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27/04/2012

L'IMMIGRATION

Sur un des sujets mis au débat durant cette campagne, il était temps, d'entendre des propos clairs , raisonnables et une proposition politique enfin admise comme sans rapport avec '' une supposée volonté de discriminer des populations ''

 

Citation :

PARIS ( Reuters ) - François Hollande, dont les propositions sur l'immigration sont dénoncées comme " floues " par son adversaire à la présidentielle Nicolas Sarkozy, a jugé vendredi "indispensable" de limiter l'immigration économique, précisant que le Parlement fixerait chaque année le nombre d'étrangers autorisés sur le territoire français s'il était élu le 6 mai.


"Il y a depuis dix ans 200.000 nouvelles entrées de personnes étrangères sur notre territoire, ce qu'on appelle l'immigration légale. Je considère pour ce qui me concerne qu'il n'y aura jamais d'immigration zéro, donc il y aura toujours une immigration légale", a déclaré le candidat socialiste sur RTL.

"Est-ce que l'on peut en réduire le nombre? C'est le débat", a-t-il poursuivi.

"Sur les étudiants étrangers, je n'y suis pas favorable", a rappelé le député de Corrèze.

"Après, il y a l'immigration économique. Dans une période de crise, que nous connaissons, la limitation de l'immigration économique est nécessaire, indispensable. Et je veux même lutter contre l'immigration clandestine sur le plan économique", a souligné le candidat socialiste.

"Sur l'immigration économique, chaque année, le Parlement fixera le chiffre en fonction des besoins de l'économie. Aujourd'hui, c'est 30.000, ça été diminué à 20.000, ça sera des chiffres qui seront de toute façon maîtrisés à mon avis dans une période de crise. Ça sera de cet ordre de grandeur-là", a affirmé François Hollande. - Sophie Louet

 

Culture

Pour ma part je rappelle, [ une fois de plus ] qu'autoriser les étudiants à s'installer en France à la fin de leurs études, [ mais aussi, développer encore plus Erasmus ] est un investissement tout autant profitable que pour ceux d'entre-eux qui retournent dans leurs pays - en dépend le rayonnement culturel de la France

 

L'idéologie phallocrate

Il est important que ce candidat est déclaré par ailleurs qu'il ne remettrait pas en cause la loi sur la burqa

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Toutefois auquel cas il deviendrait Président dans la foulée il lui serait bienvenu de proposer l'interdiction du voile qui de toute façon n'est en rien une prescription religieuse figurant dans le livre arabe [ historique ] du coran - les voiles ne sont rien de plus que le marqueur du pire des sexismes issus des patriarcats

 

Citation :

[ …/... ]

Le sens du mot "voile"

Pour parler le même langage et éviter toute confusion possible, nous sommes tenus, tout d’abord, de déterminer le sens du mot "voile". Tout d’abord, force est de constater que la traduction du mot arabe "hijab" par "voile" n’est pas exacte, car le terme adéquat est "rideau". Le mot "voile" devrait traduire "nikab" ou "khimar", car le nikab et le khimar sont, comme le voile, une pièce d’étoffe servant à cacher le visage.

 

Donc, le hijab, utilisé récemment par les islamistes, n’est pas non plus approprié, puisqu’il ne désigne ni ne signifie ce fichu dont certaines musulmanes se sont couvertes la tête récemment. J’insiste sur "récemment", car le phénomène n’est apparu qu’avec l’avènement de Khomeiny et la propagation du wahabisme grâce aux pétrodollars, et aussi, il faut le souligner, à la complaisance de l’Occident qui trouvait dans ces doctrines rigoristes le meilleur rempart contre l’extension du communisme, voire même contre la gauche et les progressistes du monde arabe.

 

D’où vient le mot " hijab " ?

On trouve le terme hijab par huit fois dans le Coran. Sans obéir à un ordre chronologique quelconque, on pourrait les citer comme suit :

 

- Au chapitre 7, verset 46, le hijab est cité pour désigner la muraille qui sépare les gens du Paradis de ceux de l’Enfer. Il n’est pas question donc de "voile" islamique ni même de femmes.

 

- Au chapitre 38, verset 32, le hijab a signifié le soleil voilé quand Salomon a été distrait de la prière du crépuscule par la revue de ses chevaux, et a ressenti des remords d’avoir omis de prier avant que le soleil ne se voile. Il n’est pas là non plus question de voile islamique ni de femmes.

