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03/08/2015

Voilées « volontaires »

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Photo  montage - Crab - Linceul mortuaire

 

L’islam, antithèse du féminisme, par Eloïse Gloria

En fermant les yeux, de par cette peur stupide d’être taxées de fascisme, de prétendues féministes approuvent en silence la banalisation d’accoutrements qui sont à la fois des étendards idéologiques et des entraves à la vie active

 

Se réclamer du féminisme et défendre le port du voile islamique est un non-sens. L’islamisation d’une société signe, à l’inverse, la mort des droits des femmes à petit feu. Parce qu’elle légitime - voire impose – des pratiques obscurantistes, asservissantes, infantilisantes.

 

Dans une tribune publiée par The Guardian, la sociologue Christine Delphy, ancienne sympathisante du MLF qui fonda la revue Nouvelles questions féministes avec Simone de Beauvoir, réchauffe cet insupportable sophisme selon lequel les féministes devraient prendre le parti des femmes voilées musulmanes, au prétexte qu’elles constituent une minorité opprimée. À la lire, les féministes françaises ne sont rien moins que des islamophobes qui détournent le concept de « laïcité » pour vernir de respectabilité d’inavouables penchants racistes.

 

Ce raisonnement par l’absurde s’enlise dans l’inévitable comparaison avec les Occidentales fardées et juchées sur des talons hauts, qui seraient inféodées à une autre forme d’oppression, celle des diktats de la féminité. Christine Delphy semble faire abstraction du fait que les femmes islamistes cachent un corps dont il faudrait avoir honte, car source présumée de tentation, tandis que les bimbos, dont on peut certes contester le formatage marketé, sont fières de leur statut de femme, de leur émancipation chèrement acquise. Les premières s’en remettent à l’hypothétique volonté d’Allah toute leur vie durant (en admettant que le Coran prescrive vraiment de s’engoncer dans des tenues occultant tout ou partie d’un être) ; les secondes succombent par intermittence aux lois du consumérisme, se cloisonnent dans un rôle de séductrice, mais le font de leur propre initiative et gardent le pouvoir de renoncer à chaque instant à cette standardisation cosmétique. La liberté, c’est aussi celle de se tromper. Et de faire demi-tour.

 

Aveuglées par une vision embourgeoisée et poussiéreuse des droits individuels alors qu’elles se revendiquent progressistes, ces féministes d’arrière-garde sont une véritable nuisance à la cause des femmes, pour ne pas dire un repoussoir. Leur discours, parasité par des postures de tolérance naïve jusqu’à l’aberration, est déconnecté du monde réel. Le port du voile, qu’il soit subi ou choisi, est d’abord un acte communautariste, un refus d’assimilation, un désir de se marginaliser et d’être identifié comme élément d’une autre culture, d’une autre civilisation, où les femmes sont soumises aux exigences patriarcales. Le laxisme dont les politiques pusillanimes ont fait preuve face à la généralisation du port du voile a débouché sur une intrusion invasive des coutumes islamiques en France : les burqas s’affichent ostensiblement au mépris de la législation, les mosquées se multiplient, les écoles privées hors contrat musulmanes sont en plein essor. Autant de vecteurs d’endoctrinement des femmes dès le plus jeune âge.

 

Lutter pour ( préserver ) la condition des femmes revient à combattre sans compromis toute démarche conduisant à leur assujettissement, sous peine de voir s’effriter peu à peu le bénéfice des victoires passées. En fermant les yeux, de par cette peur stupide d’être taxées de fascisme, de prétendues féministes approuvent en silence la banalisation d’accoutrements qui sont à la fois des étendards idéologiques et des entraves à la vie active. Elles prennent aussi le risque d’être elles-mêmes confrontées, plus tôt qu’elles ne le pensent, au sexisme d’une religion qui voudra les mettre au pas. Contre l’intégrisme, le dialogue et la médiation sont inopérants. Seule l’opposition inconditionnelle l’emportera. - Eloïse Gloria

 

 

Suites : In vino véritas - mais pas pour le CSA

http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/08/in-vino-veritas-mais-pour-le-csa.html

ou sur

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2015/08/02/in-vino-veritas-mais-pour-le-csa-5665691.html

03 Août 2015

 

 

 

26/09/2013

Comité d’éthique sans religieux

L Univers  -  modèle le plus probable est plat.jpg

Les trois formes possibles de l'Univers.

 Le modèle le plus probable

 est l'Univers plat

 

 

L'État des lamentations

Les pleurnicheries d'un états qui aurait dû être démantelé, dissout depuis longtemps, où quelques notables du Vatican se plaignent de François Hollande et son Comité d’éthique sans religieux

 

Lu dans la presse en ligne :

Les grands débats de société qui s’annoncent en France dans les prochains mois sur la PMA (procréation médicalement assistée) ou la fin de vie, se feront au sein du Comité consultatif national d’éthique sans l’avis de religieux. Pour la première fois depuis sa création en 1983, les principales familles philosophiques et spirituelles présentes en son sein ne seront plus représentées par des ministres du culte.

