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30/06/2007

MOZART; de la musique, encore de la musique

MOZART

Mozart.jpg

Peinturenumérique - Crab

[- Dans toute l'histoire de la vie spirituelle de l'humanité il n'y a jamais eu qu'un seul miracle - la musique -  Crab]

 

Posté le 17-02-2006 à 18:23:26

Citations

"La musique de Mozart est un univers, une source de lumière, de beauté, de grâce. On s'arrête souvent à ces émotions mozartiennes. Mais il faut aussi éprouver la profondeur, le sens du tragique. Mozart pour moi ne sera jamais le "divin Mozart" ou "l'ange Mozart" car il est à mon sens l'être le plus humain qui soit"
"La musique de Mozart est un univers, une source de lumière, de beauté, de grâce. On s'arrête souvent à ces émotions mozartiennes. Mais il faut aussi éprouver la profondeur, le sens du tragique. Mozart pour moi ne sera jamais le "divin Mozart" ou "l'ange Mozart" car il est à mon sens l'être le plus humain qui soit"
(Anne Queffélec, interviewée par Gérard Abrial pour Easyclassic en août 2003) 2003)


L’esthétique musicale

La beauté y est alors relative à l'émotion ressentie, elle ne dépend plus de la seule raison mais est du ressort de cette troisième " notion primitive " qu'est l'union de l'âme et du corps
Descartes
Mozart est un fils de la lumière. Il a su illuminer ses proches et tous les mélomanes du monde grâce à ses différentes compositions

Différents opus dont, certains plus envoûtant que d'autres, nous partagent une grande philosophie de la vie

Prenons l'exemple de la flûte enchantée, le dernier opéra de Mozart composé en 1791

Cette merveilleuse musique nous parle d'un voyage initiatique durant lequel on apprend à connaître la vie, où on apprend à se connaître soi-même. "Cogito ergo sum, je pense donc je suis" disait Descartes
Il faut toujours apprendre dans la vie parce que l'homme est un éternel apprenti

Aiky Fandresena

 

L'air du temps


Je me suis exprimé sur le contenu de la flute enchantée, exclusivement, parce que ce contenu philosophique était dans l’air du temps.
L’homme Mozart, sensible, à l'écriture ne pouvait faire mieux que de participer

Crab

 

La Flûte enchantée

Film
A la veille de la Première Guerre mondiale, Tamino, en quête d'amour, de paix et de lumière, s'engage dans un dangereux périple. En compagnie de ses hommes paralysés par l'angoisse, il attend l'ordre de partir au combat
Au cours du chaos qui s'ensuit, Tamino se retrouve projeté dans un univers crépusculaire, entre rêve et cauchemar, où trois infirmières militaires lui sauvent la vie... Lorsque Papageno, gardien des canaris utilisés pour détecter la présence de gaz dans les tranchées, apparaît en prétendant avoir sauvé Tamino, les Soeurs décident de les envoyer sur une mission périlleuse
Ils doivent retrouver la trace de Pamina, la ravissante fille de la Reine de la Nuit, enlevée par le redoutable seigneur Sarastro
Deux jeunes gens qui s'aiment parviendront-ils à influer sur le sort des nations et la vie de millions d'êtres humains ?
Réalisé par Kenneth Branagh
Source allocine

 

France 5 : Ce soir

21:40 Kenneth Branagh et «La Flûte enchantée»

Culture (2006) - Durée : 0 h 50
4:3 TP
Realisateur:
Fiona Kelly

Dans les coulisses de «La Flûte enchantée», le célèbre opéra de Mozart, transposé en pleine Première Guerre mondiale par le réalisateur britannique Kenneth Branagh

Posté le 29-12-2006 à 07:12:09

 

LE DROIT de RÊVER


Hier soir, sur France 5, l’Année Mozart s’est achevée sur l’air de «La Flûte enchantée», selon Kenneth Branagh


