats menés par madame Élisabeth Badinter ni celui des associations lucides qui ont sut faire abstraction de toutes les polémiques politiciennes ou  sectaires en participant activement à toutes les actions qui ont permis le vote de l'interdiction de la burqa

Remerciement à Jean-François COPÉ qui avait pris position sans ambages [je ne peux citer tous les élus qui avaient compris que c'est la liberté de conscience qui était – est - contestée et menacée par l'islam politique]

Crab

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Mardi 14 septembre 2010 2 14 /09 /2010 19:28

Robert Badinter vote l'interdiction de la burqa le 14 septembre 2010 au Sénat

Le sénateur Robert Badinter vote l'interdiction de la burqa le 14 septembre 2010

Séance au Sénat du 14 septembre 2010 (compte rendu intégral des débats)

PRÉSIDENCE DE Mme Monique Papon

 

Mme la présidente. La parole est à M. Robert Badinter, pour explication de vote.

M. Robert Badinter.
Madame la présidente, madame la ministre d’État, mes chers collègues, toutes les convictions qui se sont exprimées au cours de ce débat sont honorables, et je conçois parfaitement qu’une diversité d’approches se manifeste, notamment sur le plan juridique, dès l’instant où, unanimement, nous condamnons le port de la burqa ou du niqab.

Je commencerai par deux observations d’ordre juridique.

Je souhaite d’abord adresser une recommandation à Mme la présidente, en ce qu’elle représente le président du Sénat. Quel que soit le texte voté, il faut que le président du Sénat, comme celui de l'Assemblée nationale, le défère au Conseil constitutionnel. Je rappelle que le Premier ministre a demandé l’avis du Conseil d’État, mais qu’il ne l’a pas suivi, en tout cas pas complètement, et que, sur cette question, l'Assemblée nationale a adopté une position différente. Par conséquent, le risque existe.

Je n’aurai garde de prendre part à la discussion sur l’étendue de ce risque. Il revient maintenant au Conseil constitutionnel de se prononcer pour savoir si ce texte est constitutionnel ou non. Il doit être saisi immédiatement pour éviter que ne perdure une sorte d’indécision juridique, toujours préjudiciable quand il s’agit d’une question de cette importance, et que l’on soit contraint d’attendre l’inévitable question prioritaire de constitutionnalité. Je souhaite que cela soit fait. Je ne suis pas absolument convaincu que ce ne soit pas déjà l’opinion du président du Sénat et de celui de l'Assemblée nationale.

Sur la conventionnalité, ensuite, je formulerai deux remarques.

Dans un arrêt du 13 février 2003, la Cour européenne des droits de l’homme a adopté une position très claire sur les mesures d’interdiction de tous ordres prises par le gouvernement turc, soulignant qu’elles étaient parfaitement compatibles avec la Convention européenne des droits de l’homme. En 2010, une nouvelle décision est intervenue, dont il a été fait état au cours de ce débat : il s’agissait d’hommes portant des tenues montrant leur adhésion à une fraction religieuse extrême. Je le précise pour une raison simple : la Cour européenne des droits de l’homme a souligné que le problème était d’ordre religieux. Or la question dont nous débattons aujourd'hui n’est pas celle de l’atteinte à la laïcité.

M. Jean-Jacques Hyest, président de la commission des lois. Eh non !

M. Robert Badinter. C’est celle de l’égalité des femmes et des hommes, de l’égalité de droits, de condition, de la dignité et de la liberté des femmes,…

M. Roland Courteau. Très bien !

M. Robert Badinter. … toutes choses qui n’étaient pas soumises à la Cour européenne des droits de l’homme dans son arrêt du 23 février 2010. Il n’est pas indifférent de le rappeler.

J’en viens à mon propos essentiel : pourquoi vais-je voter ce projet de loi ? N’étant pas naïf, je sais très bien quelles étaient les motivations politiciennes à l’origine de ce besoin soudain de légiférer dans ce domaine. Je laisse toutefois cela de côté…

Certains se rendent dans les pays du Golfe et y constatent les progrès accomplis en matière de condition des femmes. D’autres, comme moi, s’intéressent à la vie des instances des Nations unies, en particulier du Conseil des droits de l’homme à Genève. J’ai eu l’occasion de le dire aussi bien à la commission des affaires européennes qu’à la commission des affaires étrangères, nous ne devons pas nous aveugler : nous sommes en présence de deux visions des droits de l’homme et nous vivons l’un des affrontements idéologiques les plus durs que nous ayons connus depuis les années de la guerre froide.

