07/06/2008
Diamantina
Diamantina
La blanche, la noire, la mulâtre, la quart de blanche, peuplée d’un métissage accompli pourrait s'appeler '' Dia et de noite ''
Des moments ou je me sens Brésilien de jour et de nuit, Diamantines pourrait s’appeler « Dia et de noitine », Diamantines cette ville symbole d’un Brésil ou le corps est une expression de la psyché des femmes et des hommes, ce monde imprégné par la création baroque où la musique prime sur la parole
L’important n’est pas la parole dans les lieux de culte ou dans les rues de la ville, l’important c’est le beau, cette musique baroque d’expression des sentiments, traduit l’universel de tous les ressentis partagés par tout un peuple
De dia et de noite partout dans la ville ; une musique qui ne permet pas de définir ou commence le sacré ni ou finit le profane avait inventé une « culture nouvelle », qui de nos jours perdure, une spiritualité qui ne doit rien à la parole religieuse, la souffrance non choisie du mineur travailleur forcé dans les mines est dues à l’esclavage et ne peut en aucun cas être comparée à celle subie par le Christ des kto qui lui avait fait le choix par idéologie de se sacrifier
Comparer la souffrance non choisie des esclaves avec la jouissance masochiste d’un Jésus qui lui avait choisi de mourir en martyr est un crime contre l’esprit
La musique d’un Lobo de MESQUINA n’aurait pas démérité la comparaison avec le « grand œuvre » la flute enchanté d’un Mozart
Crab
11:54 Publié dans 00 Diamantina | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique, société, religion | Facebook | | | Imprimer |
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