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06/10/2011

Partita N° 5

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Satire électorale - la propagande politique

William Hogarth - Angleterre

Années 1750


Pour qui sonne le débat ?

« Faut faire espérer »

Propos d'un candidat, repris à leur compte par les autres candidats, mais cette notion n'est pas nouvelle dans le '' ciel politique '' ni dans la société civile [ Primaires socialistes – sur le plateau de BFM TV du 05 Octobre 2011 ]

Pour beaucoup d'entre-nous cette notion, '' l'espérance '' est devenu pratiquement l'équivalent d'un slogan qui marche d'autant mieux, du moins semble-t-il, que la période est dite '' trouble '' ou '' troublée ''



L'espérance à ceci de neuf qu'elle n'est pas nouvelle

Le sommet en matière de crédulité est atteint par l'association de deux notion, '' indignés – espérance '' reflète un des plus archaïque mode de pensée, sorte de mélange brouillés d'affects et d'accès émotionnels qui peuvent conduire à des comportements collectifs infantilisant

[ Indigné – espérance ], sorte de concept que nous a légué le XXe siècle avec pour conséquence [ « croire en » ] d'attendre le plus souvent d'une décennie à l'autre '' patiemment '' des lendemains qui chantent, mais aussi dans certains cas prendre la forme du fanatisme à l'origine de quelques grands soirs staliniens ou islamique comme en Russie ou en Iran



Ce n'est pas d'espérance dont un pays à besoin, mais de gens capables de conduire des politiques fondées sur l'association '' Éthique – pragmatisme '' , une notion nouvelle qui a le mérite de donner un sens au projet politique d'un pays parce ce concept fait référence à la culture universelle et ne se nourrit pas de l'illusion



La concept '' d'espérance '' comme mode de traitement des idéaux ou comme socle '' utilitaire '' retenus pour la propositions politique relève d'un vieux monde qui n'en finit pas d'agoniser, un vieux monde qui ne sait pas encore émancipé de toutes les superstitions



L'espérance , leitmotiv entendu, rabâché par les politiciens [ femmes – hommes ] d'hier et d' aujourd’hui est toujours tout autant insupportable

 

Le mot culture ne fait pas parti du vocabulaire de nos politiques, n'est pas cet ' objet identifié '', pourtant essentiel réclamant de la lucidité, de la lucidité et encore de la lucidité pour combiner nécessairement '' Éthique et Pragmatisme '' les outils de la démarche de finalisation du projet politique



Début 2008, j'écrivais en m'inspirant d'une fable d'Ésope :

Le choucas

 

... « un homme qui croit, c'est un homme qui espère. Et l'intérêt de la République, c'est qu'il y ait beaucoup d'hommes et de femmes qui espèrent »SARKOZY



J'ajoutais, « pour bien comprendre la politique de notre Président du pouvoir d’achatlirecette fable d’ESOPE »

Le choucas et le renard

Un choucas affamé s'était perché sur un figuier ; mais voyant que les figues étaient encore vertes, il attendait qu'elles fussent mûres. Un renard, le voyant s'éterniser là, lui en demanda la raison. Quand il en fut instruit : « Tu as tort, l'ami, dit-il, de t'attacher à une espérance ; l'espérance s'entend à repaître d'illusion, mais de nourriture, non pas. » Cette fable s'applique au convoiteux

Morale - Ayant espéré et tant attendu qu'avant que les figues ne  fussent mures - '' notre choucas '' fut trouvé mort de faim



L'espérance rien de nouveau, mais la question qui se pose : Pourquoi persiste par imitation ce rite, cette appropriation par nos politiques d'un concept qui peut faire verser la population d'une société soit  dans la résignation ou la violence ?



Suite à partir de la page :

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2011/10/02/partita-n-4.html

Ou sur :

http://laicite.over-blog.com/article-partita-n-4-85629324.html

Crab – 06 Octobre 2011