Parmi la vingtaine de noms publiés le 22 septembre au Journal Officiel, le président de la République, François Hollande, a en effet choisi de nommer une historienne spécialiste de la réforme protestante Marianne Carbonnier-Burkard, en remplacement du pasteur Louis Schweitzer, dont le mandat de quatre ans arrivait à échéance et Lionel Naccache, neurologue, au poste du rabbin Michael Azoulay. Avec le départ du pasteur et du rabbin, les principales religions ne sont donc désormais représentées que par des laïcs.

 

Aucun religieux au sein du CCNE
Selon le quotidien Le Monde, qui est le premier à avoir révélé cette nouvelle composition, l’Elysée souhaite « revenir aux principes de création du conseil de 1983 et faire appel à des laïcs pour représenter les courants religieux ». Mais pour Xavier Lacroix, professeur de théologie morale et doyen de la faculté de théologie de Lyon, c’est un faux problème. « On peut appartenir à une religion sans être prêtre, pasteur ou imam. Je suis catholique, je suis laïc, avant moi il y avait trois religieux mais le premier représentant catholique était un laïc. Ce n’est donc pas nouveau. »

Outre cet aspect, les nouvelles nominations suscitent bien des commentaires en France. Certains critiquent ouvertement le choix de personnalités trop marquées politiquement, en l’occurrence à gauche. Le cas de Jean-Pierre Mignard, avocat et ami du chef de l’Etat, provoque quelques remous. D’aucun voit dans le choix de personnes dites progressistes une volonté du gouvernement et de la présidence une volonté de mettre de son côté le Comité avant la discussion de sujets très sensibles comme la PMA, d’autant que cette institution peu utilisée par Nicolas Sarkozy entre 2007 et 2012, est davantage sollicitée par François Hollande.

Là encore, Xavier Lacroix nuance : « On verra s’il y a un changement de couleurs. Jusqu’à maintenant les compromis étaient assez honorables. Chacun parle en son nom propre, au nom d’arguments de raison. On avance assez peu d’arguments politiques. Mais c’est vrai qu’il y a une certaine couleur politique. » Selon le théologien catholique, il faudra donc attendre de voir les avis qui seront rendus dans les prochains mois pour évaluer l’impact de ces nominations.

L' Elysée n'a pas consulté les instances religieuses
Le pasteur Louis, professeur d’éthique et de spiritualité à la Faculté théologique évangélique de Vaux-sur-Seine et dont le mandat n’a pas été renouvelé, le vrai problème est ailleurs. « La vraie question est de savoir si les représentants des grandes familles religieuses doivent être nommés par les instances religieuses concernées ou bien, si, comme le souhaite le gouvernement, doivent-ils l’être directement par le président de la République ou le gouvernement sans demander aux instances religieuses leur avis ».

La manière dont a procédé l’Elysée dans ce dossier va donc à l’encontre d’un usage qui voulait que « le président nomme ces personnes en demandant aux instances religieuses de suggérer des noms » explique Louis Schweitzer. Fait aggravant selon lui : « se passant de ces intermédiaires, on va nommer des gens forcément « proches » du pouvoir politique. Donc on met sur la touche le catholicisme, le protestantisme, le judaïsme et l’islam pour des questions de société et d’éthique pour lesquelles les religions ont leur mot à dire ».

La perspective prochaine de grands débats sur la PMA ou la procréation pour autrui a certainement incité le gouvernement à la prudence en se passant de cet avis des instances protestante et juive. L’opposition qu’il a rencontré pendant la discussion du projet de mariage pour tous de la part d’une partie de la population et des religions, et l’avis très mesuré du CCNE concernant la fin de vie, ont sans aucun doute échaudé un pouvoir qui entend entre autre s’appuyer sur les conclusions du CCNE pour faire passer ses projets controversés. Selon radio Vatican

 

Séparation des religions et des consciences

La laïcité c'est la séparation de l’Église et de l’État, dans notre pays elle n'est pas respectée, en cause : le financement du Concordat et en partie des écoles confessionnelle avec les deniers du contribuable, un détournement de l'argent public, qui s'opère dans le plus grand mépris de la conscience des incroyants, des agnostiques ou de croyants ( déistes ) sans confession

C'est en cela que l'athéisme exige d'être respecté et s'emploie à obtenir la séparation des religions et des consciences

 

Dans une société démocratique, il faut tout faire pour obtenir la séparation des religions et des consciences

Les religieux prétendent tout savoir, alors qu'ils ne savent rien ;

c'est à mettre en rapport avec ce qui est l'honneur des scientifiques qui eux adorent ne pas savoir et le font savoir

Non seulement les incroyants ne sont pas représentés, mais par dessus le marché nous avons affaire à des gens persuadés de détenir la vérité : laïcs représentants les religions ou religieux nommés par les religions

Comment, dans cette condition, pourrait-ils, ces religieux siéger dans ce comité ou prime la recherche de l'Éthique ?         Crab - 26 Septembre 2013

 

Suites :

http://laicite-moderne.blogspot.fr/search?q=L%27UNIVERSEL

 

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2013/07/20/matieres-et-energies-5125495.html

 

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2013/02/11/voir-l-humain-autrement.html

 

 

 

14/10/2010

DIGNITÉ DE LA FEMME

ÉGALITÉ

 

