23/01/2012
Mohawks
J'aime bien les Amérindiens, notamment les Mohawks ou les Iroquois, je n'en ai jamais rencontré, sauf dans les BD de mon enfance - mais voici ce que l'on dit d'eux dans un article parut dans Le Point ; je lis '' qu'une jeune Mohawk, Kateri Tekakwitha, en passe de devenir la première sainte amérindienne ''
Le Vatican a annoncé le mois dernier la prochaine canonisation de cette femme née en 1656 à Ossernenon ( aujourd'hui Auriesville dans l'Etat de New York ) sur les rives de la rivière Mohawk, et décédée au Canada à 24 ans
Usine à fabriquer des saints ou des reliques, compte, pour le profane, parmi les ridicules les plus perceptibles affichés par l'église depuis '' son invention et implantation dans le monde
Je ne peux que vous les donner en patûre :
Miracle reconnu
Cit Le Point : Ses défenseurs ont envoyé le récit de dizaines de miracles : guérison de malades, lévitation d'un homme au-dessus du sol, ou encore sa propre apparition vêtue de peaux de cerfs. Fin de cit
Mais ce n'est pas tout
Cit Le Point : Rien n'avait suffi, jusqu'à ce qu'en 2006, contre toute attente, un petit Amérindien de 11 ans guérisse à Seattle ( nord-est des Etats-Unis ) de la bactérie mangeuse de chair. Ses parents s'en étaient remis dans leurs prières à Kateri.
Le miracle a été certifié le mois dernier par décret promulgué au Vatican par la Congrégation pour la cause des saints, avec l'acccord du pape.
Aucune date n'a encore été annoncée pour la canonisation, mais les adeptes de la future sainte ne cachent pas leur joie – Fin de cit
C'est d'autant plus abasourdissant que les justifications mis en avant défient tout entendement - d'une époque à l'autre se ressemblent, et pourtant certains de nos contemporains prétendent que le Vatican, l'église avait évolué...que dire de plus – sinon que c'est totalement ahurissant..Je vous laisse le soin d'apprécier – Crab – 23 Janvier 2012
Brant, Joseph
Huile sur toile réalisée par William Berczy - vers 1807
Musée des beaux arts du Canada
Suite à partir d la page :
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/0-2011-place-j-paul-ii-suite/
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30/06/2007
MOZART; de la musique, encore de la musique
MOZART
Peinturenumérique - Crab
[- Dans toute l'histoire de la vie spirituelle de l'humanité il n'y a jamais eu qu'un seul miracle - la musique - Crab]
Posté le 17-02-2006 à 18:23:26
Citations
"La musique de Mozart est un univers, une source de lumière, de beauté, de grâce. On s'arrête souvent à ces émotions mozartiennes. Mais il faut aussi éprouver la profondeur, le sens du tragique. Mozart pour moi ne sera jamais le "divin Mozart" ou "l'ange Mozart" car il est à mon sens l'être le plus humain qui soit"
"La musique de Mozart est un univers, une source de lumière, de beauté, de grâce. On s'arrête souvent à ces émotions mozartiennes. Mais il faut aussi éprouver la profondeur, le sens du tragique. Mozart pour moi ne sera jamais le "divin Mozart" ou "l'ange Mozart" car il est à mon sens l'être le plus humain qui soit"
(Anne Queffélec, interviewée par Gérard Abrial pour Easyclassic en août 2003) 2003)
L’esthétique musicale
La beauté y est alors relative à l'émotion ressentie, elle ne dépend plus de la seule raison mais est du ressort de cette troisième " notion primitive " qu'est l'union de l'âme et du corps
Descartes
Mozart est un fils de la lumière. Il a su illuminer ses proches et tous les mélomanes du monde grâce à ses différentes compositions
Différents opus dont, certains plus envoûtant que d'autres, nous partagent une grande philosophie de la vie
Prenons l'exemple de la flûte enchantée, le dernier opéra de Mozart composé en 1791
Cette merveilleuse musique nous parle d'un voyage initiatique durant lequel on apprend à connaître la vie, où on apprend à se connaître soi-même. "Cogito ergo sum, je pense donc je suis" disait Descartes
Il faut toujours apprendre dans la vie parce que l'homme est un éternel apprenti
Aiky Fandresena
L'air du temps
Je me suis exprimé sur le contenu de la flute enchantée, exclusivement, parce que ce contenu philosophique était dans l’air du temps.
L’homme Mozart, sensible, à l'écriture ne pouvait faire mieux que de participer
Crab
La Flûte enchantée
Film
A la veille de la Première Guerre mondiale, Tamino, en quête d'amour, de paix et de lumière, s'engage dans un dangereux périple. En compagnie de ses hommes paralysés par l'angoisse, il attend l'ordre de partir au combat
Au cours du chaos qui s'ensuit, Tamino se retrouve projeté dans un univers crépusculaire, entre rêve et cauchemar, où trois infirmières militaires lui sauvent la vie... Lorsque Papageno, gardien des canaris utilisés pour détecter la présence de gaz dans les tranchées, apparaît en prétendant avoir sauvé Tamino, les Soeurs décident de les envoyer sur une mission périlleuse
Ils doivent retrouver la trace de Pamina, la ravissante fille de la Reine de la Nuit, enlevée par le redoutable seigneur Sarastro
Deux jeunes gens qui s'aiment parviendront-ils à influer sur le sort des nations et la vie de millions d'êtres humains ?
