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09/06/2010

Religion de la haine de l'autre - L'autre, la différente - la femme -

 

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C'est à voir

Il y a quelques mois de cela [ou plus] une femme lors d'un J T ou d'une émission de télévision avait émis judicieusement l'idée qu'il serait préférable d'organiser des filières pour aider les femmes qui veulent fuir et échapper aux lois masculines islamique plutôt que de faire la guerre en Afghanistan – mais puis-je ajouter - les aider à sortir de bien d'autres pays musulman où elles subissent ce que l'on surnomme ''les codes de l'infamie'' (1) Crab

(1) Codes de la famille

Les droits des femmes en question

Moussada Jalal, ancienne ministre de la Condition féminine et candidate à la présidence afghane en 2004, a demandé mardi aux députés canadiens de se préoccuper davantage des droits des femmes afghanes et de veiller à ce que ces droits ne soient pas sacrifiés au nom de la paix avec les talibans.

Devant un sous-comité de la Chambre des communes, elle a égrené une liste de demandes à l'intention du gouvernement afghan de Hamid Karzaï qui visent à renforcer les droits de la personne et les lois contre la discrimination.

La militante a prévenu les députés canadiens que ces droits avaient perdu du terrain dans son pays. Elle a aussi exprimé son inquiètude à propos des efforts de rapprochement entrepris par le gouvernement afghan avec les groupes extrémistes insurgés.

Récemment, le mollah Omar, le chef taliban, a ordonné que les femmes qui habitent sur le territoire contrôlé par les insurgés ne sortent en public que si elles sont accompagnées par un homme de leur famille.


[En septembre 2009, Hamid Karzaï a promulgué une loi qui, selon Human Rights Watch (HRW) brime les droits des femmes de confession chiite. HRW soutient que la loi légalise le viol par un époux, autorise un violeur à échapper à la justice s'il verse une indemnité à sa victime et enlève aux femmes le droit de travailler sans la permission de leur mari.]


Mme Jalal dénonce le statut de sous-homme que les talibans accordent aux femmes et elle estime qu'aucun accord ne peut être conclu avec eux tant qu'ils continueront à s'en prendre aux droits des femmes.

Le gouvernement du président Hamid Karzaï a, depuis quelques mois, fait de la réconciliation avec les militants islamistes les plus durs, comme les talibans et le groupe Hezb-e-Islami, une priorité pour mettre fin à la guerre, même si cela peut entraîner, pour les femmes, une perte de certains des droits acquis depuis 2001.

Mme Jalal souhaite d'ailleurs que l'amnistie offerte aux talibans à l'issue de la jirga(réunion tribale) qui s'est tenue à Kaboul début juin ne se concrétise pas. Elle considère que l'entente conclue avec les taliban nuira aux processus démocratiques et aux droits humains dans son pays.

Elle a aussi demandé au président Karzaï de rétablir le programme de justice transitoire lancé en 2005 et abandonné l'an dernier qui visait à demander des comptes aux chefs de guerre, dont certains font maintenant partie du gouvernement, et qui ont commis des atrocités pendant la guerre civile.

La militante pour les droits humains dit qu'elle veut elle aussi la paix en Afghanistan, mais pas à n'importe quel prix. Consciente que le Canada quittera son pays d'ici un an, elle assure que si une partie du financement militaire du Canada en Afghanistan est réinvesti en assistance au développement, cela pourra avoir un impact durable pour les Afghans.

Radio-Canada.ca avec Presse canadienne

 

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