Ce conflit n’est pas, en effet, sans rappeler le temps où les communistes considéraient que s’opposaient deux visions des droits de l’homme, l’une bourgeoise, l’autre socialiste. Aujourd'hui, toutefois, il s’agit d’autre chose. Au sein de ces instances, nous avons constamment face à face, d’un côté, tous les États démocratiques, qui soutiennent le principe de l’universalité des droits de l’homme, et, de l’autre, les États qui répondent que les droits de l’homme sont un cadeau fait par Dieu à l’homme pour le rendre plus heureux sur cette terre, mais qu’ils doivent être interprétés à la lumière de la charia. Je pourrais citer un nombre important de textes qui reprennent cette position. Il n’est qu’à lire la dernière résolution proposée et votée sur l’initiative de la République islamique d’Iran lors de la 35e session du conseil des ministres des affaires étrangères de l’Organisation de la conférence islamique, qui réaffirme cette doctrine. Nous sommes bien là en présence d’un conflit majeur, en particulier pour les laïcs que nous sommes.

Lorsqu’interviennent des questions essentielles, telles que la peine de mort ou la résolution adoptée par le même conseil des ministres des affaires étrangères de l’Organisation de la conférence islamique en 2004, à la suite d’une protestation de l’Union européenne, sur la lapidation des femmes, cela prend tout son sens. La réponse fut : cela ne vous regarde pas, l’Union européenne n’a pas, au nom de sa conception des droits de l’homme, à nous donner de leçons sur ce que doit être la loi islamique.

Or il est des principes avec lesquels nous ne pouvons transiger, notamment celui qui nous occupe aujourd'hui, à savoir le principe fondamental, presque primordial, de l’égalité entre hommes et femmes.

Nous ne cessons d’œuvrer pour le faire entrer plus avant dans nos sociétés. Or, ce principe est défié. Et ceux qui le défient le font, croyez-moi, en connaissance de cause, pour tester nos facultés de résistance.

On ne peut pas transiger avec ce principe, s’accommoder d’un signe, d’un signal, d’une tenue. Car le voile est porté où, et par qui ?

Ce sont les talibans qui contraignent les femmes à porter la burqa. Dès que les talibans prennent ou reprennent le pouvoir, la burqa devient obligatoire et, parallèlement, les filles sont retirées des écoles. C’est à ce moment-là que le port de la burqa prend toute sa signification.

Au-delà même du port du voile intégral dans la rue, il faut voir le symbole qui est transmis, exprimé, inscrit dans cette tenue. Nous devons donc réagir. Il s’agit, je le répète, d’un principe avec lequel nous ne pouvons pas transiger, que nous ne pouvons pas abandonner.

Je rappelle simplement, mais c’est essentiel, que le droit à la liberté d’opinion figure dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
À l’époque, on avait précisé, ce qui était singulier, « même religieuse » ! Alors, la liberté d’opinion religieuse ? Oui ! La liberté de pratiquer sa religion ? Oui ! La laïcité les garantit à chacun.

Mes chers collègues, en interdisant le port du voile intégral dans l’espace public, vous n’empêchez personne de pratiquer sa religion. Ce n’est pas une dragonnade ou une inquisition ! Nous favorisons au contraire, comme je le souhaite, par la construction de mosquées et par l’expression constante de notre sympathie, de notre amitié, la garantie à tous ceux qui le veulent d’exercer leur croyance et leur foi.


En interdisant le port du voile dans l’espace public, vous n’empêchez pas celles qui le veulent de pratiquer leur religion, mais vous ne tolérez pas que les éléments les plus intégristes et les plus fanatiques affichent et proclament leur vision, que nous ne pouvons pas accepter, d’une société où les femmes disparaissent de l’espace public et ne sont plus que des fantômes. Cela, non ! Et c’est la raison pour laquelle je voterai ce projet de loi.

(Applaudissements sur l’ensemble des travées.)

Robert Badinter.jpg

 

Tous les voiles islamiques

auraient

faire l'objet de la même interdiction!

 

Pourquoi?

Considérons l'argument le plus hypocrite qu'il ait été tenu d'entendre ou de lire ça et là pour maintenir le port du voile: Soit l'inégalité entre femmes et hommes

  Une association qui caricature à qui mieux mieux le combat féministe universaliste *   [voir les deux  notes en fin de texte] fait savoir qu'ils et elles connaissent le vrai sens du port du voile – hé oui mon bon monsieur, ma bonne dame, c'est qu'ils  et elles sont évolués nos ''féministes''

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citation

le symbole et l'acte – par le bureau des chiennes de gardes

- publié en 2005 -

''Qu’est le voile? D’abord, un symbole religieux et politique. C’est le symbole d’une oppression des femmes, d’une diabolisation du corps et de la sexualité des femmes, qui fait des femmes des indécentes par nature qu’on doit camoufler, entraver. Pour nous la réalité et l’interprétation de ce symbole ne souffre aucune contestation.'' Fin d'un premier extrait

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Mais, [comble de l'inconscience) ajoutent t-ils et ajoutent t-elles;

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''Mais le voile a une réalité concrète, il est porté par des filles et des femmes bien réelles. Et nul-le ne peut entrer dans l’esprit de ces femmes pour y découvrir les raisons précises qui les motivent. Porté par conviction religieuse, par lassitude, par faiblesse ou par calcul, par provocation ou par ras-le-bol, les personnes qui se sont donné la peine de rencontrer des femmes voilées savent combien il existe de cas différents. Qu’une fille, qu’une femme veuille avoir la paix en rentrant chez elle, veuille ne plus être insultée, veuille aller à l’université et ait besoin pour cela du soutien parental, etc., quelle féministe pourra l’en accuser? Accusons le voile, et ses justifications religieuses intolérablement sexistes. Mais pas les porteuses de voile. '' Fin d'un deuxième extrait - un propos qui n'est rien de plus qu'expression d'une ''démarche'' diffamatoire

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Nous savions qu'Épicure avait ses pourceaux – à présent nous savons que les féministes universaliste ont leurs chiots

Pourquoi, ces arguments sont diffamatoires?