Réalisé par Kenneth Branagh
Source allocine
France 5 : Ce soir
21:40 Kenneth Branagh et «La Flûte enchantée»
Culture (2006) - Durée : 0 h 50
4:3 TP
Realisateur:
Fiona Kelly
Dans les coulisses de «La Flûte enchantée», le célèbre opéra de Mozart, transposé en pleine Première Guerre mondiale par le réalisateur britannique Kenneth Branagh
Posté le 29-12-2006 à 07:12:09
LE DROIT de RÊVER
Hier soir, sur France 5, l’Année Mozart s’est achevée sur l’air de «La Flûte enchantée», selon Kenneth Branagh
Cette construction nouvelle entrera probablement dans la plus grande tradition d’interprétation de cet opéra ; Cette passion selon Kenneth Branagh, ma parut sublime
Hâte de voir le film sur les écrans
Pour moi, l’année 2006 aura été marquée profondément par deux grands sujets traités par C’dans l’air : Mozart enfin riche…, et D’autres terre dans l’univers
Si rêver, pour le citoyen, est un Droit absolu ; Faire rêver, le téléspectateur, c’est le devoir de toutes les chaines de télévision
Crab
Fantaisie mozartienne menée claviers battants.
LE MONDE | 26.03.07 | 16h29 • Mis à jour le 26.03.07 | 16h29
Un disque né de l'enthousiasme qui donne de la joie de la première à la dernière note ? C'est rare - l'auditeur en l'écoutant aura certainement la même tête que les deux interprètes souriants sur la photo. Mais Mozart. Am Stein vis-à-vis est aussi un disque qui fait dresser l'oreille dès lecture de la pochette. Car une précision s'impose. Le "vis-à-vis" désigne l'extravagant piano-clavecin, instrument à deux extrémités dotées de claviers, que construisit en 1777 à Augsbourg le facteur allemand Johann Andreas Stein
D'un côté, les touches d'un pianoforte à marteaux en bois nu, de l'autre les trois claviers d'un clavecin, le tout pour jouer les médiateurs à une période où la "garde montante" - le nouveau et fringuant pianoforte - croisait la "garde descendante", le clavecin bientôt passé ad patres. Stein, comme d'autres facteurs à l'époque, mais avec plus de bonheur semble-t-il, devait combiner si bien les choses qu'un seul instrumentiste pouvait actionner en même temps les deux mécanismes, le clavier inférieur du clavecin commandant celui du pianoforte. C'est donc sur l'un des deux exemplaires rescapés du vis-à-vis de Stein, lequel est actuellement exposé au Musée Castelvecchio de Vérone, que les "claviéristes" Andreas Staier et Christine Schornsheim ont entrepris de toucher-jouer leur Mozart. Les Sonates pour clavier à quatre mains KV 358 et KV 381 que Mozart composa pour lui et sa sœur Nannerl entre 1772-1774.
Mais aussi les étonnants Praeludium (KV 284a et KV 624) ainsi que la Fantaisie et fugue KV 383 écrits dans la clarté tutélaire de Bach, du mariage avec Constance Weber et de la nouvelle vie viennoise, de même que les Six variations KV 398 sur un air de Paisiello. Quant aux Six Danses allemandes KV 509, initialement prévues pour le piano, dont il ne reste que la version pour orchestre de 1787, elles ont été ici transcrites pour piano et clavecin par nos deux interprètes en folie
Car cette fantaisie musicologique menée claviers battants par Andreas Staier et sa comparse amie Christine Schornsheim aurait pu rester lettre morte, si la musique de Mozart ne s'était tant complu à être traitée de la sorte. C'est vivant, libre, fulgurant, gourmand et audacieux, pétulant et émouvant à la fois, et aussi terriblement séduisant. Après toutes ces années, "Wolfie" comme on ne l'avait jamais entendu ? Il y a vraiment de quoi s'enthousiasmer.
Marie-Aude Roux
Voir et revoir
MOZART - de la musique - encore de la musique -
Voir et revoir ce qui pourrait s’apparenter à ''une leçon de musique'', Mozart à la fin de sa vie, sur ''son lit de mort'' scène du film, le Mozart de Milos FORMAN (1984)
Scène complètement inventée (1); Salieri n’a jamais aidé Mozart sur son lit de mort à écrire son requiem
Cependant cette scène de Milos FORMANN permet de comprendre que pour le poète philosophe musicien Mozart seule compte non pas la liturgie mais la musique, rien que la musique et encore la musique
Crab 17 06 2007
(1) Mozart l’aurait écrit en six mois
20:35 Publié dans 60 De la musique et de MOZART | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique, femme, miracle, société, culture | Facebook | | | Imprimer |