Parler de l'immigration sans tabou

[ Ce que l'on apprend aux enfants sous le '' joli nom '' de la transmission : '' Les hommes sont supérieurs aux femmes en raison des qualités par lesquelles Dieu les a élevé au-dessus de celles-ci. Coran '' ] La France ne peut pas accepter ce type d'endoctrinement sans renoncer à ses valeurs

Taslima Nasreen : "certes il existe des musulmans modérés, mais l'islam lui-même n'est pas modéré. Il n'y a pas de différence entre islam et intégrisme musulman ou au mieux, il existe une différence de degré, pas de nature". " Rumeurs de haine " Page 214

Michèle Tribalat : Une démographe qui dérange

Michèle Tribalat - « Les yeux grands fermés »

Présentation de l'éditeur

Un regard sans tabous ni idéologie sur la question ultrasensible de l' immigration en France.
L' immigration étrangère est généralement présentée comme ayant un effet positif sur l' économie. Elle serait nécessaire pour favoriser la croissance, occuper les emplois dont les Français ne veulent plus, pallier le vieillissement, alléger la charge des inactifs et payer les retraites. Ces arguments sont devenus des postulats au nom desquels les organisations internationales et communautaires, les ONG, la plupart des médias font pression en faveur d une libéralisation accrue de la politique migratoire. L' économie et les bons sentiments marcheraient main dans la main.

Du même coup l' impact global, économique et humain de l' immigration n est plus étudié. Les rares études françaises sur la question sont prudemment étouffées, y compris par leurs commanditaires. L' impact sur le peuplement des territoires, en particulier, n est guère étudié, car il risque de révéler l' ampleur de bouleversements dont il faudrait bien finir par parler et qui pourraient conforter les réticences à la politique du fait accompli.

Pourtant, en dehors de l' Hexagone, les débats scientifiques sont vifs, aux États-Unis notamment. Les études réalisées sur l' impact économique, en termes de production de richesses, de répartition, d' emploi et de finances publiques ne confortent pas le postulat français d une contribution indispensable de l' immigration. Mais l écho de ces débats n a guère franchi nos frontières.

En France, les inquiets sont désavoués, suspectés au mieux d ignorance, au pire de racisme. Dans cet ouvrage, Michèle Tribalat apporte des éléments de connaissance le plus souvent évités. Évoquant les aspects bénéfiques mais aussi négatifs, elle dresse un tableau objectif du phénomène et démontre que le débat sur l immigration ne se résume pas à une affaire de bons sentiments.

Biographie de l'auteur

Michèle Tribalat est démographe. Elle est directrice de recherche à l Institut national d études démographiques (INED). Elle a publié depuis quinze ans de nombreux ouvrages, depuis Faire France : une grande enquête sur les immigrés et leurs enfants (La Découverte, 1995) jusqu à La République et l'islam : entre crainte et aveuglement (avec Jeanne-Hélène Kaltenbach, Gallimard, 2002)

Choisir un chercheur plutôt qu'un autre

La question que je me pose ici, c'est pourquoi cette démographe n'a jamais été invité sur le plateau des émissions de C dans l'air alors que son analyse sur l'immigration au sens large diffère grandement de celles d'autre invités [ '' quasi permanents '' ] démographes ou politologues ?

 

Décrypter en outre le lien plus particulier d'une grande partie des immigrés et de leurs enfants lié à la progression parmi ces populations de l'islam en France en procédant à une analyse qui ne doit rien à la peur

 

Michèle Tribalat ouvre grand les yeux sur d'une part le rejet de se soumettre à une confession [ quelle quelle soit ] de la grande majorité des français en opposition à l'islamisation de certains territoires [ mes observations, par exemple, la Seine-Saint Denis ]

 

Analyses que je partage depuis de nombreuses années sur la recrudescence de l'irrationnel dans ces populations qui se revendiquent musulmanes, remettant en cause les valeurs d 'émancipations en prônant l'abaissement du statut des femmes [ ref, le coran ] au grand désarroi des femmes qui refusent de se soumettre dans les pays '' dits musulmans '' qui trouvent qu'en France nous ne réagissons que trop faiblement vis à vis importé de ce sexisme aggravé

 

Je m'inscrirai à SOS racisme quand racisme prendra un S à la fin, en attendant il n'y à pas lieu de craindre d'être traité de raciste ou d'islamophobe quand au nom d'une religion la liberté d'expression est continuellement menacée, attaquée, bénéficie du silence complice '' des modérés '' et plus largement d'une bonne dose de désinformation du public

Un silence qui vaut celui de tout autres qui se laissent intimider en ne parlant pour éviter de dire ce qui est parfaitement visible que le problème poser par rapport '' au vivre ensemble '' ne se réduirait qu'à la critique ou à la mise hors d'état de nuire des extrémismes

Dans l'actualité l'immigration et son traitement, suite page :

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/demographie/

 

Crab – 11 Mai 2012