 

- Le chapitre 41, verset 5, informe les mécréants koraichites (habitants de la Mecque) que les voies du Message leur sont impénétrables à cause d’un hijab (rideau) qui les sépare du Prophète. Là encore il ne s’agit que de mécréants, hommes et femmes, et d’un voile qui sépare des antagonistes.

 

- Le chapitre 17, verset 45, ainsi que le chapitre 83, verset 15, reprennent pratiquement les mêmes termes que précédemment.

 

- Le chapitre 42, verset 51, où Dieu nous informe qu’étant invisible, Il ne s’adresse à l’Homme que par messager interposé ou derrière un hijab. Ici, c’est Dieu lui-même qui se voile et non la femme.

 

- Au chapitre 19, verset 17, l’isolement volontaire de Marie, au moment de la gestation, est considéré comme un hijab la protégeant des regards des siens. Une fois que Jésus est né, Marie n’est plus cachée ou voilée.

 

Enfin, on arrive au huitième et dernier verset citant le mot hijab et qui dit, au chapitre 33, verset 53 :

 

"Vous qui croyez, n’entrez dans les appartements du Prophète que si vous êtes conviés à un repas (et dispensez-vous) d’attendre (à l’extérieur) que le repas soit confectionné. Après avoir mangé, dispersez-vous sans chercher avec familiarité (un sujet) de conversation. En vérité, cela nuit au Prophète qui a honte (de vous blesser), mais Dieu n’a pas honte de la vérité. Quand vous demandez (à ses épouses) quelque chose, adressez-vous à elles derrière un rideau. (HIJAB DANS LE TEXTE) C’est plus décent pour vos cœurs et pour les leurs. Vous ne devez pas offenser l’envoyé de Dieu, ni jamais épouser ses femmes après lui. Ce serait une énormité auprès de Dieu." (Traduction de Cheikh Si Boubakeur HAMZA, "Le Coran", édition Fayard / Denoël, 1972).

 

Ce verset concerne effectivement les femmes, mais pas n’importe quelles femmes. Il vise clairement les mères des croyants qui ne sont autres que les femmes du Prophète, auxquelles on doit respect, et que l’on ne peut prendre pour épouses, veuves ou divorcées, puisque le Coran leur a octroyé le titre de mères de tous les croyants.

 

Du respect de l’intimité à la ségrégation des femmes

En effet, à l’époque de ce verset, la petite maison modeste du Prophète jouxtait sa mosquée, ce qui lui permettait, après la prière du soir qui est la cinquième et dernière de la journée, de passer d’un édifice à l’autre par une porte mitoyenne, mais ses disciples lui emboîtaient le pas pour partager son souper et deviser avec lui et sa famille, ce qui l’incommodait fort quand il désirait s’isoler avec ses femmes. Ces intrusions n’étaient pas non plus du goût de Omar, bras droit du Prophète et deuxième Khalife de l’Islam, connu pour son extrême sévérité envers les femmes, contrairement au messager de Dieu qu’il trouvait trop indulgent envers elles.

 

Ces va-et-vient ont connu leur paroxysme à l’occasion du mariage du Prophète avec Zaineb, fille de Jahch, connu pour sa volupté, quand ses compagnons ont manqué de délicatesse en s’attardant sur les lieux après la noce, sans toutefois remarquer l’impatience de leur hôte de se retrouver avec sa nouvelle élue.

 

Pour mettre fin à cette intolérable situation, le message divin est intervenu par le verset intitulé "verset du hijab" afin d’assurer à la maison du Prophète un minimum d’intimité, en ordonnant de pendre un rideau sur la porte mitoyenne, ce qui n’a pas manqué de donner, du même coup, satisfaction à Omar.

 

Aussi, les rigoristes musulmans, mais également les misogynes, soucieux de maintenir la femme dans l’avilissement, ont usurpé le terme hijab, cité par ce fameux verset dans des circonstances bien déterminées, pour le coller arbitrairement à ce fichu de tissu, même si l’appellation n’est pas exacte, et même si les destinataires du message divin sont exclusivement des hommes, en l’occurrence les compagnons du Prophète, et que les seules concernées sont les femmes de celui-ci.

 

Par cette démarche biaisée, on a ainsi décrété que le port du fichu, appelé abusivement hijab, est une obligation religieuse en Islam et, bien entendu, celles qui s’avisent d’ignorer cette règle sont considérées comme impies par les tenants de cette aberration.  [ …/... ] - Abderrahmane Fraikech, avocat

 

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http://laicite.over-blog.com/article-polygamie-polyandrie-104030183.html

 

 

 

 

 

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