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20/03/2008

Choisir d’être ou de ne pas être.

Tout a une fin

 

Un de mes amis me disait, il y a bien longtemps de cela ; « j’aimerais ne pas être mortel, mais à une condition ; c’est de pouvoir décider d’arrêter quand je le voudrais »

Ce propos fait la différence entre ce qui relève de l’idéologie et non pas du Droit naturel de la personne.

Dénier ce Droit de décider de mettre fin à ses jours,  c’est nier que chacun de nous est singulier.

Ce serait refuser d’admettre que  bon nombre de personne sont indépendantes d’esprit, parce ces personnes justement n’acceptent pas le clonage ou l’assujettissement des esprits dans une idéologie inhérente à une vision de la société qui nie ce que enseigne la vie au profit d’un fantasme d’un autre âge - « L’universalisme » d’origine religieuse.

Idéologie  toujours présente et nuisible à la société civile

Crab

 

Un point de vue entendu (de mémoire); « la moi interdit de tuer, exception faite pour la guerre ; donc je ne veux pas d’une loi qui autoriserait une deuxième fois à tuer » Fin

 

Qui parle d’autoriser ?

 

Ce n’est pas du niveau du débat ; ce qui est demandé c’est de mettre fin à une prétendue euthanasie passive de nature barbare, des plus sauvages qui consiste à débrancher ou à ne plus alimenter une personne qui met ainsi de plusieurs heures à plusieurs jours à agoniser avant son trépas

Dans ce cas,  c’est en accord avec la famille que le médecin pourrait administrer un produit provoquant la mort en quelques minutes et débrancher une fois que le décès ait été constaté.

Nous ne  sommes plus dans ce cas « de figure » dans une autorisation de tuer mais dans une pratique qui met fin à la barbarie de l’Euthanasie « prétendue passive »

D’autres part faire le choix de mettre fin à ses jours relève d’un choix existentiel privé qu’aucune loi ni aucune moraline religieuse tout autant obsolètes ne pourront  jamais empêcher.

Demander une assistance et faire le geste soi-même d’absorber un produit, ne nécessite pas la présence d’un médecin.

Cela signifie qu’enfin la société reconnaît le vécu de tout être qui pense différemment en dehors de toute idéologie ou ce qui revient au même différemment des visions religieuse « de la vie ».

Encadrer l’accès à ce produit pour être sûr du demandeur n’est pas un problème....

Ce serait ainsi mettre fin à des pratiques de suicides qui elles aussi bien souvent ont caractère violent et permettre aux personnes de mettre fin à leur existence paisiblement

Crab

 

06.04.2008

Sens du terme "euthanasie"?


L'étymologie du mot "euthanasie" est grecque ; il signifie "bonne mort" ou "belle mort". Dans l'Antiquité, c'est un adjectif utilisé pour qualifier une mort réussie : par exemple, un homme qui meurt sans souffrir tout en laissant une progéniture nombreuse et prospère, après avoir bien vécu. Il pouvait aussi être appliqué à celui qui "part en beauté", après une mort glorieuse au combat. Le terme est employé par l'historien latin Suétone pour relater la mort de l'empereur Auguste : après avoir réglé les affaires de l'Empire et s'être consacré à lui-même une dernière fois, il meurt sans souffrance, s'étant acquitté de ce qu'il avait à faire.

Jean-Yves Goffi, professeur de philosophie à l'université Pierre-Mendès-France à Grenoble et spécialiste des questions de bioéthique.

Source : Le Monde

Brève

Le pape ''bouge encore''


Dans sa seconde encyclique intitulée Spe Salvi, consacrée à l’espérance, le pape lance une vigoureuse attaque contre l’athéisme et le marxisme


Comme si un incroyant se réclamait obligatoirement du marxisme ; n’est pas à un amalgame près le vieux, pour tenter de faire « avaler » son idéologie


Joseph Ratzinger, ne supporte pas les courants de pensée qui selon lui sont « modernes » ; courants de pensée dont il prétend, ont attaqué les fondements même de l’espérance


Eh oui quand les gens sont conscients que « l’au-delà » est une fable, sa religion s’effondre comme un château de cartes

Prétendre construire ici l’espérance, pour un résultat palpable dans les délais les plus brefs, vous n’y pensez mon « bon monsieur », cela le vieux çà le dérange dans son morbide train train quotidien ; cela l’empêche de tourner en rond


Pire le vieux refuse l’idée que l’homme seul puisse établir la justice sociale ; et de prétendre (vous êtes assis), je le cite : « Si face à la souffrance de ce monde la protestation contre Dieu est compréhensible, la prétention que l’humanité puisse et doive faire ce qu’aucun Dieu ne fait ni n’est en mesure de faire est présomptueuse et fondamentalement fausse. ». Fin de sa bouffée de délire


Première remarque qui est caractéristique de la faiblesse d’esprit de cet individu, il oublie que les incroyants ne mettent pas les injustices sur le compte du machin qu’il nomme dieu.

