Crab2ddcc

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

14/09/2020

COVID19

14 SEPTEMBRE

Didier Raoult ce matin pendant une heure, sur C New, a encore démontrer qu’il est un scientifique, un médecin conscient de ses devoirs et un philosophe dont la pensée est ancrée dans le ‘’comment les choses de la vie heurtent frontalement toutes les politiques d’asservissements, d’abaissement de la citoyenneté ou engagées contre la culture française.

 

Rien de nouveau, c’est ainsi depuis quarante ans, « nos gouvernants successifs » tous, plus jacobins les uns que les autres, sinon toujours plus dans le déni de l’histoire - fortement soutenu par la police de la pensée figeant ou pétrifiant jusqu’aux viscères la plus large partie d’une « élite » beaucoup trop très médiatisée ‘’ aux détriments des penseurs de la réalité-commune.

 

SUITE

https://laicite-moderne.blogspot.com/search?q=Covid19

CRAB

19/11/2015

Inégalités femmes-hommes

inégalités hommes-femmes.png

Lu dans la presse :

Le chemin de l'égalité entre hommes et femmes sera long. Le rapport annuel sur "l'écart entre les genres", publié ce 19 novembre par le Forum économique mondial, qui porte cette année sur 145 pays – suite sur la page :

http://www.lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/dans-118-ans-il-n-y-aura-plus-d-inegalites-hommes-femmes-dans-le-monde_1737396.html

°

Pour y parvenir avant 118 ans, commençons par écrire '' qu'il n'y aura pas d'égalité femmes et hommes '', le F étant placé avant le H dans notre alphabet

Seul point positif : dans le classement sur 145 pays, dans les domaines de la santé et de l'éducation, la France occupe la première place du classement depuis 2006

Suites : L'égalité femmes-hommes

http://laicite-moderne.blogspot.fr/search?q=L%27%C3%A9galit%C3%A9+femmes-hommes

Suites 2 : Seul importe l'égalité femmes-hommes !

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/seul-importe-l-egalite-femmes-hommes/

Crab - 19 Novembre 2015

21/10/2011

Sexe et genre

0 Les insoumises.jpeg

Présentation de l'éditeur

Connaissez-vous Hypathia *, mathématicienne et philosophe du IVe siècle ? Nicole Lepaute et Hélène Metzger dont les travaux ont révolutionné le monde de la science ? Avez-vous entendu parler de l'impératrice Théodora, de Catherine Sforza et de Victoria Woodhull, laquelle osa se présenter aux élections présidentielles américaines alors que les femmes n'avaient pas le droit de vote ?

Et Marguerite-Julienne Le Pastour, la femme bourreau, " contrainte de se travestir en homme pour exercer son métier ", ou encore Mary Read, la flibustière, vous sont-elles familières ?

 

Voici de quoi nous étonner : dix-huit portraits de femmes plus surprenantes les unes que les autres. Femmes de lettres, femmes politiques, aventurières, scientifiques, pionnières, religieuses, grecques, italiennes, allemandes, françaises ou américaines : elles ont toutes en commun une détermination et une volonté de fer.

 

Stupéfiantes pou certaines, admirables pour d'autres, suspectes quelquefois, mais toujours fascinantes, ces femmes nous font découvrir une époque ou un lieu, un combat ou une aventure.

 

Toutes nous montrent qu'être femme dans une société souvent misogyne nécessite courage et opiniâtreté pour parvenir à ses fins, choisir son mode de vie... ou simplement pour avoir le droit d'exister – Fin de cit/

 

* http://laiciteetsociete.hautetfort.com/tu-aimeras-ton-prochain/

 

Sexe et genre

 

Cit/ :

« Tandis que le sexe [ ce avec quoi nous naissons ] établit une différence biologique entre les femmes et les hommes, le genre quant à lui, définit les rôles, les comportements, les valeurs et les responsabilités que les femmes, les hommes, les filles et les garçons doivent jouer au sein de leurs familles, de leurs communautés et de la société en général.

 

Ces rôles spécifiques au genre sont établis par la société et peuvent ainsi être modifiés puisqu’ils dépendent d’un contexte historique, culturel, politique et social. »

 

 

Les différentes traditions sociales et culturelles ainsi que les contextes politiques et économiques entraînent souvent que les filles et les garçons ne grandissent pas avec les mêmes droits. Elles restent les principales victimes de la pauvreté dans les pays en développement.



Pourtant, l’expérience sur le terrain démontre que l’éducation des femmes est un élément fondamental du développement dans les pays pauvres. Parce qu’elles devraient avoir les mêmes droits que les hommes, les femmes et les filles font l’objet d’une attention particulière dans tous nos projets



Au cours de sa vie, une fille fait face à de nombreux défis :

Dès sa naissance, pour avoir le droit d’exister, une fille doit commencer par obtenir un certificat de naissance. Ce précieux document lui permettra plus tard d’avoir accès à l’éducation, à la santé et, à sa majorité, au vote. Une petite fille doit aussi avoir accès à une bonne alimentation et à des vaccins pour pouvoir grandir en toute sécurité.



Dès l’âge de 6 ans, alors qu’elle commence à aller à l’école, une fille doit tenter de rester en bonne santé. Elle doit se battre pour manger tout autant que ses frères et pour réussir à l’école.



