02/01/2016
Je veux que ma fille soit libre
Pour une femme éprise de liberté être islamophobe, c'est naturel – c'est le contraire qui l'est pas. Crab
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La nouvelle vie de jeunes Afghanes à Berlin
Dans le gymnase de la Gürtelstrasse à Berlin, transformé en camp de réfugiés, avoir une valise à roulettes est devenu l’ultime rêve de Mina, une jeune fille afghane aux yeux en amande. Depuis que sa famille est arrivée en Allemagne il y a trois semaines, son frère, Ali, 17 ans, lui a permis de couvrir ses cheveux, non pas avec un foulard, mais avec un chapeau. Ali reste toutefois intransigeant au sujet du maquillage. « Regarde ! Les Européennes se maquillent à peine, lui a dit le jeune garçon, Arrête de le faire. C’est trop tape-à-l’œil. » Mais Mina, 16 ans, continue à mettre son rouge à lèvres rose, du mascara, porte des bagues et épile encore plus minutieusement ses sourcils.
Mina, Ali et leur mère sont partis il y a deux mois de Robat Karim, ville située dans le sud de la province de Téhéran, en Iran. Après avoir traversé la Turquie, ils ont ensuite rejoint sur un bateau l’île grecque de Mytilène. De là, ils ont été dirigés par l’ONU vers Athènes. Après, ils sont passés par la Macédoine, la Croatie, la Slovénie, l’Autriche et ont finalement atterri à Berlin. Depuis trois semaines, ils vivent dans ce gymnase surchauffé avec 200 autres réfugiés, des Syriens, des Irakiens, des Afghans et des Européens venus de l’est. Pour se construire une intimité, des familles ou des compatriotes rapprochent leurs lits à deux étages et installent des rideaux.
Rêve et révolte
Quand il faut se rendre au LaGeSo, l’Office d’Etat de la santé et des affaires sociales, afin de récupérer leur allocation mensuelle de 218 euros, c’est toujours Ali qui monopolise la parole, prend des grands airs, réduit au silence sa sœur et sa mère âgée de 56 ans, lorsque cette dernière raconte ses souffrances sur le chemin de l’exil. En présence d’Ali, Mina ne parle pas, se met à l’écart, au point qu’on oublierait presque sa présence.
Pour parler librement avec Mina, il faut la retrouver toute seule, loin de son frère. Il faut venir la chercher à une heure précise devant le camp pour l’emmener faire un tour au centre commercial à proximité. Même si elle connaît les caractères latins – la jeune fille a pris des cours d’anglais en Iran –, elle n’ose pas trop sortir toute seule du camp. Mais depuis qu’elle est en Allemagne, elle éprouve comme un sentiment de révolte. Mina rêve d’aller à l’université et d’étudier le graphisme, ce qu’elle n’aurait pas pu faire en Iran. « Je me suis arrêtée en classe de troisième. Ça coûtait très cher pour les Afghans et à la fin de chaque année, l’école refusait de nous donner nos attestations de diplômes. »
Si son frère bouillonne de colère à l’idée qu’un jour sa sœur puisse avoir un petit ami, Mina n’entend pas se passer de ce qu’elle qualifie de « naturel ». « Les hommes afghans ont été élevés comme ça. Leur sœur est leur honneur. Ils ne laissent personne l’approcher, dit-elle. De mon point de vue, c’est la nature humaine. Ça peut arriver. Dans ce cas-là, peut-être que je ne lui dirai rien. » Et s’il finit par savoir ? « En Allemagne, il n’a pas le droit de me frapper. Je suis contente d’être ici. »
« Je veux que ma fille soit libre »
Ce sentiment d’être davantage protégée contre les hommes de la famille, Shakila, une Afghane de 27 ans, le partage avec Mina. « Mon mari me frappait en Iran, explique cette mère de deux jeunes enfants qui vit depuis deux mois dans le gymnase de la Gürtelstrasse. En Afghanistan non plus, les femmes ne sont pas bien traitées. Mais ici, j’ai dit à mon mari qu’il ne pourrait plus me traiter comme avant. Je suis contente d’être là… Très contente. »
« Mon mari me frappait en Iran. Mais je lui ai dit qu’ici il ne pourrait plus me traiter comme avant », raconte Shakila, une réfugiée afghane âgée de 27 ans
Ses mots sont graves, mais Shakila déborde, elle aussi, de joie de vivre. Par ce petit matin glacé de décembre 2015, ses rires et sa légèreté animent la salle à manger du gymnase. Même si Shakila a laissé tomber ses grands rêves, dont celui de devenir enseignante, elle projette ses envies sur sa fille de 3 ans, Madina : « J’espère que ma fille ne subira pas les souffrances que j’ai connues. Je veux qu’elle soit libre. Qu’elle ne soit pas opprimée, frappée par un homme. Je veux qu’aucun mec ne puisse lui dire que c’est lui le chef, le maître de la maison. »
Tout comme Shakila, Zahra ne se voit pas atteindre les sommets. Née à Téhéran, cette jeune Afghane au visage enfantin – qui, sur la route de l’exil, a failli se noyer avec sa famille dans la mer Egée – n’a jamais pu aller à l’école en Iran. « Je suis illettrée. Mais je ne suis partie d’Iran que pour mon fils, Erfan, pour qu’il puisse devenir médecin ou ingénieur », dit-elle. Certains samedis, les gérants du centre d’accueil ramènent des machines à coudre dans le gymnase. Zahra, couturière professionnelle, se met derrière l’une des machines et refait les ourlets du pantalon d’une des assistantes du camp. « Je veux les aider pour les remercier », glisse Zahra.
