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12/05/2008

Les Droits de l'ëtre humain

Non Droits

Les Déclarations islamiques

des droits de l’homme

25.01.2008

L’article premier affirme que «Tous les hommes, sans distinction de race, de couleur, de langue, de religion, de sexe, d’appartenance politique, de situation sociale ou de toute autre considération, sont égaux en dignité et en responsabilité»

 

Ainsi, l’égalité se manifeste seulement en dignité, en devoir et en responsabilité mais pas en droit!

 

L’article 6 alinéa (a) de la Déclaration du Caire parle de l’égalité entre la femme et l’homme mais seulement sur le plan de la dignité humaine!

 

Ces deux articles

Le premier, restreint la liberté de croire ou de ne pas croire et justifie toutes les poursuites judiciaires conduites envers toute personne qui ferait preuve d’indépendance d’esprit

 

La preuve

Aucun article ne mentionne la liberté de croyance ou la liberté de manifester sa religion! L’article 10 explique, seulement, «Aucune forme de contrainte ne doit être exercée sur l’homme pour l’obliger à renoncer à sa religion...»

 

Pourquoi, a-t-on négligé de mentionner la liberté de croyance et de non croyance?

 

Le deuxième, justifie l’application de lois inspirée par la sharia, elle (la femme) est mineure et non pas libre et autonome

 

La preuve

L’article 5 alinéa (a) de la Déclaration du Caire évoque, également, le droit de se marier. Et, «Aucune entrave relevant de la race, de la couleur ou de la nationalité ne doit les empêcher de jouir de ce droit». Quant à la religion, elle n’a pas été mentionnée par cet alinéa (a) parce que la femme musulmane ne se voit pas reconnaître le droit, d’après la Charia, de se marier avec un non-musulman

 

Cette haine qui nie l’identité féminine - dans le but de maintenir en position d’infériorité, pourquoi?

 

Et cerise sur le gâteau - Interdiction de toute liberté d’expression

 

La preuve

La Charia comme seule source de référence - enfin, les articles 24 et 25 précisent que les droits et les libertés énoncées dans la Déclaration ''sont soumises aux dispositions de la Charia'' et cette dernière, ''l’unique référence pour l’explication ou l’interprétation de l’un des quelconques articles contenus'' dans la Déclaration

 

Les valeurs culturelles et religieuses, de ces pays signataires, seraient-elles à ce point infantile qu’elles ne pourraient résister à la critique?

Il est clair que ces Déclarations islamiques des droits de l’homme ne sont que l’expression de la confusion entre croyance et politique incompatible avec le Droit Crab

 

10.04.2008

 

Libre et autonome

Mariages forcés GUIDE JURIDIQUE Dites non !

.

Actuellement, il est difficile d’en apprécier l’importance exacte, encore plus de la

chiffrer. Prenant en compte les avis de la CNCDH, le Haut Conseil à l’Intégration a

avancé dans son rapport au ministre le chiffre annuel de 70 000 cas. Quant au Ministère

de la Justice, il avance le seul chiffre de 1 200 cas traités par les tribunaux. Ces chiffres

ne concernent que des mariages forcés de mineures sur le sol français, sans prendre en

compte le nombre de jeunes filles renvoyées dans leur pays d’origine pour contracter

un mariage forcé avant de revenir en France. Ce même Ministère constate également

une augmentation continue du nombre d’annulations prononcées entre 1995 et 2004

(info/stat/justice août 2006)

Les mariages forcés se pratiquent parmi les populations originaires d’Afrique, d’Asie

et de Turquie. Le phénomène a tendance à progresser avec la montée des communautarismes

Le besoin de s’identifier à un groupe, de garder un lien avec le pays d’origine

entraîne les familles à passer outre les lois du pays d’accueil quand elles s’opposent à

leurs coutumes

Sources : Guide "mariages forcées"

Ce document a été élaboré en 2007 suite à un travail de réflexion initié par la Fédération de l’Isère de la Ligue des droits de l’Homme conjointement avec les services “Droits des femmes” et “Protection de l’enfance” du Conseil général de l'Isère

.

http://www.ldh-france.org/media/dossiersdocuments/Guide%2...