(Ce qui est amusant, c’est dans sa phrase, le ... « ce qu’aucun Dieu ne fait ni »... ; ce serait le premier pape à dire qu’il y en plusieurs). C’est l’inflation.., il ne sait plus à quel Saint se vouer...


Et l’animal d’ajouter « ... L’homme a besoin de Dieu, autrement il reste privé d’espérance. Seul l’infini peut suffire à l’homme. » Ainsi toute forme d’espérance collective pensée et organisée par des hommes pour des hommes aurait été et serait une aberration ». Fin des propos d’un individu qui de toute façon ne comprendra jamais que ce n’est pas d’espérance dont les gens ont besoin mais d’exister

Crab

21.10.2007

L'ISLAM ENTRE TRADITION ET MODERNITÉ

Sami Aoun et Jean-Frédéric Légaré-Tremblay


Nuit blanche, numéro 108, octobre 2007

Malgré un titre passablement banal, ce livre d'entretiens fait néanmoins le tour de la question relativement à la situation difficile du monde arabe et musulman depuis deux siècles : islam et politique, islam et violence, islam en Occident, etc. Avec un courage qui l'honore, Sami Aoun, originaire du Liban, favorise une évolution de la pensée arabe et musulmane vers des concepts propres à l'Occident : laïcité, respect de la liberté de culte et de pensée, égalité des hommes et des femmes. En somme, il faudrait moderniser l'islam plutôt que d'islamiser la modernité, comme tentent de le faire la majorité des musulmans, avec plus ou moins (et plutôt moins) de bonheur (comme si on pouvait emprunter des technologies sans se soucier du socle intellectuel qui les soutient).

Bref, au lieu du repli identitaire, comme l'est l'islamisme, repli qui à la fois exprime et contribue à l'affaiblissement des musulmans, il faut plonger dans le siècle qui se construit et, ce faisant, faire cheminer la pensée arabe et musulmane vers plus de libéralité.

Ce serait trahir l'analyse de Sami Aoun que de relater plus avant les préférences implicites de l'auteur. Le mérite de ce précieux ouvrage, à recommander à quiconque veut s'initier à la culture moyen-orientale ou approfondir sa connaissance dans le domaine, est la grande qualité d'argumentation apportée sur l'évolution historique et sur les différents défis des musulmans, et ce, dans un langage très accessible. Avec ce bouquin synthèse, qui fait suite à d'autres travaux et de nombreuses apparitions audiovisuelles, Sami Aoun doit maintenant être considéré comme la figure d'autorité sur le Moyen-Orient et l'islam au Québec. NB


L’égoïsme


Non le plus difficile n’est pas de résoudre l’enfermement idéologique des monothéistes puisque pour eux c’est un état normal ; cet état est constaté

Gérer l’éveil serait de pure perte, puisqu’ils ne savent qu’affirmer en boucle, ce qui exclue tout débat argumenté ; mais s’assurer s’ils disposent encore de quelques réflexes, de souvenirs et d'émotions, par le recours à l’outil de la critique, seul traitement possible de la névrose, pour éviter l’accroissement du fanatisme ou le réduire en une portion la plus infime

La critique non pas pour les convaincre, disais-je, ce serait illusoire ou faire preuve de cécité, mais pour faire entendre la parole de ceux qui privilégie la recherche, qui ne se complaisent pas dans une construction dictée par le refus d’admettre la mort, une voix à l’opposé des religieux qui eux ne peuvent pas supporter l’idée d’une part d’être seul et surtout d’un monde sans eux

Ne pas supporter l’idée d’un monde sans eux, caractérise « la nature » profondément égoïste du religieux

L’égoïsme fondateur de l’idéologie (religion) explique cette volonté d’endoctrinement (1) qui les animes et du besoin, quand l’occasion se présente, d’user de la force (2) pour parvenir ou tenter affaire supporter leur névrose par tous

La religion est fondée sur l’égoïsme (3) le plus affligeant ; le refus d’admettre que la vie puisse continuer sans eux


L'usurpateur



(1) Endoctrinement ; Ce que eux appellent transmettre leur foi à leurs enfants, alors que, et personne ne sera surpris d’y trouver une contradiction de plus, dans leurs textes ils prétendent que la foi n’est pas transmissible  [ Rire ]

(2) Oppressions morales ou contraintes physiques....

(3) C’est « le naturel » du tyran....

Bonsoir P......... ; Vous me dites (en caractères italique).

Salut Crab,
Il me semble que vous allez, encore une fois, un peu trop loin dans vos propos:  

a) On n'est plus au moyen-âge : il y a longtemps que la religion kto n'impose plus quoi que ce soit par la force, vous pouvez l'admettre sans déchoir.