Zahra, Mina et Shakila attendent leur rendez-vous pour enregistrer leur empreinte digitale. Ensuite, avec leur famille, elles peuvent être envoyées dans d’autres villes allemandes, mais elles s’habituent peu à peu à Berlin. D’ailleurs, depuis son arrivée, Mina ne s’est jamais sentie menacée ou méprisée en tant qu’étrangère. Une fois, dans le métro, elle était assise pas loin de deux garçons arrivés quatre mois plus tôt de Harat, grande ville de l’ouest de l’Afghanistan. Leur manuel d’allemand ouvert sur les genoux, les deux jeunes, ayant du mal à répondre à une question, ont demandé de l’aide à une Allemande assise en face d’eux. Elle s’est penchée sur le manuel, a lu attentivement la question et leur a expliqué en détail la réponse. Mina prend toujours du plaisir à se souvenir de cette scène.
Cependant, elle croit, comme ses congénères, que les Afghans sont discriminés par les autorités par rapport aux Arabes, aux Syriens notamment. « Il y a toujours quelqu’un qui parle arabe parmi ceux qui sont censés s’occuper des réfugiés et comme ça, les Arabes bénéficient des aides les meilleures, et pas nous », s’indigne Mina. Du coup, toutes ces jeunes femmes craignent que l’Allemagne ne les expulse vers l’Afghanistan, le pays que certaines d’entre elles n’ont pas connu mais qui évoque pour elles « la lapidation des femmes », « la guerre » et « la violence quotidienne ». « Et si après toutes ces souffrances, après que nous avons mis en danger notre vie, les Allemands finissaient par nous renvoyer en Afghanistan ? », s’agite Mina, avant que sa mère ne tente de la rassurer
Ghazal Golshiri (Berlin, envoyée spéciale)
Sur la route, les femmes migrantes plus vulnérables face aux violences
Viols et violences
Pour celles qui avancent seules sur la route, tout est plus risqué. Pour assurer leur sécurité, certaines se regroupent, souvent par région d’origine. D’autres se mettent sous la protection d’un homme, plus ou moins bienveillant. A Athènes, une jeune Afghane de 19 ans racontait ainsi avoir acheté sa protection en épousant sur la route le chef du groupe afghan qui les encadrait. L’union avec cet homme de 50 ans, lui-même déjà marié deux fois, avait arrêté les tentatives de viols par ses camarades de marche, des paysans afghans ultra-conservateurs.
Comme les hommes, les femmes font face à la violence des autres migrants, des passeurs… Voire des autorités. Mais, outre les coups et les humiliations, des témoins racontent ce qu’un rapport de Human Rights Watch (HRW), publié le 21 septembre, nomme des « gender specific violences », des violences spécifiques envers les femmes. Soit des agressions sexuelles, allant du harcèlement au viol.
Une mère de famille syrienne rencontrée à son arrivée en France nous a ainsi confié avoir été témoin de viols de jeunes filles à l’intérieur du camp de Gazi Baba, en Macédoine. Avec force détails, elle a porté de graves accusations contre la police macédonienne qui selon elle réclamait des faveurs sexuelles contre de l’eau ou du pain. Un témoignage recoupé par une jeune femme du même groupe, qui raconte avoir été harcelée puis épargnée en prétendant être enceinte et déjà mariée.