10.04.2008

 

Les Jeux sont faits

 

Les Tibétains en Chine, n’ont pas accès aux médias pour parler aux chinois, ni au monde entier; c’est pourtant simple de comprendre que pour eux, profiter des parcours programmés de la bougie est un moyen, qui ne se reproduira peut-être plus, de se faire entendre

 

Munich 1936

Jess Owen fît la preuve devant Hitler que les blancs ne sont pas supérieurs aux noirs

C’est un des cas où les jeux ont une utilité - autrement ils décourageraient madame ou monsieur tout le monde de pratiquer un ou plusieurs sports

 

Ce qui prouve qu’il est bien de profiter des jeux pour y commettre tout actes utiles pour enrayer la propagande raciste, totalitaire ou de dictature selon la nature des États organisateurs  Crab

 

12.05.2008

Les Droits de l'ëtre humain

 

Pour comprendre les raisons fondamentales qui justifient les droits de l'homme, il faut commencer par saisir ce que c'est qu'un homme. Etre un homme, ce n'est pas la même chose qu'être un poulet, une vache ou une limace. Pourtant, l'homme a un corps, comme le poulet, la vache ou la limace. Il a un corps, qui a ses besoins matériels et qui mourra un jour, comme celui du poulet, de la vache ou de la limace. Comme ces bestioles, l'homme est mortel. La différence, c'est qu'il le sait. Il vit avec la conscience de sa mort, et face à la mort il s'efforce de faire de sa vie quelque chose qui ait un sens.

Du fait que l'homme est mortel et qu'il le sait, et que tout ce qu'il aime – tous ceux qu'il aime – sont mortels et qu'il le sait, il se trouve toujours menacé d'agression ou de privation, lui-même et ses proches, et c'est pourquoi il est condamné, par la nature, et par sa nature, à une lutte sans fin. On parle trop facilement, trop vite, d'égoïsme, à ce propos. Il s'agit au fond d'une racine tragique de la condition humaine : étant conscient de la mort, tout être humain, s'il aime, est en situation de lutte pour la survie de ce qu'il aime. Aussi les droits de l'homme, qui défendent le droit à la vie de chacun, fût-ce du plus faible, ne sont nullement naturels. Ils sont bien plutôt antinaturels, ou surnaturels ; à travers eux les hommes ajoutent à la nature une dimension qui lui est étrangère et contraire, une dimension propre à l'homme – ce sont vraiment des droits humains.

L'homme a la capacité de faire de soi

un sujet libre et responsable

 

Mais la nature, ses besoins et ses menaces, ne s'effacent pas pour autant. Les droits humains ne seront défendus qui si l'on prend appui, contre elle, sur un fondement irréductible, absolu. C'est ce qui distingue l'être humain des autres vivants : il a la capacité de faire de soi un sujet libre et responsable, qui pose ses actes lui-même, non par un jeu de causes et d'effets, mais à partir d'une exigence qui lui appartient en propre et inconditionnellement, et qui le sait, et qui les signe et en assument les conséquences.

Etre privé de cette capacité, c'est un terrible malheur, et pourtant elle ne promet pas le bonheur. L'action de l'homme ne vise pas avant tout au bonheur, elle veut avant tout avoir un sens. Or tout sens implique la visée de quelque chose qui n'est pas encore, et donc un manque. Seule la finalité absolue est source d'un vrai sens. Sans elle, l'homme dit ce n'est pas une vie, et il préfère parfois mourir.

L'être humain

n'est pas donné comme un fait

 

Il s'agit là de la racine et de la finalité des droits de l'homme. Sans cette racine et cette finalité, les droits de l'homme sont condamnés par les contraintes de la nature. Il ne reste que l'arbitraire, la causalité, le hasard. A la limite, la liberté responsable vraie coïncide avec la nécessité intérieure la plus profonde.

Le développement de la civilisation technique trouve ici son sens, nullement matérialiste. Il permet de créer, pour toujours plus d'êtres humains, des conditions accroissant leurs chances d'accéder à une telle liberté. L'être humain n'est pas donné comme un fait. Il est, pour lui-même et pour les autres, une tâche. C'est pourquoi, quelle que soit sa condition historique et sociale, sa couleur, ses dons intellectuels ou sportifs ou l'absence de ces dons, il mérite le respect.

Jeanne Hersch. Pourquoi l'homme a-t-il des droits ? Amnesty Suisse. Bulletin romand, section suisse, n° 1, janvier 1988, Berne (CH).

 

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Inanna la dame du ciel

Le saviez-vous?

La première féministe était Sumérienne

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