Au nom d'une superstition

 

Nous assistons, depuis plusieurs jours, à une effarante levée de boucliers brandit par des '' chefs religieux '' suivi de quelques politiques qui s'imaginent tous plus importants les uns que les autres contre un Premier ministre qui n'avait tenu que des propos plein de bon sens

 

Les responsables religieux du judaïsme et du C F C M, ce jour veulent obtenir du Premier ministre des garanties que l'abattage rituel [ donc sans étourdissement préalable de l'animal ] ne sera pas interdit par la loi

 

Banalisation de l'infanticide

Dans le contexte de l'antiquité pour faire entrer et prédominer dans les têtes une superstition parmi d'autres, le mauvais jeu de rôle consigné dans les textes consistait à demander à un père de commettre un acte parmi les plus terribles, celui de sacrifier son enfant

 

Il fallait que ces illuminés soient sans imagination pour ne rien trouver de plus moral que de proposer comme un symbole fondateur du monothéisme d'exécuter un acte abominable dans le but d'obtenir d'un individu qu'il prouve sa foi

 

Dans les Écritures le sus-nommé dieu dans un autre passage est censé dire : « Les Cananéens au milieu desquels tu habites offrent parfois leurs enfants en holocauste à leurs faux dieux ; m’aimes-tu autant que ces païens aiment leurs dieux ? »

 

Cette pratique était courante chez les Cananéens, donc rien de nouveau sous le soleil à ces époques où les hommes [ plus particulièrement les chefs de tribus ] étaient tous des barbares, il n'y a pas lieu de s'étonner que le sus- nommé dieu demande à Abraham de sacrifier son fils

 

Mais le grand J C connut des chrétien pour son amour sans limite pour l'espèce humaine ne se prive pas de reprendre le flambeau, ordonner l'infanticide au nom de dieu

 

Jésus en effet a dit : « Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi » Matthieu 10: 37

 

Pour les musulman, sur les fondamentaux leur religion est un copié-collé des deux premières, mais avec un contenu misogyne aggravé...rien à ajouter

 

Rappelons une fois de plus que c'est un garçonnet qui est proposé à être sacrifié, considéré supérieur à la fillette, l'homme sacralisé supérieur à la femme, dans l'idéologie barbare de toutes les religions patriarcale  - Crab 07 Mars 2012

 

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