Ces témoignages sont corroborés par le rapport de Human Rights Watch, qui dénonce les violences policières envers les migrants en Macédoine :
« Un ancien gardien a dit qu’au moins deux policiers du centre de détention [de Gazi Baba] s’étaient vantés d’avoir eu des relations sexuelles avec des détenues.
« Ils m’ont dit ‘Si tu veux le faire, on peut arranger ça pour toi’. Ils ne se cachaient pas. Ils en étaient même fiers. »
Extrait du rapport de Human Right Watch
...ect. ect. ect.
[ Pour ma part, depuis plus de vingt ans, j'écris régulièrement, en rapport avec l'actualité, qu'il fallait prioritairement organiser des filières pour aider les femmes éprises de liberté désireuses de fuir les pays dominés par les musulmans, car dans ce '' monde islamique '' l'inconscient de la plupart des hommes musulmans et d'une bonne partie des femmes musulmanes structuré ou aliéné par la religion est indécrottable et pour longtemps encore - Crab 02 Janvier 2016 ]
Suites : Ne pas croire immunise contre l'intolérance
http://laicite-moderne.blogspot.fr/search?q=islam+-+biblioth%C3%A8que
ou sur : Islam - bibliographie
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/0-islam-bibliographie/
11:52 Publié dans Je suis incroyant, Je veux que ma fille soit libre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : féminisme, islam, voiles_islamiques, sexualités, migrants | Facebook | | | Imprimer |
18/07/2011
Courrier 18 Juillet 2011
Un lecteur m'écrit : « Sincèrement vous considérez l'Afrique du Nord comme des pays "musulmans".Promenez vous au Maroc,Tunisie ( 1 ) ou Algérie,et vous verrez que nous sommes bien loin de la charria appliquée en Arabie Saoudite ( lapidation des femmes pratiquée ), du Qatar ou du Yémen.
C'est à cause de ceux qui raisonnent comme vous que les amalgames sont légion dans la bouche de certains politiques.
A chaque fois le même procédé pour vous et vos amis "immigration-arabes et islam". » Fin de sa note
Sur l'immigration
je ne reviendrais pas sur ce que je vous ai dors et déjà exposé: 2.700.000 Chômeurs - un français [ quelque soit ses origines ] sur deux pauvre ou extrêmement pauvre - donc ramener la migration à presque zéro aussi longtemps qu'il sera nécessaire...
Explications sur : Mots croisés
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/0-2011-mots-croises/
Sur l'islamique
Je n'ai pas besoin de vous pour constater ce que vaut que ce soit en Arabie Saoudite ou dans les pays qui bordent la méditerranée la liberté d'expression ou ce qu'il en est de la condition des femmes
Quelques exemples...
a/
Non tous les arabes ne sont pas tous croyants ni tous musulmans...
Waleed Al Husseini,
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/0-le-petit-dieu/
b/
Tunisie
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/tunisie/
c/
Révolution
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/tunisie/
Je n'ai pas besoin de vos conseils pour décrypter les textes infantiles des religions duelle...ni pour faire la différence entre une religion et les autres
Faites vous-même l'essai de lire '' les tactiques de chronos'' et / ou '' petits voyages dans le monde des quanta '' d'Étienne Klein – pour ce qui me concerne je me fais aider, je me renseigne abondamment, j'interroge autour de moi...pour pouvoir poursuivre la lecture – c'est autre chose que les textes infantiles des religions duelle ...car là voyez-vous '' dans cet univers là '' il n'y a ni haut ni bas, c'est un peu plus compliqué...et personne '' qui voit tout ''...
Les religions n'ont qu'un seul point en commun n'être que des croyances
- mais -
Elles ont des différences, certaines même si je m'en passe allègrement '' autorisent '' un minimum de réflexion, ce qui n'est pas le cas de la musulmane qui est une religion de l'irresponsabilité...vous saisissez la différence...non ?
La musulmane non seulement vous dit tout ce que vous devez faire ou comment être vous-même et aussi les rapports à tenir vis à vis de l'autre l'incroyant ou celui d'autres confessions et en guise de bonus tout le texte ne s'adresse qu'aux hommes
...la musulmane institutionnalise la phallocratie, c'est la plus misogyne de toutes les duelle
Le coran, c'est un livre de l'histoire d'une grande partie des populations arabes, de nos jours, complètement obsolète
Cette religion phallocrate est un manifeste antidémocratique dans le sens plein du terme, dans le coran, dans les relations femmes-hommes, pas une seule sourate s'adresse à la femme
Suite
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/41-les-diktats-musulmans/
Le nombre de demandeurs d'emploi a progressé le mois dernier dans toutes les catégories. Les jeunes ont particulièrement souffert, à l'instar des seniors et des chômeurs de longue durée.
