Sans abris

Chômage de masse

49% ( +8 points par rapport à novembre 2014 ) des femmes isolées n'ont jamais eu de place d'hébergement après leurs demandes au 115, contre 46% des hommes isolés - lu dans la presse -

Pratiquement il en est ainsi depuis le début des années cinquante : quoi qu'il fût entrepris par les pouvoirs publics ou par les associations, le nombre de personnes de plus ou moins en grandes difficultés n'a cessé de croître en métropole dont un plus grand nombre de femmes

Pour répondre efficacement dans l'urgence à cette intolérable situation il faut avoir le courage de dire qu'il faut cesser d'accueillir des étrangers voulant s'installer dans notre pays durant pour le moins les trois ou quatre décennies à venir sinon dans cinquante ans nous aurons toujours autant de sans abris voire plus, sans compter les centaines de milliers de personnes occupantes de logements inadaptés ou carrément malsains quand elles n'ont pas d'autres déconvenues que de se cantonner dans un bidon-ville

Mettre un terme durant une période donnée à l'immigration c'est être réaliste et non xénophobe comme, à longueurs d'antennes, le martèlent « nos belles âmes » chantres très médiatisés de la pensée dominante qui tentent d'interdire, au quotidien, de nommer les réalités de notre société

Afin de répondre et mettre un terme à la désagrégation de notre société à cause du chômage de masse et de la pauvreté qui tend à se généraliser trois mesures politiques, dans le même temps, sont à prendre :, 1 - ne plus encourager la natalité, 2 - fermer les frontières 3 - et participer activement au développement des pays d'où partent les migrants pour venir en France ou en Europe

Est-il temps encore ou possible de se poser cette question : au nom de quels intérêts doit-on maintenir indéfiniment la pauvreté et l'anxiété séculaire, mais grandissante dans notre pays ? - Crab - 22 Décembre 2015

Suites :

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Déroulé d'articles :

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