FEMMESHOMMES -

Burqa et le Senat02-476aa.jpg

Remerciements les plus vifs et les plus chaleureux à monsieur Robert Badinter, sans oublier les combats menés par madame Élisabeth Badinter ni celui des associations lucides qui ont sut faire abstraction de toutes les polémiques politiciennes ou  sectaires en participant activement à toutes les actions qui ont permis le vote de l'interdiction de la burqa

Remerciement à Jean-François COPÉ qui avait pris position sans ambages [je ne peux citer tous les élus qui avaient compris que c'est la liberté de conscience qui était – est - contestée et menacée par l'islam politique]

Crab

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Mardi 14 septembre 2010 2 14 /09 /2010 19:28

Robert Badinter vote l'interdiction de la burqa le 14 septembre 2010 au Sénat

Le sénateur Robert Badinter vote l'interdiction de la burqa le 14 septembre 2010

Séance au Sénat du 14 septembre 2010 (compte rendu intégral des débats)

PRÉSIDENCE DE Mme Monique Papon

 

Mme la présidente. La parole est à M. Robert Badinter, pour explication de vote.

M. Robert Badinter.
Madame la présidente, madame la ministre d’État, mes chers collègues, toutes les convictions qui se sont exprimées au cours de ce débat sont honorables, et je conçois parfaitement qu’une diversité d’approches se manifeste, notamment sur le plan juridique, dès l’instant où, unanimement, nous condamnons le port de la burqa ou du niqab.

Je commencerai par deux observations d’ordre juridique.

Je souhaite d’abord adresser une recommandation à Mme la présidente, en ce qu’elle représente le président du Sénat. Quel que soit le texte voté, il faut que le président du Sénat, comme celui de l'Assemblée nationale, le défère au Conseil constitutionnel. Je rappelle que le Premier ministre a demandé l’avis du Conseil d’État, mais qu’il ne l’a pas suivi, en tout cas pas complètement, et que, sur cette question, l'Assemblée nationale a adopté une position différente. Par conséquent, le risque existe.

Je n’aurai garde de prendre part à la discussion sur l’étendue de ce risque. Il revient maintenant au Conseil constitutionnel de se prononcer pour savoir si ce texte est constitutionnel ou non. Il doit être saisi immédiatement pour éviter que ne perdure une sorte d’indécision juridique, toujours préjudiciable quand il s’agit d’une question de cette importance, et que l’on soit contraint d’attendre l’inévitable question prioritaire de constitutionnalité. Je souhaite que cela soit fait. Je ne suis pas absolument convaincu que ce ne soit pas déjà l’opinion du président du Sénat et de celui de l'Assemblée nationale.

Sur la conventionnalité, ensuite, je formulerai deux remarques.

Dans un arrêt du 13 février 2003, la Cour européenne des droits de l’homme a adopté une position très claire sur les mesures d’interdiction de tous ordres prises par le gouvernement turc, soulignant qu’elles étaient parfaitement compatibles avec la Convention européenne des droits de l’homme. En 2010, une nouvelle décision est intervenue, dont il a été fait état au cours de ce débat : il s’agissait d’hommes portant des tenues montrant leur adhésion à une fraction religieuse extrême. Je le précise pour une raison simple : la Cour européenne des droits de l’homme a souligné que le problème était d’ordre religieux. Or la question dont nous débattons aujourd'hui n’est pas celle de l’atteinte à la laïcité.

M. Jean-Jacques Hyest, président de la commission des lois. Eh non !

M. Robert Badinter. C’est celle de l’égalité des femmes et des hommes, de l’égalité de droits, de condition, de la dignité et de la liberté des femmes,…

M. Roland Courteau. Très bien !

M. Robert Badinter. … toutes choses qui n’étaient pas soumises à la Cour européenne des droits de l’homme dans son arrêt du 23 février 2010. Il n’est pas indifférent de le rappeler.

J’en viens à mon propos essentiel : pourquoi vais-je voter ce projet de loi ? N’étant pas naïf, je sais très bien quelles étaient les motivations politiciennes à l’origine de ce besoin soudain de légiférer dans ce domaine. Je laisse toutefois cela de côté…

Certains se rendent dans les pays du Golfe et y constatent les progrès accomplis en matière de condition des femmes. D’autres, comme moi, s’intéressent à la vie des instances des Nations unies, en particulier du Conseil des droits de l’homme à Genève. J’ai eu l’occasion de le dire aussi bien à la commission des affaires européennes qu’à la commission des affaires étrangères, nous ne devons pas nous aveugler : nous sommes en présence de deux visions des droits de l’homme et nous vivons l’un des affrontements idéologiques les plus durs que nous ayons connus depuis les années de la guerre froide.