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http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2011/06/29/shower.html
Vous imaginez me faire avaler '' votre vision idyllique '' de la condition des femmes dans des pays du rêve en islamiquo-akadabrantesque
Sur les femmes arabes qui savent ce qui signifie pour la femme : liberté, autonomie et indépendance financière des hommes
L’abrogation du code de la famille demandée [ Par les femmes arabes, surnommé le '' code de l'infamie '' ]
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http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2011/06/12/algerie-code-de-l-infamie.html
Les femmes en France sont libres excepté dans certains milieux où des individus sans scrupules s'arrogent le droit de contrôler la vie sexuelle ou amoureuse des femmes
Extrait du courrier d'une lectrice
« ...le mythe de la laïcité couvre les agissements et comportements mafieux . » me dit-elle
Vous ignorez, jusqu'au sens même de la notion de laïcité
La neutralité laïque c'est la base de la liberté, figurez-vous...
La laïcité ce n'est pas reconnaitre exclusivement toutes les croyances qui parcourent la société mais aussi toutes les options spirituelles et éthiques des incroyants...aussi, les modes de pensées des athées ou agnostiques - Dans notre démocratie, seules priment les lois civiles et non les '' lois religieuses ''
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L' enjeu, c'est la femme
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/feminisme/
Crab – 18 Juillet 2011
( 1 ) - Notes
16 Juillet 2011 : TUNIS (TAP) - La présidente du Mouvement démocratique de l'édification et de la réforme (MDER), Emna Mansour Karoui, a appelé, vendredi, la femme tunisienne à s'engager davantage dans l'action politique et à participer à la vie publique sur le même pied d'égalité que les hommes.
Lors d'une intervention à une conférence organisée au siège du parti au Bardo, la présidente du MDER a relevé la faible présence de la femme dans les postes de décision tels les fonctions de gouverneurs et de délégués, ajoutant que le gouvernement de transition n'a accordé que deux portefeuilles ministériels aux femmes.
La présidente du parti a aussi évoqué différentes autres questions en rapport avec la condition de la femme dont notamment la situation de la femme rurale, l'abandon scolaire précoce des filles, et l'absence de structures d'aide sociale au service de la femme travailleuse telles les garderies d'enfants.
La violence physique et verbale contre la femme dans la rue et sur le lieu du travail ainsi que les menaces contre ses acquis ont été abordées par Mme Emna Mansour Karoui qui a appelé à mettre en place un mécanisme de protection des droits de la femme et à consolider Code du statut personnel. - Source : TUNISIE PRESSE
Suite à partir de la page
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21:46 Publié dans Courrier 18 Juillet 2011 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : féminisme, islam, migrants | Facebook | | | Imprimer |
09/11/2010
Général nous voilà!
Brève du 09 Novembre 2010
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LE PARFUM
ET LES
VAPEURS DU RHUM
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Tout le monde, ce 9 novembre 2010, nous dit-on commémore le Général de Gaulle – l'homme qui n'avait pas sut gracier l'opposant politique qui avait tenté de l'assassiner
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''Faire ce qu'il y a faire'' – laisser trancher la tête de J M Bastien-Thiry
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Faire sous son ''règne'' interdire la boite à sel - une émission de télévision humoristique et d'actualité satirique française créée et présentée par Jacques Grello, Robert Rocca et Pierre Tchernia et diffusée d'octobre 1955 au 2 février 1960 sur l'unique chaîne de télévision de la RTF
Plusieurs acteurs comiques collaborèrent aux sketchs de cette émission, comme Michel Roux ou Paul Préboist, ainsi que l'actrice Dora Doll
La Boîte à sel est la première émission satirique en France. Ses créateurs sabordent l’émission le 2 février 1960 pour refuser la censure au sujet de la Guerre d'Algérie
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La presse sous le Général, presque totalement muselée...mais presque c'était déjà bien trop...pour ressembler à une démocratie
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Ceci étant rappelé ne retire rien de son action politique ni de la pertinence de ses décisions chaque fois qu'il fut nécessaire de défendre l'indépendance, la souveraineté, de la France
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Aujourd'hui plus besoin de museler la presse, aux formulations politiques plus incohérents les unes que les autres, il suffit de taxer tout opposant de nationaliste perverti, de sympathisant du front national et j'en passe et des meilleures pour mieux escamoter les valeurs fondatrices de notre identité
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Sur ce dernier aperçu je suis toujours surpris de constater que le point de rencontre ou de convergence idéologique n'est manifestement pas perçut par une majorité de médias, de personnalités politiques et civiles
Qu'ont en commun, tout en bénéficiant du silence politique plus général, l'extrême droite – les islamo-gauchistes – les papistes et les islamistes?: L'HOMOPHOBIE!