Cette construction nouvelle entrera probablement dans la plus grande tradition d’interprétation de cet opéra ; Cette passion selon Kenneth Branagh, ma parut sublime

Hâte de voir le film sur les écrans

Pour moi, l’année 2006 aura été marquée profondément par deux grands sujets traités par C’dans l’air : Mozart enfin riche…, et D’autres terre dans l’univers
Si rêver, pour le citoyen, est un Droit absolu ; Faire rêver, le téléspectateur, c’est le devoir de toutes les chaines de télévision
Crab


Fantaisie mozartienne menée claviers battants.
LE MONDE | 26.03.07 | 16h29  •  Mis à jour le 26.03.07 | 16h29  

Un disque né de l'enthousiasme qui donne de la joie de la première à la dernière note ? C'est rare - l'auditeur en l'écoutant aura certainement la même tête que les deux interprètes souriants sur la photo. Mais Mozart. Am Stein vis-à-vis est aussi un disque qui fait dresser l'oreille dès lecture de la pochette. Car une précision s'impose. Le "vis-à-vis" désigne l'extravagant piano-clavecin, instrument à deux extrémités dotées de claviers, que construisit en 1777 à Augsbourg le facteur allemand Johann Andreas Stein
D'un côté, les touches d'un pianoforte à marteaux en bois nu, de l'autre les trois claviers d'un clavecin, le tout pour jouer les médiateurs à une période où la "garde montante" - le nouveau et fringuant pianoforte - croisait la "garde descendante", le clavecin bientôt passé ad patres. Stein, comme d'autres facteurs à l'époque, mais avec plus de bonheur semble-t-il, devait combiner si bien les choses qu'un seul instrumentiste pouvait actionner en même temps les deux mécanismes, le clavier inférieur du clavecin commandant celui du pianoforte. C'est donc sur l'un des deux exemplaires rescapés du vis-à-vis de Stein, lequel est actuellement exposé au Musée Castelvecchio de Vérone, que les "claviéristes" Andreas Staier et Christine Schornsheim ont entrepris de toucher-jouer leur Mozart. Les Sonates pour clavier à quatre mains KV 358 et KV 381 que Mozart composa pour lui et sa sœur Nannerl entre 1772-1774.
Mais aussi les étonnants Praeludium (KV 284a et KV 624) ainsi que la Fantaisie et fugue KV 383 écrits dans la clarté tutélaire de Bach, du mariage avec Constance Weber et de la nouvelle vie viennoise, de même que les Six variations KV 398 sur un air de Paisiello. Quant aux Six Danses allemandes KV 509, initialement prévues pour le piano, dont il ne reste que la version pour orchestre de 1787, elles ont été ici transcrites pour piano et clavecin par nos deux interprètes en folie
Car cette fantaisie musicologique menée claviers battants par Andreas Staier et sa comparse amie Christine Schornsheim aurait pu rester lettre morte, si la musique de Mozart ne s'était tant complu à être traitée de la sorte. C'est vivant, libre, fulgurant, gourmand et audacieux, pétulant et émouvant à la fois, et aussi terriblement séduisant. Après toutes ces années, "Wolfie" comme on ne l'avait jamais entendu ? Il y a vraiment de quoi s'enthousiasmer.  
Marie-Aude Roux


Voir et revoir

MOZART - de la musique - encore de la musique -

 

Voir et revoir ce qui pourrait s’apparenter à ''une leçon de musique'', Mozart à la fin de sa vie, sur ''son lit de mort'' scène du film, le Mozart de Milos FORMAN (1984)

Scène complètement inventée (1); Salieri n’a jamais aidé Mozart sur son lit de mort à écrire son requiem

Cependant cette scène de Milos FORMANN permet de comprendre que pour le poète philosophe musicien Mozart seule compte non pas la liturgie mais la musique, rien que la musique et encore la musique

Crab 17 06 2007

(1) Mozart l’aurait écrit en six mois