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Ils affectent d'ignorer que la problématique dans l'interdiction du voile à l'école et dans les administrations, n'était pas la différence qu'il peut y avoir entre ce qui relève du symbole et ce qui revient à un acte individuel, car par la loi, le but recherché à l'époque était la protection de l'enfance et plus particulièrement d'éviter la maltraitance intellectuelle des fillettes …

Sinon c'était [c'est] admettre que les parents ont ce droit terrifiant, celui de ne pas respecter la liberté de conscience de leurs enfants – [ce qui est trop souvent le cas] la porte ouverte à l'endoctrinement et à sa conséquence: L'aliénation, l'assujettissement de la conscience des fillettesà une idéologie masculine fondée sur des valeurs négatives ou guerrières [les patriarcats]

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C'est en ce sens qu'il est en effet regrettable que la loi d'interdiction... sous la Présidence CHIRAC n'ait pas été voulue applicable sur l'entier espace public

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Dans l'état actuel, compte tenu des tentatives de faire régresser les droits des femmes, pourquoi à nouveau ne pas remettre en débat l'interdiction des voiles islamiques sur l'ensemble du territoire ce qui démontrerait que notre démocratie est capable de lever toute ambiguïté quand à la signification réelle du voile?

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Les deux notes

* Ces aboiements [1] sont des propos qui trouveraient toutes légitimités chez Ardisson où ''l'humour'' misogyne reflet d'une masculinité ancestrale y est considéré comme unecroyanceaussirespectablequ'uneautreou un Ruquier recevant un Tarik Ramadan sans lui opposer sur le plateau un de ceux que ce dernier s'empresse de dénigrer avec la malhonnêteté intellectuelle qui le caractérise

* Dans ''Fausse route'' [à partir de la page 186] Élisabeth BADINTER décrit très bien ce bricolage idéologique qui se fait passer pour féministe

[1] Mais ce ne sont qu'aboiements de ''féministes de basse-cour'' l'esprit encore englués dans les moraline religieuses - la caravane passe, maintient son cap; la prise de conscience que le féminisme est universel et ne peut être assujetti aux bricolages idéologiques identifiés par des différenciations que tente d'installer dans notre pays un clanisme résurgence d'un âge révolu, ennemi de la femme libre et autonome   Crab

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Vidéo:

Elisabeth_Badinter__Simone_de_Beauvoir

http://blvids.free.fr/Elisabeth_Badinter__Simone_de_Beauvoir.mp4

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Simone VEIL

http://blvids.free.fr/Simone_Veil___la_loi_d_une_femme.flv

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Brève du 17 Otobre 2010

Publié dans Marianne2

Les ANI, ces informations que zappent les médias...

Eric Conan - Marianne | Dimanche 17 Octobre 2010 à 07:01

Il est des ANI, actualités non identifiées. Elles passent mais on n'y prête guère attention. Préférant l'écume de l'information à son fond. Dernier exemple en date, la validation par le Conseil Constitutionnel de l'interdiction du voile intégral dans l'espace public, passé quasiment inaperçue.

Trou noir.jpg

C'est devenu une banalité de le relever : certaines informations, certains faits tombent dans des « trous noirs » de l’actualité. Ils disparaissent des pages, des écrans ou des micros sitôt annoncés quand d’autres sont disséqués, mis en scène ou montés en polémique jusqu’à plus soif. Dernier exemple : l’annonce, il y a une semaine, le 7 octobre, de la décision du Conseil constitutionnel de valider la loi interdisant la dissimulation du visage dans l'espace public et visant implicitement le voile intégral. Des brèves ici et là, mais peu de détails sur le contenu et les motivations, et encore moins de commentaires. Un silence d’autant plus remarquable que la position supposée du Conseil Constitutionnel avait fait l’objet d’une avalanche d’hypothèses, supputations et suppositions au moment de l’annonce et de la discussion de ce projet de loi controversé.