Ce conflit n’est pas, en effet, sans rappeler le temps où les communistes considéraient que s’opposaient deux visions des droits de l’homme, l’une bourgeoise, l’autre socialiste. Aujourd'hui, toutefois, il s’agit d’autre chose. Au sein de ces instances, nous avons constamment face à face, d’un côté, tous les États démocratiques, qui soutiennent le principe de l’universalité des droits de l’homme, et, de l’autre, les États qui répondent que les droits de l’homme sont un cadeau fait par Dieu à l’homme pour le rendre plus heureux sur cette terre, mais qu’ils doivent être interprétés à la lumière de la charia. Je pourrais citer un nombre important de textes qui reprennent cette position. Il n’est qu’à lire la dernière résolution proposée et votée sur l’initiative de la République islamique d’Iran lors de la 35e session du conseil des ministres des affaires étrangères de l’Organisation de la conférence islamique, qui réaffirme cette doctrine. Nous sommes bien là en présence d’un conflit majeur, en particulier pour les laïcs que nous sommes.

Lorsqu’interviennent des questions essentielles, telles que la peine de mort ou la résolution adoptée par le même conseil des ministres des affaires étrangères de l’Organisation de la conférence islamique en 2004, à la suite d’une protestation de l’Union européenne, sur la lapidation des femmes, cela prend tout son sens. La réponse fut : cela ne vous regarde pas, l’Union européenne n’a pas, au nom de sa conception des droits de l’homme, à nous donner de leçons sur ce que doit être la loi islamique.

Or il est des principes avec lesquels nous ne pouvons transiger, notamment celui qui nous occupe aujourd'hui, à savoir le principe fondamental, presque primordial, de l’égalité entre hommes et femmes.

Nous ne cessons d’œuvrer pour le faire entrer plus avant dans nos sociétés. Or, ce principe est défié. Et ceux qui le défient le font, croyez-moi, en connaissance de cause, pour tester nos facultés de résistance.

On ne peut pas transiger avec ce principe, s’accommoder d’un signe, d’un signal, d’une tenue. Car le voile est porté où, et par qui ?

Ce sont les talibans qui contraignent les femmes à porter la burqa. Dès que les talibans prennent ou reprennent le pouvoir, la burqa devient obligatoire et, parallèlement, les filles sont retirées des écoles. C’est à ce moment-là que le port de la burqa prend toute sa signification.

Au-delà même du port du voile intégral dans la rue, il faut voir le symbole qui est transmis, exprimé, inscrit dans cette tenue. Nous devons donc réagir. Il s’agit, je le répète, d’un principe avec lequel nous ne pouvons pas transiger, que nous ne pouvons pas abandonner.

Je rappelle simplement, mais c’est essentiel, que le droit à la liberté d’opinion figure dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
À l’époque, on avait précisé, ce qui était singulier, « même religieuse » ! Alors, la liberté d’opinion religieuse ? Oui ! La liberté de pratiquer sa religion ? Oui ! La laïcité les garantit à chacun.

Mes chers collègues, en interdisant le port du voile intégral dans l’espace public, vous n’empêchez personne de pratiquer sa religion. Ce n’est pas une dragonnade ou une inquisition ! Nous favorisons au contraire, comme je le souhaite, par la construction de mosquées et par l’expression constante de notre sympathie, de notre amitié, la garantie à tous ceux qui le veulent d’exercer leur croyance et leur foi.


En interdisant le port du voile dans l’espace public, vous n’empêchez pas celles qui le veulent de pratiquer leur religion, mais vous ne tolérez pas que les éléments les plus intégristes et les plus fanatiques affichent et proclament leur vision, que nous ne pouvons pas accepter, d’une société où les femmes disparaissent de l’espace public et ne sont plus que des fantômes. Cela, non ! Et c’est la raison pour laquelle je voterai ce projet de loi.

(Applaudissements sur l’ensemble des travées.)

Robert Badinter.jpg

 

Tous les voiles islamiques

auraient

faire l'objet de la même interdiction!

 

Pourquoi?

Considérons l'argument le plus hypocrite qu'il ait été tenu d'entendre ou de lire ça et là pour maintenir le port du voile: Soit l'inégalité entre femmes et hommes

  Une association qui caricature à qui mieux mieux le combat féministe universaliste *   [voir les deux  notes en fin de texte] fait savoir qu'ils et elles connaissent le vrai sens du port du voile – hé oui mon bon monsieur, ma bonne dame, c'est qu'ils  et elles sont évolués nos ''féministes''

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citation

le symbole et l'acte – par le bureau des chiennes de gardes

- publié en 2005 -

''Qu’est le voile? D’abord, un symbole religieux et politique. C’est le symbole d’une oppression des femmes, d’une diabolisation du corps et de la sexualité des femmes, qui fait des femmes des indécentes par nature qu’on doit camoufler, entraver. Pour nous la réalité et l’interprétation de ce symbole ne souffre aucune contestation.'' Fin d'un premier extrait

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Mais, [comble de l'inconscience) ajoutent t-ils et ajoutent t-elles;

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''Mais le voile a une réalité concrète, il est porté par des filles et des femmes bien réelles. Et nul-le ne peut entrer dans l’esprit de ces femmes pour y découvrir les raisons précises qui les motivent. Porté par conviction religieuse, par lassitude, par faiblesse ou par calcul, par provocation ou par ras-le-bol, les personnes qui se sont donné la peine de rencontrer des femmes voilées savent combien il existe de cas différents. Qu’une fille, qu’une femme veuille avoir la paix en rentrant chez elle, veuille ne plus être insultée, veuille aller à l’université et ait besoin pour cela du soutien parental, etc., quelle féministe pourra l’en accuser? Accusons le voile, et ses justifications religieuses intolérablement sexistes. Mais pas les porteuses de voile. '' Fin d'un deuxième extrait - un propos qui n'est rien de plus qu'expression d'une ''démarche'' diffamatoire

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Nous savions qu'Épicure avait ses pourceaux – à présent nous savons que les féministes universaliste ont leurs chiots

Pourquoi, ces arguments sont diffamatoires?