En grandissant, une fille doit continuer à être protégée. Son réseau, ses mentors sont très importants, tout comme l’existence d’espaces protégés où elle pourra s’épanouir sans crainte.

Fin de cit/ : Source – Because I am a Girl

 

Suite à partir de la page :

http://laicite.over-blog.com/article-sante-et-droits-des-femmes-des-reculs-inquietants-86945131.html

 

Santé et droits des femmes : des reculs inquiétants

santé,féminisme,société,politique

Catherine Sforza ou La dame aux jasmins - Lorenzo di Credi

Une femme dotée d'un tempérament volontaire et indépendant qui représenta l'idéal féminin de la Renaissance italienne. Son nom symbolise l'énergie et l'engagement des femmes face à l'adversité et les roueries

Santé et droits des femmes : des reculs inquiétants

Depuis plus de quarante ans, les combats successifs pour les droits des femmes et notamment pour l’accès libre et gratuit à la contraception et à l’IVG ont permis des avancées considérables.

 

Dans ce combat, le mouvement mutualiste a contribué à faire progresser les droits des femmes, de par leur rôle de transformation sociale, mais aussi grâce à la mise en œuvre effective de ces droits.



Aujourd’hui, bien que le droit et la liberté de choix des femmes en matière de santé et de contraception soient inscrits dans les lois, ils ne le sont plus suffisamment dans les faits !



Les moyens et les organisations actuels du système de santé ne garantissent plus l’accès de toutes les femmes à ces droits fondamentaux :



  • Le non remboursement de certains moyens de contraception ne permet pas un réel choix et l’offre oriente la demande, organisant ainsi le maintien au sein d’un modèle contraceptif où la pilule et le stérilet sont le plus couramment prescrits

     

  • Le nombre et les moyens des centres de planification sur le territoire ne permettent pas de garantir à toutes les femmes, notamment les plus jeunes, d’être conseillées et d’accéder gratuitement à un moyen de contraception et de façon anonyme

     

     

  • L’accès à l’IVG n’est pas égal sur tout le territoire. La réorganisation hospitalière et la fermeture de centres d’IVG ne font qu’aggraver une situation déjà compliquée. En effet, de nombreuses femmes ne peuvent pas obtenir de rendez-vous dans les délais prévus par la loi du fait du manque de personnel et/ou du refus de certains praticiens de réaliser des interruptions volontaires de grossesse

     

Nous assistons donc aujourd’hui à un double recul préoccupant : recul du droit à la contraception et recul du droit à l’avortement !

Face à ces constats, la LMDE et la MGEN, mutuelles engagées dans la lutte pour les droits des femmes, demandent aux pouvoirs publics de :



  • Développer des programmes de prévention à tous les âges de la vie, de la maternelle, au grand âge, s’appuyant sur la relation à l’autre, le respect des choix de vie, de l’orientation sexuelle et des identités de genre :

    • Appliquer la loi du 4 juillet 2001, qui prévoit l’obligation de « dispenser une information et une éducation à la sexualité dans les écoles, les collèges et les lycées, à raison d’au moins trois séances annuelles et par groupes d’âge homogène ».

       

  • Garantir un suivi gynécologique à toutes les femmes sur tout le territoire et à tous les âges de la vie par :

    • La présence de praticiens assurant ce suivi sur tout le territoire sans dépassement d’honoraires

       

    • Le développement de l’information et de la formation des praticiens et des sages-femmes concernant leurs actions de prévention, la prescription de tous les moyens contraceptifs et de tous les traitements ou vaccins susceptibles d’être favorables à la santé des femmes et au maintien de leur qualité de vie

    • L’organisation d’une consultation gynécologique gratuite pour toutes les femmes de 50 ans. Cette consultation permettrait de favoriser l’accès aux campagnes organisées de dépistage des cancers féminins et de mieux prendre en charge les troubles liés à l’âge. Cela implique de garantir à toutes les femmes l’accès et la prise en charge aux thérapeutiques adaptées.

       

  • Garantir la gratuité de l’ensemble des moyens de contraception disponibles y compris les préservatifs féminins et masculins dans le cadre de l’assurance maladie. Cette mesure doit permettre à chacune d’accéder au moyen de contraception qui lui convient, de préserver son intimité et ainsi d’améliorer l’état de santé des femmes

  • Développer la recherche dans le domaine des produits contraceptifs mensuels ou trimestriels pour leur mise sur le marché

  • Défendre et garantir le droit à l’avortement sur tout le territoire, en garantissant l’existence et l’accès aux structures de proximité capables de prendre en charge les femmes dans les délais prévus par la loi

     

Le combat de tous pour le droit des femmes en matière de santé et de contraception est un combat majeur pour la défense des droits fondamentaux.

Les reculs auxquels nous assistons depuis quelques années en la matière appellent les pouvoirs publics à réagir et à agir.



C’est pourquoi la MGEN, la LMDE ainsi que tous les signataires de cet appel, demandent aux pouvoirs publics d’assumer leurs responsabilités afin que s’exercent pleinement ces droits fondamentaux dont le non-respect s’avère gravement attentatoire aussi bien à la santé qu’à la liberté des femmes.

Signer l'Appel :

http://www.mgenrm.net/sante-droits-des-femmes/home_appel.php



Suite :

http://laicite.over-blog.com/article-marie-dedieu-86886633.html