On se souvient que nombre d’acteurs politiques, notamment à gauche, avaient excipé du barrage inévitable et imparable du Conseil Constitutionnel pour adopter une position de défausse : ils se prononçaient contre le voile intégral mais aussi contre une loi l’interdisant en expliquant avec assurance qu’elle était contraire à la Constitution, aux droits de l’homme, au droit européen, au respect de la personne humaine, etc… Et que le Conseil constitutionnel serait contraint de la recaler. D’ailleurs, disaient-ils, n’était-ce pas déjà la position ancienne, invariable et réaffirmée du Conseil d’Etat et de ses fins juristes qui avaient encore expliqué en mars dernier qu’une interdiction totale du voile intégral était juridiquement impossible ? Position du Conseil d’Etat dont s’était prévalue la direction du Parti socialiste pour ne pas voter la loi, consigne qui ne fut d’ailleurs pas suivie par plusieurs députés socialistes ainsi qu’une grosse partie des sénateurs socialistes emmenés par Robert Badinter, lequel avait argumenté contre la position officielle de son parti en assurant qu’une interdiction était conforme à la Constitution. Il avait raison et le Conseil, gardien de cette dernière, l’a dit très clairement et très simplement.

Avec quels arguments ? Ils n’ont quasiment pas été précisés par les médias alors qu’ils tiennent en quelques lignes. Le comble est que, parmi les très rares commentateurs, beaucoup ont raconté que le Conseil jugeait que « la laïcité » française permettait cette interdiction ou qu’il « réaffirmait le caractère laïc de la République française ». Ce qui montre qu’ils n’ont même pas pris la peine de lire le très court texte de la décision qui n’invoque à aucun moment la laïcité, avec laquelle le voile intégral n’a rien à voir, comme beaucoup de juristes avisés l’avaient déjà souligné.

Le Conseil Constitutionnel n’invoque en effet pas une seule fois la laïcité, terme totalement absent de sa décision qu’il a appuyé en validant les trois arguments invoqués dans la loi et dont aucun ne fait allusion à la religion : 
1) le voile intégral constitue un « danger pour la sécurité publique »,
2) il ne répond pas aux « exigences minimales de la vie en société »,
3) il place les femmes « dans une situation d'exclusion et d'infériorité manifestement incompatible avec les principes constitutionnels de liberté et d'égalité »
En invoquant les nécessités de « l'ordre public », dont l’état des mœurs d’une société fait partie, le Conseil Constitutionnel a rappelé que la loi a le droit de défendre « les actions nuisibles à la société » et estimé que la dissimulation contrainte ou volontaire du visage en faisait partie. Il affirme ainsi nettement que la cohésion sociale nécessite le respect de l’état juridique et culturel de la société française : les « exigences minimales de la vie en société » sont évidemment celle d’une société bien précise et pas virtuelle ou imaginaire. Le Conseil Constitutionnel s’oppose ainsi nettement à la thématique du multiculturalisme qui n’a cessé d’inspirer le Conseil d’Etat. Mais aussi la plupart des médias. Est-ce pour cela qu’ils toussent et qu’on ne les a pas entendus depuis la décision du Conseil ?

Fin de l'article

-

Djamel Debbouze avait déclaré, pour justifier la burqa, ….''que l’Islam était en Europe depuis 3000 ans'' [RIRE]

La réponse d'une lectrice, dans un forum:

"Cette “dimension” est entrée en Europe par la violence les armes à la main en 711, en 721 cette dimension assiégeait la ville de Toulouse , toujours les armes à la main et il fallu l’alliance de toutes les populations d’Aquitaine, Basques , Vascons , Wisigoths, Gallo-Romains pour la repousser une première fois, et elle remettait le couvert en 732 aux portes de Poitiers où il fallut cette fois-ci l’intervention des Francs d’un Charles Martel pour l’arrêter une bonne fois pour toute, et la dimension “européenne” allait encore continuer à piller et ravager toute la Provence et jusqu’aux Abbayes de Cluny et aux Portes de la Bourgogne pour nous faire connaître la “finesse” de sa “culture”, voilà , en gros ce qu’est la “dimension” européenne de l’islam!

Fin

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Le ''visage'' de la mort-

Suite sur...

Conseilmusulman féminin de la fatwa

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/conseil-feminin-de...

 

28/09/2010

Joanie de Rijke

Joanie de Rijke2.jpg

Joanie de Rijke 

INOUÏE

Probablement issue d'un milieu peu enclin à se doter d'un esprit critique, ignorant ce qu'est ''une idéologie non critiquée'' , cette journaliste imprégnée d'une ''science des solutions imaginaires'', se livre à des déclarations qui relèvent de ce que l'on désigne par ''des bouffées de délires'' – une femme probablement trop habituée à vivre dans l'illusion ou dans la pataphysique de Souk en vient même  à parodier son identité de femme

Cela me fait tristement penser à ces femmes qui parlent d'elles comme si elles étaient extérieures à ce qu'il advient d'elles dans une situation donnée [Voir Aïcha...en bas de texte]

A rapprocher de ''l'homme musulman'' [et non pas de l'homme arabe] qui quand il parle des femme dit ''nos femmes'' ou ''nos filles'' ….

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Je pense qu'elle s'accommoderait volontiers des contradictions d'un Gérard Miller qui se prétend athée* (non croyant? Surprenant dans la bouche d'un ex-maoïste) [rire], manifestement n'a pas compris que la laïcité avait été inventé pour mettre fin aux guerres de religions sur l'espace public en maintenant les croyances comme l'opinion propre des personnes privées

     

    * Miller aurait put trouver place dans le panthéon des marchands d'illusions, psychanalystes de la freudaine ou de la freudomania si bien dénoncés et analysés dans ''Le crépuscule d'une idole de Michel Onfray'', l'affabulation freudienne...