Je fais référence à l’endoctrinement des enfants qui pour moi est une atteinte à leur liberté et à leur autonomie.

b) C'est assez provocateur de dire :
"La religion est fondée sur l’égoïsme (3) le plus affligeant ; le refus d’admettre que la vie puisse continuer sans eux."

Ce n’est pas de ma part condamnatoire, c’est l’identification de l’élément moteur d’une angoisse ressentie par toute personne qui croie dans l’au-delà.

.
en vous adressant à des gens qui sont supposés obéir au commandement : "Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés"

Sur ce point je vous ai en d’autres temps répondu ; "Aimez-vous les uns les autres", c’est une injonction formulé par un individu qui se veut guide, postulat de départ ; « penser » que les gens n’ont pas la capacité d’aimer, pire oublier que dans cette matière il ne peut y avoir que des singuliers.

" comme je vous ai aimés" Catégoriquement pervers, ce n’est pas aimer les autres que de prôner la martyrologie d’en faire une condition à valeur d’exemple, c’est vouloir faire accroire que c’est un bien de mourir pour des idées ; c’est minable, rien de plus.


(même s'ils sont encore loin d'obéir à ce commandement, je vous l'accorde).

Je ne leur donne pas tort ; Les gens risquent leur vie en état de légitime défense ou pour porter secours à une personne en danger.

Les gens pour aimer ont la multiplicité des choix et c’est en fonction de leur histoire personnelle ; l’universel n’y à pas sa place.

Précisez donc un peu mieux votre position  entre ces deux points de vue :

L’amour n’a jamais connu de loi et de ce fait ne saurait obéir à aucune injonction, c’est la nature qui décide et non pas l’idéologie, sauf dans les mariages forcés.

- soyons hédonistes, recherchons notre plaisir personnel avant celui de nos successeurs ("après nous le déluge" est la formulation extrême),

Etre Hédoniste n’empêche pas de réfléchir sur le contrat social, bien au contraire  (1)

-acceptons de nous priver et de faire des sacrifices maintenant pour que les générations qui vivront après nous aient une vie plus agréable.

Etre conscient de ses droits et de ses devoirs exclue la notion de sacrifice.



Ou bien y a-t-il une troisième voie, d'après vous ?

Oui ! (2) Crab


Citation


(2) Comment concilier “immanence et respect de l’autre” et “immanence et citoyenneté” ?

Par le jeu tout simple de l’immanence : le contrat, la règle du jeu, la logique de la communauté nécessaire et non pas la transcendance républicaine, le contrat social comme une religion, la communauté tel un corps mystique. C’est parce qu’on en appelle à la raison et à l’intelligence des hommes qu’on peut créer du lien social, et non en sollicitant les fictions métaphysiques d’une philosophie qui se contente, du moins pour la philosophie dominante, de reformuler dans le langage de l’idéalisme allemand, les préceptes de la religion judéo-chrétienne.
.

(1) Comment éviter alors la confusion de l’hédonisme et du consumérisme ?

L’hédonisme n’existe pas en tant que tel, il faut le qualifier pour qu’il existe de manière singulière : or il est des hédonismes dont certains sont mes ennemis, ainsi l’hédonisme consumériste. Les hédonismes sont au moins, pour aller vite, de deux types : hédonisme de l’être, hédonisme de l’avoir. Le premier est d’ailleurs le remède au second. “Hédonisme de l’avoir”, le plaisir qu’il y a à consommer, acheter, posséder, s’inscrire dans une logique d’accumulation d’objets, de “choses” pour le dire dans l’acception d’un Georges Perec ; “hédonisme de l’être”, le plaisir de penser, de se construire, de l’édification intellectuelle et personnelle, le plaisir existentiel de se créer une vie philosophique totalement et radicalement indépendante de l’avoir : on a, c’est bien, on n’a pas, c’est bien aussi, on avait et on n’a plus, c’est encore et toujours bien. Ne pas être l’esclave de l’avoir, de la propriété, des choses, des objets, de l’argent, du pouvoir, des honneurs et des puissances sociales, hochets de l’avoir. Les ennemis de l’hédonisme, et il y en a, feignent d’assimiler l’un à l’autre  M O


"Un joli mot"


D.............4 m'écrit,je le cite

« Par exemple, prenons l'exemple de Crab: il a eu connaissance de ce que lui impose Dieu à travers ce qu'on lui dit mais il a fait un choix ». Fin du propos d’un messager de passage, mais de plus en plus sédentaire dans le pays de la grande falsification.

Pays où les habitants « prennent leurs désirs pour des réalités»

Pays des fantasmes des uns et des autres qui constitue un enchainement de fables pour pérenniser, conforter un mythe, une mythologie.


