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26/10/2011

L'UNIVERS

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Margherita Hack

 

 

L'univers,
n'a pas de centre puisque l'univers n'est pas fini, plat et est en expansion...

 

C'est le déplacement de la lumière à partir d'objets observés qui permet de démontrer que l'univers est plat

 

Petite bibliographie

Margherita Hack '' et l'infini '' * , Étienne Klein '' Petit voyage dans le monde des quanta '' et '' les tactiques de chronos '' Hubert Reeves '' dernières nouvelles du cosmos '' et '' Patience dans l'azur ou encore '' Enfants du soleil '' d'André Brahic

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Istituto Nazionale di Astrofisica di Arcetri

 

: Margherita Hack

Elle s'est diplômée en physique en 1945, avec une thèse d'astrophysique sur les céphéides (une classe d'étoiles dites variables dû à la variation de son éclat) élaborée à l'Observatoire Astronomique d'Arcetri, où elle s’occupa de spectroscopie stellaire, son principal champ de recherche. Elle fut professeur d'astronomie de 1964 à 1997 à l'Université de Trieste, où elle est ensuite devenue professeur émerite en 1998.
Première femme à diriger un observatoire astronomique en Italie (elle a en effet dirigé l'Observatoire Astronomique de Trieste de 1964 à 1987), elle a entrepris une importante activité de divulgation de la science et a solidement contribué à la recherche, l’étude et le classement de beaucoup de catégories d'étoiles.
Sa gestion, revitalisa une institution qui était la dernière en Italie, en la portant à la renomée internationale. L'énorme développement des activités didactiques et de recherche, que Marguerite Hack avait promu à l’université, posa le problème de la création d’un Institut d'Astronomie.
Il fut instituté en 1980 et ensuite substitué en 1985 par un Département d'Astronomie, que la scientifique diriga jusqu'en 1990. Hack est membre de l'Académie Nationale des Lynx, de l'Union Internationale des Astronomes et de la Royal Astronomical Society.

En 1992, la scientifique, de par son ancienneté, cesse d’enseigner, mais continue toujours ses recherches. En 1993, elle fut élue conseiller communal à Trieste.

Depuis 1997 elle est à la retraite, mais elle dirige encore le Centre Interuniversitaire Régional de l'Astrophysique et la Cosmologie (CIRAC) de Trieste et se consacre à des rencontres et à des conférences ayant pour but "de répandre la connaissance de l'Astronomie et la mentalité scientifique et rationnelle". Elle a travaillé dans de nombreux observatoires américains et européens et a été pendant longtemps membre des groupes de travail de l’ESA et de la NASA.
En Italie, grâce à une intense promotion, elle a obtenu que la communauté astronomique italienne puisse étendre son activité à l’utilisation de divers satellites et arriver ainsi à un niveau de renomée internationale.
Elle a publié plus de 250 travaux dans des revues internationales, et beaucoup de livres, soit pour un public plus large, soit de niveau universitaire, et a alterné la rédaction de textes scientifiques à caractère universitaire - sur l'astronomie générale et la spectroscopie stellaire -, et l’écriture de textes à caractère divulgatif. Parmi ses publications nous retiendrons: Les nébuleuses et les univers isolés (1959), La radioastronomie à la découverte d'un nouvel aspect de l'Univers (1960), L'univers. Planètes, étoiles et galaxies (1963), Explorations radioastronomiques (1964), L'univers violent de la radioastronomie (1983), Cours d'astronomie (1984), L'univers au seuil de l’An 2000 (1992), La galaxie et ses populations (1992), À la découverte du système solaire (1993), Cosmogonie contemporaine (1994), Une vie entre les étoiles (1995), L'amie des étoiles (1998). Le traité Stellar Spettroscopy, écrit à Berkeley en 1959, avec Otto Struve (1897-1963) est considéré encore aujourd’hui un ouvrage didactique fondamental.

En 1994, elle reçoit la médaille Giuseppe Piazzi pour la recherche scientifique, et en 1995, le prix international Cortina Ulisse pour la divulgation scientifique.

Depuis 1989, elle est Garante Scientifique du CICAP et, depuis 2002, fait partie du comité de présidence de l'Union des Athées et des Agnostiques Rationnels. En outre, depuis 2005, elle est inscrite à l'Association Luca Coscioni pour la Liberté de Recherche Scientifique. Finalement, Marguerite Hack est, avec Corrado Lamberti, directrice de la revue de divulgation scientifique "Le Stelle" (Les Étoiles).

 

Suite :

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/0a-bibliographie/