Miller, par ailleurs auparavant, grand défendeur de la burqa en duo avec Roland Dumas lors d'une émission sur le plateau du chantre du communautarisme le sus-nommé Ardisson...

Crab

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Avid Editor's Insights

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Posted by avideditor on June 8, 2009

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Traduction [tant bien que mal...texte original en anglais en suivant]

Au mois de novembre 2008 un journaliste hollandais, Joanie de Rijke, a été enlevé par en Afghanistan de combattants de Taliban. Elle a été tenue en captivité, violé à maintes reprises, et relâché après six jours pour une rançon de 100.000 euros ($137,000). Après son épreuve, elle a reconnu que ses ravisseurs «a fait des choses horribles à moi,» mais a ajouté durant plusieurs entretiens multimédias «Ils m'ont respecté aussi,» et souligné «Ils ne sont pas de monstre».

Dans un discours dans le Parlement hollandais jeudi dernier, l'opposition le dirigeant Geert Wilders hollandais s'est référée à Joanie du cas de Rijke.

«Elle a été violée, mais elle n'était pas fâchée.

La journaliste qui est allé chercher dans l' Afghanistan taliban a vu sa fin de curiosité dans une épreuve cruelle de viol multiple. Pendant que pour cela d'autres ferait fâchées ou tristes, cette journaliste fait preuve de compréhension. Elle dit: ‹Ils m'ont respecté aussi›. Et lui a été donnée du thé et des petits gâteaux».

«Cette histoire» a dit Wilders,

«Est une illustration parfaite du déclin moral de nos élites. Ils sont si aveuglés par leur propre idéologie qu'ils tournent un œil aveugle à la vérité. Le viol? Bien, je mettrais ceci dans la perspective, dit le journaliste de gauche: le Taliban n'est pas de monstre.

Nos élites préfèrent nier la réalité au lieu de lui fait face à. L'un prévoirait: une femme est violée et trouve cela insupportable. Mais cette journaliste n'est pas fâchée parce que le musulman impliqué lui a aussi montré du respect. Nos élites, s'ils sont des politiciens, des journalistes, des juges, gobblers de subvention ou des fonctionnaires, sont totalement nuls. Le bon sens simple a été déchargé pour nier la réalité. Ce n'est pas juste cette journaliste violée qui souffre du syndrome de Stockholm, mais l'élite hollandaise entière. La seule morale adressée à laquelle ils se doivent est: ne pas irriter les musulmans – qui est la seule chose qu'ils condamneront». Fin de la traduction de l'article

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Ci-dessous le texte original

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Leftwing Dutch Journalist: “Yes the Taliban Repeatedly Raped Me… But They Respected Me & Are Not Monsters”

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Leftwing nut Joanie de Rijke traveled to Afghanistan to conduct a sympathetic interview with the Taliban. What happened next was horrific.
But, her response to the ordeal was even more shocking. 

Joanie brought her tablet and pencils with her to the Taliban cave.

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In November 2008 a Dutch journalist, Joanie de Rijke, was abducted by Taliban fighters in Afghanistan. She was held captive, raped repeatedly, and released after six days for a ransom of 100,000 euros ($137,000). After her ordeal, she acknowledged that her captors “did horrible things to me,” but added in several media interviews “They also respected me,” and emphasized “They are not monsters.”

In a speech in the Dutch Parliament last Thursday, the Dutch opposition leader Geert Wilders referred to Joanie de Rijke’s case.

She was raped, but she was not angry. The journalist who went looking for the Taliban in Afghanistan saw her curiosity end in a cruel ordeal of multiple rape. While this would make others angry or sad, this journalist shows understanding. She says: ‘They also respected me.’ And she was given tea and biscuits.”

This story” Wilders said,

is a perfect illustration of the moral decline of our elites. They are so blinded by their own ideology that they turn a blind eye to the truth. Rape? Well, I would put this into perspective, says the leftist journalist: the Taliban are not monsters. Our elites prefer to deny reality rather than face it. One would expect: a woman is being raped and finds this unbearable. But this journalist is not angry because the Muslim involved also showed respect. Our elites, whether they are politicians, journalists, judges, subsidy gobblers or civil servants, are totally clueless. Plain common sense has been dumped in order to deny reality. It is not just this raped journalist who is suffering from Stockholm syndrome, but the entire Dutch elite. The only moral reference they have is: do not irritate the Muslims – that is the one thing they will condemn.”

Source

http://avideditor.wordpress.com/2009/06/08/joanie-de-rijke-leftwing-dutch-journalist-yes-the-taliban-repeatedly-raped-me-but-they-respected-me-are-not-monsters/

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Suite sur... AÏCHA

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/aicha-et-psycholuc...