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L'homophobie – ne peuvent accepter les singuliers comme autant de particularismes de l'espèce humaine – en conséquence l'intolérance affichée contre tous ceux [homos et autres] qui ne cadrent pas avec le couple hétéro reproducteur
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Ce que pense en outre et surtout c'est que ''tout ce joli monde''; des papistes – islamistes -islamo-gauchistes – extrême droite -n'a jamais cessé avant toute autre considération d'être antisémite fortement conforté par l'idéologie déployée par certains dirigeants d' OMG et d'associations antiracistes à géométrie variable
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Mais que l'on se rassure, comme tous les quatre ans la route, qui permettait à l'arrivée aux îles d'échanger les nègres esclaves contre des barils de rhums comme monnaie d'échange et rapportés en France, a cette année encore son vainqueur
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De saint-Malo, hé-ho, hé-héo – toutes voiles dehors, par procuration la presse papier et en ligne se déchaîne, la télévision s'exalte inexorablement telle à l'image d'un mouvement de houle - la marée montante de l'audimat
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SOS MALRAUX
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Ils ne savent plus ce qu'il font – Piazza Navona un immeuble d'accueil d'étudiants actuellement propriété de la France selon un UMP, ce serait dit-il judicieux de le faire figurer ou de l'ajouter aux mille trois cents bâtiments promis à la vente pour résorber une petite partie des déficits de notre pays
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Pour toute personne qui connait bien Rome, c'est l'emplacement idéal pour étudier la ''Rome baroque et antique'' – mais l'inculture dans notre pays est en voie de tenir le haut du pavé
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Je pense qu'il serait plus utile que la plupart des bâtiments qui abritent en France et à l'étranger des consulats soient ramenés pour la plupart à quelques bureaux dans les ambassades – voilà là l'opportunité de vendre des établissements couteux d'entretiens et de fonctionnements, ce qui n'exclut pas pour autant de vendre d'autres bâtiments
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Maintenir le principe de l'asile politique et ramener l'immigration à presque zéro – tant que ne seront pas logés correctement, resteront sans métiers ou sans emplois toutes les personnes vivant sur nos territoires.
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Utile ici de rappeler que la formation à des métiers manuels d'une partie importantes de chômeurs inaptes à des fonctions intellectuelles reste une priorité avant de laisser ''s'installer'' des migrants qui arriveraient sans qualifications professionnelles
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D'où la nécessité de repousser efficacement le «sans-papiérisme», une idéologie d'irresponsables visant à attribuer une fonction quasi-rédemptrice aux immigrés séjournant illégalement en France
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Mais à coté, comme par dérision, le brouillard des vapeurs du rhum qui font les beaux jours de ''la plume spectacle'' et de l'autre coté le masque, l'idéologie du refus de contrôler sérieusement les migrants voile, obscurcit la prise en compte pragmatique des problèmes de la pauvreté grandissante dans notre pays
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Bonne nouvelle:
Le prix Goncourt récompense l'écrivain Michel Houellebecq qui en d'autres temps avait eu le courage de blasphémer
...et comme [lors du procès] le disait M. Braudeau «Un écrivain a une fonction critique, il n'est pas là pour plaire au roi, au pape ou à je ne sais quoi, en mettant en garde contre la confusion entre les propos d'un personnage de fiction et l'opinion de son auteur. Le personnage de fiction a le droit de dire ce qui lui chante. Sinon, on n'aurait pas écrit Crime et châtiment.»
ICI – Il est important de rappeler que le blasphème est la donnée démocratique, émancipatrice, laïque en réponse à l'exhibitionnisme, au fétichisme des religieux qui s'affichent sans pudeur sur l'espace public
Crab
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Suite sur...
DÉMOCRITE - PIRRHON - PLATON - SARKOSY
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2010/06/29/democrite-pirrhon-et-platon.html
20:02 Publié dans Général nous voilà! | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : de gaulle, france, traite des esclaves, migrants | Facebook | | | Imprimer |