_

Ils affectent d'ignorer que la problématique dans l'interdiction du voile à l'école et dans les administrations, n'était pas la différence qu'il peut y avoir entre ce qui relève du symbole et ce qui revient à un acte individuel, car par la loi, le but recherché à l'époque était la protection de l'enfance et plus particulièrement d'éviter la maltraitance intellectuelle des fillettes …

Sinon c'était [c'est] admettre que les parents ont ce droit terrifiant, celui de ne pas respecter la liberté de conscience de leurs enfants – [ce qui est trop souvent le cas] la porte ouverte à l'endoctrinement et à sa conséquence: L'aliénation, l'assujettissement de la conscience des fillettesà une idéologie masculine fondée sur des valeurs négatives ou guerrières [les patriarcats]

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C'est en ce sens qu'il est en effet regrettable que la loi d'interdiction... sous la Présidence CHIRAC n'ait pas été voulue applicable sur l'entier espace public

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Dans l'état actuel, compte tenu des tentatives de faire régresser les droits des femmes, pourquoi à nouveau ne pas remettre en débat l'interdiction des voiles islamiques sur l'ensemble du territoire ce qui démontrerait que notre démocratie est capable de lever toute ambiguïté quand à la signification réelle du voile?

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Les deux notes

* Ces aboiements [1] sont des propos qui trouveraient toutes légitimités chez Ardisson où ''l'humour'' misogyne reflet d'une masculinité ancestrale y est considéré comme unecroyanceaussirespectablequ'uneautreou un Ruquier recevant un Tarik Ramadan sans lui opposer sur le plateau un de ceux que ce dernier s'empresse de dénigrer avec la malhonnêteté intellectuelle qui le caractérise

* Dans ''Fausse route'' [à partir de la page 186] Élisabeth BADINTER décrit très bien ce bricolage idéologique qui se fait passer pour féministe

[1] Mais ce ne sont qu'aboiements de ''féministes de basse-cour'' l'esprit encore englués dans les moraline religieuses - la caravane passe, maintient son cap; la prise de conscience que le féminisme est universel et ne peut être assujetti aux bricolages idéologiques identifiés par des différenciations que tente d'installer dans notre pays un clanisme résurgence d'un âge révolu, ennemi de la femme libre et autonome   Crab

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Vidéo:

Elisabeth_Badinter__Simone_de_Beauvoir

http://blvids.free.fr/Elisabeth_Badinter__Simone_de_Beauvoir.mp4

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Simone VEIL

http://blvids.free.fr/Simone_Veil___la_loi_d_une_femme.flv

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Brève du 17 Otobre 2010

Publié dans Marianne2

Les ANI, ces informations que zappent les médias...

Eric Conan - Marianne | Dimanche 17 Octobre 2010 à 07:01

Il est des ANI, actualités non identifiées. Elles passent mais on n'y prête guère attention. Préférant l'écume de l'information à son fond. Dernier exemple en date, la validation par le Conseil Constitutionnel de l'interdiction du voile intégral dans l'espace public, passé quasiment inaperçue.

Trou noir.jpg

C'est devenu une banalité de le relever : certaines informations, certains faits tombent dans des « trous noirs » de l’actualité. Ils disparaissent des pages, des écrans ou des micros sitôt annoncés quand d’autres sont disséqués, mis en scène ou montés en polémique jusqu’à plus soif. Dernier exemple : l’annonce, il y a une semaine, le 7 octobre, de la décision du Conseil constitutionnel de valider la loi interdisant la dissimulation du visage dans l'espace public et visant implicitement le voile intégral. Des brèves ici et là, mais peu de détails sur le contenu et les motivations, et encore moins de commentaires. Un silence d’autant plus remarquable que la position supposée du Conseil Constitutionnel avait fait l’objet d’une avalanche d’hypothèses, supputations et suppositions au moment de l’annonce et de la discussion de ce projet de loi controversé.

On se souvient que nombre d’acteurs politiques, notamment à gauche, avaient excipé du barrage inévitable et imparable du Conseil Constitutionnel pour adopter une position de défausse : ils se prononçaient contre le voile intégral mais aussi contre une loi l’interdisant en expliquant avec assurance qu’elle était contraire à la Constitution, aux droits de l’homme, au droit européen, au respect de la personne humaine, etc… Et que le Conseil constitutionnel serait contraint de la recaler. D’ailleurs, disaient-ils, n’était-ce pas déjà la position ancienne, invariable et réaffirmée du Conseil d’Etat et de ses fins juristes qui avaient encore expliqué en mars dernier qu’une interdiction totale du voile intégral était juridiquement impossible ? Position du Conseil d’Etat dont s’était prévalue la direction du Parti socialiste pour ne pas voter la loi, consigne qui ne fut d’ailleurs pas suivie par plusieurs députés socialistes ainsi qu’une grosse partie des sénateurs socialistes emmenés par Robert Badinter, lequel avait argumenté contre la position officielle de son parti en assurant qu’une interdiction était conforme à la Constitution. Il avait raison et le Conseil, gardien de cette dernière, l’a dit très clairement et très simplement.