28/08/2010

0NG Humanitaires

Le corporatisme

et ses dérives

0 Herakles_Olympos_Louvre_F30.jpg

Entrée d'Héraclès dans l'Olympe -

entouré d'Athéna et de Poséidon -

 

La désinformation

rampante

dans les principaux médias


[notamment sur les chaines de la télévision]


Il ne s'agit pas seulement du nécessaire professionnalisme désormais avéré... mais l'humanitaire est aussi devenu un métier et ce n'est pas sans conséquencescontestables

Peut-on prétendre agir au nom des droits de l'humain quand une majorité d'hommes s'appuient sur les textes de la religion pour maintenir les femmes sous leurs lois?

De trop nombreuses associations dites ''d'humanitaires'' [ONG] ou autres dites ''des droits de l'homme'', depuis de nombreux mois tentent d'intoxiquer par leurs déclarations ''très médiatisées'' faites sur les bons talibans par rapport ''aux vilains talibans''

''Il y aurait des talibans avec lesquels il serait possible de discuter'' – pire ce serait pour certains d'entre-eux de bons braves résistants à l'occupant – curieux de constater qu'ils préfèrent ''résister'' que de participer à construire une société de droit...n'ont qu'une seule idée en tête, priver les femmes de la plus petite parcelle de liberté...

Leurs principaux représentants des ONG répètent à l'envie ''on ne prend pas parti '', ''on'' soigne et ''on' s'occupe de tous quelques soient leurs convictions où croyances

Sont pas à une contradiction près pour continuer à exercer...ce qui advient c'est que les ONG ont des idéaux ou mobiles divers et souvent incompatibles...

Resteriez-vous passif devant une lapidation, L'excision d'une fillette, au déroulement d'un mariage forcé et autres exactions ou sévices comme par exemple les crimes d'honneurs...?

L'on peut retenir que l'on trouve dans la bouche de personnalités politiques ou civiles cette expression de maquillage ''tous les talibans ne sont pas des extrémistes''


Curieuse façon de prétendre faire oublier que quand ''on'' parle des talibans, ce sont de leurs lois dont il s'agit...


Un taliban en cache un autre

Ils est important de rappeler qu'il n'existe pas de bons talibans ni de textes de religions duelle s'adressant aux femmes – en d'autres termes il n'y a pas la moindre lumière dans le texte coranique ou la sharia, et les talibans sont de par leur idéologie l'émanation de ces vieux textes sexistes, misogynes, phallocrates... [ridiculement prétendus divins]

A l'intérieur

Ne laissons pas s'installer, dans les zones de non droit localisées dans quelques uns des quartiers des villes de notre pays l'équivalent ''des codes de l'infamie'' en vigueur dans certains pays du Maghreb – pays ennemis de la civilisation – nous Français, n'avons pour amis Maghrébins que ceux des arabes hommes et femmes qui dénoncent ''ces codes de l'infamie'' inspirés par le coran et la sharia

Piqûre de rappel

Les droits des femmes façonnés par les talibans

Tous les droits que les femmes avaient acquis par leurs luttes au cours du 20ème siècle ont été du jour au lendemain rayés par les talibans :

* Droits à l'éducation : tous les lycées de filles dont les premiers avaient été ouverts en 1924, ont été définitivement fermés par les talibans, de même que toutes les écoles et universités qui accueillaient une majorité d'étudiantes,

* Droit au travail : les femmes pouvaient disperser tous les métiers et occupaient 70% des emplois de fonctionnaires. Elles ont toutes été renvoyées chez elle.

* Droit de voter et d'être élue : Des femmes siégeaient au parlement depuis 1954. Certaines ont été ministres. Elles n'ont même plus le droit de s'exprimer

De plus, les talibans ont aussi supprimé leurs droits naturels, leurs coutumes ancestrales:

* Droit de sortir de chez elles librement : elles sont maintenant obligées d'être accompagnée par un membre mâle de leur famille proche, et ne doivent sortir que pour une raison valable aux yeux des talibans

* Droit de sortir avec les habits modernes ou même avec leur vêtement traditionnel : elles doivent être entièrement recouvertes du voile intégral, le tchadri, la taille du pantalon obligatoirement porté sous le tchadri. La taille et la couleur de la robe qui doit le recouvrir, de même que la couleur les chaussettes (obligatoires ) et des chaussures sont sévèrement réglementés

* Droit de se faire soigner : les hôpitaux leur sont interdits, seul deux bâtiments de quarante lits pour une ville de un million et demi d'habitants, sans matériels ni aucunes infrastructures, leur sont réservés, alors qu'il leur est pratiquement impossible de si rendre, bus et taxi leur étant interdit

* Droit d'entrer dans un magasin et de parler à un commerçant: les femmes n'ont ainsi plus la possibilité de faire leurs courses

* Droit à hygiène: il leur est interdit de se rendre au hammam, alors que les maisons sont privées d'eau courante et de possibilité de se chauffer. Leurs habits et leurs tchadris doivent être aussi sales et laids. Le maquillage est interdit

