08/07/2007
1 Jour par an.
15.06.2007
La droiture est-elle universelle?
LONDRES, 14 juin 2007 (AFP). Amnesty International a indiqué jeudi ne pas prôner l'avortement, au lendemain de l'appel du Vatican enjoignant les catholiques à ne plus financer l'organisation de défense des Droits de l'Homme en guise de protestation.
L'organisation humanitaire, dont le siège est à Londres, a indiqué qu'elle défendait le droit des femmes à ne pas être soumises à "la menace, la force ou la coercition lorsqu'elles exercent leur droit en matière de sexualité et de reproduction"
Source AFP
J’avais dors et déjà relevé et écrit à propos de la misogynie de Amnesty International sur un des forums de C’dans l’air, en proposant un article « Amnesty International devrait apprendre à parler aux hommes ».
«Amnesty International a indiqué jeudi ne pas prôner l'avortement» C’est trop demander à cette association de dire tout simplement que l’IVG fait parti des Droits de la femme; Le droit de choisir
Un des droits, de la femme, de disposer librement de son corps
J’avais d’autres part constaté la confusion qu’entretenait de plus en plus, à l’image de la direction du MRAP ces dernières années, la confusion entre la recherche théorique critique des religions (1) et les modes de pensées racistes
Islamophobe, pour Amnesty et une partie du MRAP c’est être raciste
Pour ktophobe, ils ne se sont pas, à ce jour, encore prononcés, mais patience cela ne saurait trop tarder
Crab
Sources LES PÉNÉLOPES
DIALOGUE ENTRE AMI-E-S
8 mars ! Tchlac ! Le jour. Le nôtre. Quoi ? Qui ? Ben, le nôtre, celui des feeeemmmmes, nigaud ! Non pas celui de LA femme. La journée internationale DES femmes. Les humaines, les sexuées femelles ! Les petites, les grandes, les vieilles, les mères, les filles, les célibataires, les mariées de gré ou de force, les divorcées, les laissées pour compte, les répudiées, les travailleuses, les chômeuses, les battues, les violées, les enfermées dans le tchador ou derrière les murs des maisons closes, des vitrines et des sex shop, les condamnées à la prostitution, les Indiennes qui donnent leurs cheveux aux temples qui les vendent aux multinationales, les Chinoises à la chaîne en usine-bunker 7 jours sur 7, 16 heures par jour, les Africaines, porteuses d'eau, les laïques persécutées d'Algérie et d'ailleurs, les immigrées en cavale, les réfugiées, les excisées, les Polonaises interdites d'avortement, les victimes de la charia, les brûlées à l'acide pour pseudo adultère au Pakistan et parfois même dans les cités des quartiers de nos banlieues, les lapidées, les condamnées à mort en Irak, les victimes d'inceste, les paysannes d'Amérique latine, les privées d'éducation, les contaminées du sida…
Michèle Dessenne
14:24 Publié dans a00 Misogynie - Amnesty International | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : femme, société, ivg | Facebook | | | Imprimer |
Les commentaires sont fermés.