Avec quels arguments ? Ils n’ont quasiment pas été précisés par les médias alors qu’ils tiennent en quelques lignes. Le comble est que, parmi les très rares commentateurs, beaucoup ont raconté que le Conseil jugeait que « la laïcité » française permettait cette interdiction ou qu’il « réaffirmait le caractère laïc de la République française ». Ce qui montre qu’ils n’ont même pas pris la peine de lire le très court texte de la décision qui n’invoque à aucun moment la laïcité, avec laquelle le voile intégral n’a rien à voir, comme beaucoup de juristes avisés l’avaient déjà souligné.

Le Conseil Constitutionnel n’invoque en effet pas une seule fois la laïcité, terme totalement absent de sa décision qu’il a appuyé en validant les trois arguments invoqués dans la loi et dont aucun ne fait allusion à la religion : 
1) le voile intégral constitue un « danger pour la sécurité publique »,
2) il ne répond pas aux « exigences minimales de la vie en société »,
3) il place les femmes « dans une situation d'exclusion et d'infériorité manifestement incompatible avec les principes constitutionnels de liberté et d'égalité »
En invoquant les nécessités de « l'ordre public », dont l’état des mœurs d’une société fait partie, le Conseil Constitutionnel a rappelé que la loi a le droit de défendre « les actions nuisibles à la société » et estimé que la dissimulation contrainte ou volontaire du visage en faisait partie. Il affirme ainsi nettement que la cohésion sociale nécessite le respect de l’état juridique et culturel de la société française : les « exigences minimales de la vie en société » sont évidemment celle d’une société bien précise et pas virtuelle ou imaginaire. Le Conseil Constitutionnel s’oppose ainsi nettement à la thématique du multiculturalisme qui n’a cessé d’inspirer le Conseil d’Etat. Mais aussi la plupart des médias. Est-ce pour cela qu’ils toussent et qu’on ne les a pas entendus depuis la décision du Conseil ?

Fin de l'article

-

Djamel Debbouze avait déclaré, pour justifier la burqa, ….''que l’Islam était en Europe depuis 3000 ans'' [RIRE]

La réponse d'une lectrice, dans un forum:

"Cette “dimension” est entrée en Europe par la violence les armes à la main en 711, en 721 cette dimension assiégeait la ville de Toulouse , toujours les armes à la main et il fallu l’alliance de toutes les populations d’Aquitaine, Basques , Vascons , Wisigoths, Gallo-Romains pour la repousser une première fois, et elle remettait le couvert en 732 aux portes de Poitiers où il fallut cette fois-ci l’intervention des Francs d’un Charles Martel pour l’arrêter une bonne fois pour toute, et la dimension “européenne” allait encore continuer à piller et ravager toute la Provence et jusqu’aux Abbayes de Cluny et aux Portes de la Bourgogne pour nous faire connaître la “finesse” de sa “culture”, voilà , en gros ce qu’est la “dimension” européenne de l’islam!

Fin

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Le ''visage'' de la mort-

Suite sur...

Conseilmusulman féminin de la fatwa

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/conseil-feminin-de...

 

06/06/2010

sur LCP

 

Un voile jeter sur le combat

féministe?

 

Jeter sur le combat.jpeg

Peinture numérique - Crab -

Dimanche 06 Juin 2010 - en soirée à 21h00 j'ai suivi sur LCP

Le film documentaire d'une Française et Iranienne - Négar Zoka tente de comprendre ce qui pousse, dans la France d'aujourd'hui, quelques milliers de femmes à porter le niqab. Cette question l'amène aussi à se demander pourquoi la République se sent à ce point menacée par une minorité d'individus vivant en marge de la société. Membres de la mission parlementaire, du mouvement salafiste, femmes portant le niqab et militantes laïques donnent leur point de vue

La France menacée? NON!

Une France déterminée à faire respecter les droits de l'humain – la France qui se sentirait menacée relève des habituels grotesques propos qui n'ont pas d'autres objets que de détourner tout un chacun de la réflexivité et surtout de tenter d'enterrer le débat –

La France se sent responsable

Dans ce film documentaire un témoignage où deux aliénées [''voilées volontaires''] prétendent dépasser les combats mené avant elles par les féministes – en réalité se donnent ''une existence politique'' devant les caméras par défaut de capacité à être créatives ou solidaire des femmes qui refusent la soumission – ''voilées volontaires'' dans l'incapacité de décrypter par elles-mêmes le caractère non religieux - mais celui de la représentation symbolique parfaitement identifiée du patriarcat

C'est de l'avenir des enfants dont la République se sent responsable et se doit de les protéger des idéologies de régressions de la mixité sociale – la France ne peut laisser endoctriner dès leur plus jeune âge les petits garçons et les petites filles par des adultes qui auraient toutes latitudes de leur faire intérioser que le statut normal d'une femme est d'être cette sorte de chose indifférenciée - clonée