* Droit aux activités culturelles et aux fêtes : aucune distraction d'aucune sorte n'est permise. Les petites écoles traditionnelles qui existaient depuis des millénaires ainsi que les cours privées leur sont interdits

Le pire de tout est la suppression du respect que toute société humaine accorde aux femmes comme aux autres citoyens: la violence des talibans à leur encontre ne connaît pas de borne. Les femmes sont publiquement et quotidiennement insultées, frappées devant leur mari et devant leurs enfants, battues à mort, sans accès aux soins, sous n'importe quelle prétexte : pour un pantalon trop large ou pour être sortie sans chaussettes ; une petite fille de dix ans a eu les doigts coupés parce qu'elle portait du vernis à ongles

Les femmes ne sont même pas à l'abri à l'intérieur de leur maison ou les talibans peuvent pénétrer à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit et les frapper si elles écoutent la radio ou lisent des poésies

Elles n'ont pas le droit de regarder par la fenêtre puisque les talibans tirent à la Kalachnikov sur les femmes à leur balcon


Les droits des hommes

Les hommes aussi ont leurs droits sévèrement restreints par les talibans

* Obligation de porter une barbe longue et hirsute qu'il est interdit de couper, de soigner ou de tailler

* Obligation d'avoir la tête, les aisselles, et même le pubis rasés, ce que les talibans contrôlent parfois publiquement

* Obligation d'avoir la tête couverte

* Obligation de porter les mêmes vêtements que les talibans, sales et laids

* Interdiction de porter des vêtements modernes ainsi que les vestes traditionnelles de cuir brodé.

* Obligation de savoir des passages du Coran par cœur ainsi que les lois islamiques telles qu'elles sont reconnues par les talibans.

* Obligation d'aller prier à la mosquée 5 fois par jour. Les talibans établissent des listes par quartier et punissent sévèrement ceux qui ne vont pas à la mosquée

* Interdiction de parler à une femme, de soigner une femme (pour les médecins), de faire des habits pour les femmes (pour les tailleurs)

La répression des talibans envers les hommes n'est pas moins violente qu'envers les femmes. Un chirurgien qui opérait une femme a eu les deux mains brisées par les talibans

Si les femmes sont emprisonnées chez elles, les talibans condamnent leurs maris, frères ou pères, à être leurs gardiens et châtient sévèrement ceux qui ne surveillent pas suffisamment leur femme

De plus, les châtiments corporels comme l'amputation et la lapidation, qui n'étaient jamais appliquées en Afghanistan, sont maintenant monnaie courante.

Le racisme linguistique et culturel

Pour dominer et analphabétiser définitivement la population, les talibans interdisent la langue et la culture millénaire du pays

* Interdiction de parler le persan dari, langue véhiculaire de toutes les ethnies, langue de culture millénaire, langue de l'administration que les talibans veulent remplacer par le dialecte des villageois du Sud de l'Afghanistan, le pachtou de la région de kandalou d'où sont issus les dirigeants talibans

* Interdiction d'écrire en persan dari: les savants, les écrivains, les poètes sont pourchassés et emprisonnés.

* Interdiction de célébrer les fêtes traditionnelles : la fête du Nouvel An est supprimée, la date et le calendrier solaires en usage depuis des millénaires, ont été remplacés par la date et le calendrier lunaire musulman

* Interdiction de tout accès à l'information et au savoir. les cinémas ont été fermés, les films brûlés, les photos déchirées, les télévisions et les vidéos cassées, ainsi que les radios et les magnétoscopes. Les cassettes sont fracassées, déroulées et suspendues en guise de trophée à l'entrée des villes


Le racisme ethnique

Pour la première fois dans l'histoire du pays, des miliciens appliquent la politique ethnique d'un état voisin, le Pakistan, qui vise directement à la division du pays, en favorisant les Pachtouns et en éliminant les populations d'origine asiatique par la pratique du nettoyage ethnique :

* Déportations massives des Hazaras et des Ouzbeks du Nord du pays

* Disparition de milliers de jeunes hazaras et des ouzbeks de 10 à 13 ans, raflés et déportés vers une destination inconnue

* Massacre de plusieurs milliers de familles hazaras (personne ne connaît le nombre exact) dans les régions du Nord et du centre, en août et septembre 1998 et jusqu'à présent

* Réduction en esclavage des femmes âgées hazaras et de jeunes filles considérées comme "prise de guerre" par les talibans

Les biens de toutes ces populations sont réquisitionnés par les talibans et leurs terres redistribuées à des populations pakistanaises qui colonisent ainsi peu à peu le pays

Par ailleurs, en transformant les champs de blé en champs de pavot, les talibans ont fait de Afghanistan le premier centre mondial de production d'opium, soit 80% de l'opium et d'héroïne consommés en Europe

Afghanistan est maintenant le seul pays au monde où les dirigeants locaux élèvent officiellement une taxe sur la production de drogue et où la production et l'exportation de drogues son donc légales

Source - http://membres.multimania.fr/afghanbretagne/talibans.htm

 

Pourquoi nous ne voulons

pas

dans notre pays

voir

des

femmes captives

des

idéologies phallocrates islamiste?