Miracle - « Crab aurait eu connaissance de ce que lui impose dieu à travers ce qu'on lui dit... »

Pourquoi parler de miracle parce que c’est sans égards pour la vérité... (Une affirmation sans preuve, et qui de surcroit nie au passage l’incroyant que je suis)

Bien sûr son emploi dans ce cas de figure se veut traducteur d’un sophisme du crut de D........., qui en fait métamorphose son incompréhension de l’incroyance en une autre « vérité » - Je le cite à nouveau: "Malgré lui, Crab ne peut qu’avoir entendu" Fin de sa proclamation


Intoxiquer il reproduit ou s'eemploie inconsciemment ou consciemment, et tente à son tour tout en s’intoxiquant lui-même de manipuler les autres.

Ce comportement est la manifestation la plus courante des effets d’une éducation fondée à partir de croyances L’impossibilité de penser l’autre différent

Les conséquences l’usage, qui en est fait, dans le but d’endoctriner, de ce que l’on ne comprend pas

Et.., à propos des miracles, cette fois traités pour ce qu’ils sont en réalité


Le bon sens indique qu’ils sont impossibles, car rien dans la nature ne peut se faire contre la nature

Nommer miracles des effets que l’on ne comprend et plus graves attribuer les attribuer à une individualité (christ ou vierge), c’est rien de moins qu’une escroquerie

Cette incapacité à ne pas savoir dire "je n’ai pas l’explication'' est le propre de la malhonnêteté intellectuelle.

Malhonnêteté intellectuelle, déguisée sous le nom d'un ''joli mot'', croyance

Crab

 

F........ vous m’écrivez « Mais à part cela, la démarche est identique. Où es la différence? une doctrine en vaut bien une autre... Tes enfants (je crois que tu as au moins un fille) ont bien reçu comme éducation la substance élémentaire de tes convictions athées doctrinaires, non? Ne me dis pas que tu les a envoyés au catéchisme? ...ou que tu leur as laissé le libre choix de pensée en matière de spiritualité, même de ceux qui ne te plaisaient pas » Fin de votre propos.

Mon fils dès son plus jeune âge, par mes soins, à pris connaissance, année après année, de ce qui est légal ou non, de ce qui relève de ces droits et de ses devoirs, donc très tôt « une sorte de préformation » pour lui permettre de comprendre qu’il vit dans un Etat de Droit.

Cela s’appelle informer et non pas endoctriner

Répondre à des centaines de questions que mon fils posaient presque quotidiennement qui ont donné bien souvent lieu selon les périodes à une discussion, et je sais aujourd’hui, que cela la aidé à penser par lui-même.

Cela s’appelle respecter la liberté et l’autonomie et non pas endoctriner.

Entre cinq et six ans un de ses camarades, lui à parler, disons pour simplifier de la religion..., quelque mots.

Il m’en à parler, je lui ai répondu que c’était une croyance parmi beaucoup d’autres et suivi d’une petite explication extrêmement simple ; la différence entre ce qui relève d’une croyance et non pas d’un savoir.

Bien sûr il y eu par la suite des discussions, mais toujours sur ce thème SAVOIR et CROYANCE.

Donc je ne vois dans cette attitude la moindre tentative d’endoctrinement, de ma part, d’autant que très jeune, mon fils était déjà un bon et exigeant débatteur.

Et contrairement à ce que vous prétendez c’est au environ de ses dix neuf ans qu’ont été abordées les grandes questions philosophiques ; à savoir, et c’est mon droit de le penser, la nécessaire déchristianisation de notre société.

C’est tout aussi mon droit de considérer que cela passe par la destruction de la construction que vous nommer Dieu.

L’expertise est un Droit et je m’y livre, voila tout.

Faudra vous y faire les nilomètres ne sont plus gardés exclusivement par des membres d’'ordres sacerdotal.

Aujourd’hui non seulement les textes (dit sacrés) sont exposés et accessibles à tout un chacun sans qu’aucune interdiction vienne empêcher d’en mesurer les degrés de perversité.

Votre facilité de christicole à vous cadenasser dans tout ce qui de près ou de loin relève des Non Liquet restera sans égale dans les annales.

Fallait venir sur cette catégorie de forums, sans être pour autant Lakiste, compte tenu du simplisme de l’idéologie ou de la moraline christicole ambiant ; en fait l’exercice n’est pas bien difficile.

A la limite c’est même reposant pour l’esprit, le vrai de vrai, pas l’inventer qui ne fait pas rire les petits arachnophobe.

Arachnophobe, sur ce forum, vous êtes, comme sur les autres fils, et non pas exercitant (1).

Bien sincèrement, sans être des vôtres

Crab


(1) A propos de la grande spiritualité dont vous faites preuve....