Sachant que le port de tous les voilent ne relève pas d'une religion de qualité (1) - puisque religion signifie relier et non pas le rejet des autres - bien qu'il n'y ait rien conçernant le port des voiles dans aucune des sourates d'un texte rédigé par des hommes [le coran] où ''la parole'' prétendue divine, ne s'adresse jamais a la femme mais exclusivement à l'homme

 

Sur le film proprement dit ''il n'apporte rien de plus'' que ce que rapporte confusément depuis des années la plupart des médias– mettre tout sur le même plan – comme si toutes les analyses des uns et des autres avaient la même valeur

Hors dès le point de départ la problématique est faussée par ce que j'appelle ''les pré-définitions de jugements de valeurs dans un ''grand classique'' – c'est à dire traiter le sujet sur ''le principe d'une méthode duelle – soit par le jeu de l'interview d'exposer le point de vue des pour où des contres -

Pas un mot sur les origines pré-islamique du voile ni sur l'inexistance du mot voile dans la langue arabe du coran

Mon commentaire a pour vocation d'attirer l'attention sur la pratique d'une méthode duelle utilisée par la réalisatrice - comme dans la plupart des documentaires présentés dans les médias de télévisions – méthode ignorant sur ce sujet précis que la plupart des téléspectateurs n'ont pas pris la peine ou jamais trouver le temps [pour certains n'y ayant jamais trouvé le moidre intérêt] d'étudier les mythes de l'antiquité et leur rapport avéré ou non avec les religions duelle - ni l'exploitation par des islamiste dans l'actualité qui sous le couvert [sorte de cheval de Troie] de la liberté de conscience essaient de faire passer les voiles vieux dans les diktats du patriarcat de plus de cinq mille ans et de trente deux siècles pour les plus récents pour des commandements divins du coran

''la République se sent à ce point menacée'' - ce qui dans cette forme de présentation devient le fil central du documentaire escamote le fait que républicain c'est être responsable – c'est être conscient que nos actes sont la cause de notre avenir et de celui de nos plus jeunes

(1) Rire un peu

 

10 C F de la fatwa 2.jpeg

 

Clonage des esprits – la conséquence

 

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Suite sur

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/conseil-feminin-de-la-fatwa/

01/01/2009

Ne pas se voiler la face

 

 

Voiles islamiques.jpg

Peinture numérique - Crab -

Résurgences islamistes

 

La loi

Quelques personnes, encore de nos jours, considèrent que c’était un échec de la République de recourir à une loi pour interdire le port du voile dans les écoles

Eh bien non!

Cette loi était nécessaire, exactement comme il fallait des lois pour interdire le mariage forcé, interdire de battre les femmes, interdire la polygamie institutionnalisée, interdire l’excision des fillettes…/…

Et des lois dans de nombreux domaines des Droits de l’Homme-complétés de ceux des Droits de la femme

Il faut des lois, car l’Humanisme et son corollaire la Démocratie doivent être défendu contre la barbarie - la loi fait fonction de première ligne

Quand des individus commettent des meurtres, dit-on dans ces cas là que c’est un échec de la République - que la loi n’autorise pas de tuer ''est inefficace''? (sauf en période de guerre)

Qu’est-ce que la religion du voile? L’idéologie devrais-je dire...

Ce qui caractérise, non pas le croyant plus ou moins déiste ou plus ou moins théiste si je puis dire, mais le ''croyant religieux'' vivant totalement assujetti dans une religion duelle (1), dans l’incapacité d’indépendance d’esprit, mais pire plus particulièrement l’extrémiste qui n’a pas d’autre empressement que de faire la confusion entre religion et lutte politique

L’islamiste (mais cela vaut pour les fondamentalistes des autres religions monothéistes) fonde son idéologie ou la bâtis à partir de pratiques de désinformations qu’il met lui-même en œuvre voire en scène

Son objectif majeur

Maintenir la femme dans un rôle mineur

Dans cette condition, parler de civilisation islamique [RIRE], c’est dévoyer la notion même de civilisation ; sans l’égalité hommes femmes il ne peut y avoir de civilisation

C’est faire injure à toutes ces femmes qui sont venues demander l’asile politique et se réfugier dans des pays non musulmans

C’est faire injure, à toutes celles, les mariées de force, les cloitrées, les assassinées au nom de l’honneur placé au dessous de la ceinture des femmes, de toutes celles qui ne peuvent s’enfuir

C’est faire injure aux laïcs (hommes et femmes) qui dans ces pays d’intolérances, (ou toute forme d’indépendance d’esprit est menacée quotidiennement), sont obligés de garder le silence sous peine d’être emprisonnés ou assassinés.

Le voile (2), dans la religion ou l’idéologie islamique, est non seulement une forme de discrimination sexuelle, mais surtout symbolique, l’exemple le plus visible d’une volonté affligeante de nier la femme en tentant de la priver de toute possibilité d’autonomie et de liberté.

Sans le port du voile est-on bien sûr qu’elle suivrait la loi, cette prétention masculine maladive de régir leur comportement.., sexuel cela s’entend...