 

Vient de paraitre

''Merci les filles'' de Valérie Ganne

"Merci les filles ! 1970-2010", de Valérie Ganne, Juliette Joste et Virginie Berthemet

"Vive les femmes !" proclamait Reiser. "Merci les filles !", renchérissent trois pétulantes créatures à la plume alerte, en hommage à leurs aînées, figures de proue de la lutte pour la libération de la femme. Parmi elles, la mère Denis, égérie publicitaire d'une marque de machines à laver. Dans un ouvrage rythmé, éclatant de couleurs, de facétie et d'humour, Valérie Ganne, Juliette Joste et Virginie Berthemet retracent les grandes heures du féminisme des quarante dernières années (1970-2010)

Une entreprise édifiante et jamais ennuyeuse, qui montre combien le septennat de Valéry Giscard d'Estaing fut celui des conquêtes féminines. C'est le 26 novembre 1974 qu'est adoptée la loi Veil autorisant l'interruption volontaire de grossesse, par 284 voix contre 189. L'Assemblée nationale ne compte alors que huit femmes, soulignent avec amusement les auteures, le regard espiègle et sans sectarisme. "L'avenir se fera hommes et femmes réunis, sinon, quel ennui !" concluent-elles, lucides. Fin de lextrait

 

Notes

"Livres Saints" inspirés directement par le Très Haut !

Et suprême raffinement, d' asservir la femme à l'homme!


Alors Yahvé Dieu fit tomber une torpeur sur l'homme, qui s'endormit. Il prit l'une de ses côtes .

Yahvé Dieu bâtit en femme la côte qu'il avait prise de l'homme, et il l'amena à Adam

Adam dit : celle-ci, cette fois, est l'os de mes os et la chair de ma chair ; celle-ci sera appelée femme

car c'est d'un homme qu'elle a été prise. Ainsi fut créée Eve."

(extrait de la Génèse, texte non canonique)

Fallait l'inventer [pas vraiment envi d'en rire]


Brève

C'est toujours

et plus

que jamais d'actualité 

 

Voir, dans l'actualité, Sakinech Ashtiani, le sort que l'Iran [ce grand pays – cette vieille civilisation – ce très grand pays du rêve islamique (rire)] veut réserver à une femme qui en commettant un adultère n'a rien fait d'autre qu' obéir à son corps, et respecter sa nature...

Et il y a encore des gens pour tenter nous faire accroire que les religions sont paisibles, qu'elles ont pour objet de relier les hommes entres eux – oui de relier en effet une majorité d'hommes entres eux au dépens des femmes... mais en aucun cas ne relient  pas les femmes et les hommes sur un plan d'égalité

 

Piqûre de rappel

Un pays n'est grand, quand par ces lois ils crée une dynamique d'instauration de l'égalité hommes femmes – et non pas comme c'est le cas dans tous les pays qui se réclament de l'islam une population de femmes inféodée de force à des idéologies patriarcales institionnalisées

Question pourquoi le fait religions [et les faits religieux] sont enseignés et pas l'athéologie?

Qui décide des contenus des programmes scolaires?

 

Brève

30 Août 2010

Un lecteur m'écrit; «vous êtes anti-islam... […/..] l'athéisme n'existe que par la critique des religions» Fin de l'extrait de ses remarques

Non! Résolument anti-religions duelle, qui ne sont rien de plus que des idéologies guerrières et sexistes

Je considère que la pire de toutes actuellement est celle du coran et de ses annexes comme la sharia et les codes de l'infamie en vigueur dans les pays où les pouvoirs traitent tous les habitants comme s'ils étaient tous des musulmans et font la chasse [parfois meurtrière] à tous ceux qui pensent autrement

Je ne confond pas culture et religion; de nombreux arabes [ou autres peuples] très cultivés comptent aussi parmi les incroyants....

Ceci dit, il vous est facile de vérifier que la critique des textes judéo-chrétiens et des propos tenus par les clergés font l'objet de ma part d'un abondant décryptage...

D'autre part l'athéisme ne se borne pas à la critique des religions; l'athéisme c'est avant tout une Éthique qui s'oppose radicalement aux moralines religieuses

MORALINE

Exemple nous considérons qu'emprisonner, assassiner ou lapider une femme ayant commis un adultère est un crime contre l'humanité

MORALE

Nous estimons que cette femme [par exemple Sakineh Ashtiani] en obéissant à son corps * a agit selon sa morale naturelle et non pas par idéologie

Crab

* Sachant que pour l'athéisme la psyché de l'humain est une modalité du corps [compte tenu que rien n'est jamais venu à ce jour démontrer le contraire] – qu'il n'y à pas de division en deux du corps – notre entendement et notre corps ne font qu'un

Piqûre de rappel

Avant la vie il n'y a rien, donc après la mort il n'y a rien – et cela n'a rien de dramatique...profitons durant notre vivant...

Suite sur...

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/41-les-diktats-mus...

Crab