(1) Monothéistes par exemple

(2) Que dit le verset 59, citation: «O prophète! Prescrits à tes épouses, à tes filles et aux femmes des croyants d’abaisser un voile sur leur visage. Il sera la marque de leur vertu et un frein contre les propos des hommes… » [Nous n'ignorons pas que cette interprétation est erronée le mot voile n'a pas d'équivalent dans la langue arabe du septième siècle] mais utilisée par les islamistes

Fin de citation

 

Cela signifie tout simplement, dissimuler ses épouses et ses filles, aux regards des autres hommes

En fait, ''cette prédiction'' n’est rien de plus que le propos d’hommes empreints d’une maladive jalousie

Les islamistes en font une prescription à l'ensemble des femmes car ils ont peur de la femme.

L’idée ou la peur d’être fait cocu leur est aussi insupportable qu’elle l’était pour leur prophète Mahomet

Comme ''on'' peut le voir cela n’est en rien une ''prescription divine''

(D’ailleurs soit dit en passant, si s’agissait d’une prescription divine, cela ferait de la construction qu’ils nomment dieu, rien de plus qu’un petit minable)

En réalité qu’elle est l’origine du port du voile imposé aux femmes du Moyen-Orient?

Il vient d’une très ancienne et déplorable coutume institué dans un ''monde'' dominé par une idéologie phallocrate.., en Assyrie

Une trace figure dans les lois instaurées par Teglath-Phalazar Ier (transcription du nom assyrien Toukoulti-apal-Esharra qui signifiait littéralement ''l’enfant de la déesse Esharra est ma force''), rois d’Assyrie qui régna au XIIe siècle avant notre ère

Soit dix neuf siècles avant les premières rédactions du coran [RIRE]

Que décrétaient ces lois

«Les femmes mariées qui sortent dans la rues n’auront pas la tête découverte. La concubine qui va dans la rue avec sa maîtresse (l’épouse) sera également voilée. La hiérodule (prostituée sacrée) qu’un mari a prise sera voilée dans les rues. Et celle qu’un mari n’a pas prise ira la tête découverte. La prostituée (non sacrée) ne sera pas voilée, sa tête sera découverte»

Ou est le divin dans cette réglementation de maquignon?

(Trop pénible pour en rire)

En conclusion, pour protéger nos libertés, il faut des lois mais allons jusqu’au bout; demandons l’interdiction sur l’ensemble de notre territoire de tous les attributs vestimentaires islamique: voile, tchador ou tchadri ou burka

01 01 2009 Crab

Notes
Le mot "voile" est utilisé comme traduction non pas pour deux termes différents -ce qui est déjà beaucoup- mais bien pour trois :

Dans le Coran, ''Nous plaçons, entre toi et ceux qui ne croient pas en l'au-delà, un voile [Hijabaan] invisible (Coran XVII, 45)''

Donc ici il est question d'un "voile" de séparation, c'est à dire "hijab", terme couramment employé pour désignerle "voile islamique" – inention des islamistes pour ''tatouer'' les femmes du clan

Le voile que les islamiste tentent de nous mettre devant les yeux
Que la malédiction d'Allah soit sur les injustes, qui obstruaient le sentier d'Allah, qui voulaient le rendre tortueux, et qui ne croyaient pas à l'au-delà. Et entre les deux, il y aura un mur [Hijabun] invisible... (Coran XVII, 45) ; ...Et si vous leur demandez quelque objet, demandez-le leur derrière un rideau [Hijabin] : c'est plus pur pour vos coeurs et leurs coeurs ; vous ne devez pas faire de la peine au Messager d'Allah, ni jamais vous marier avec ses épouses après lui... (Coran XXXIII, 53)

Deux traductions différentes du mot "hijab"! Curieusement le voilà tantôt présenté comme "mur" entre les gens du Paradis et ceux de l'Enfer, tantôt comme un "rideau" préservant l'intimité des épouses du prophète de l'islam... en se basant sur ce dernier passage les juristes musulmans misogyne ont fait évoluer le sens de "hijab", glissant de l'empêchement de voir à une prétendue préservation de la pudeur

Piqûre de rappel

La pudeur c'est faire preuve de retenue – le contraire de s'exhiber avec un des voiles -


Dévoyement du mot « voile »
''Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté, et de ne montrer de leurs atours que ce qu'en paraît et qu'elles rabattent leurs voiles sur leurs poitrines ; et qu'elles ne montrent leurs atours qu'à leurs maris ou à leurs pères ou à leurs frères ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs maris, ou aux femmes musulmanes ou aux esclaves qu'elles possèdent, ou aux domestiques mâles impuissants, ou aux garçons impubères qui ignorent tout des parties cachées des femmes. Et qu'elles ne frappent pas avec leurs pieds de façon que l'on sache ce qu'elles cachent de leurs parures. Et repentez-vous tous devant Allah, Ô croyants ! afin que vous récoltiez le succès [Sourate 24, verset 31 ]''

C'est bien de la poitrine et non pas de la tête – ni du nez dont-il s'agit – mais de demander aux femmes de renier leur féminité – en fait des jaloux maladifs qui se considèrent propriétaires du corps de la femme et ont une peur panique du regard des autres hommes -