10/03/2009
Le mensonge monothéiste
L'origine du calendrier
Comment l'église travesti les faits et nie ce qui était initialement une découverte que les les Romains, sous Jules CESAR(1), empruntèrent aux égyptiens (2)
L'actuel calendrier, une manipulation; la conséquence des tentatives de l'église d'effacer tout ce qui pourrait gêner ses tentatives d'endoctrinement de masse: Il porte le nom de son instigateur Grégoire XIII, pape de 1572 à 1585, mais il a été conçu par un collège de « scientifiques » (3) sous la direction de Christophorus Clavius. Son point de départ, l'an 1, est une estimation de la naissance de Jésus
Tous les calendriers historiques et non pas religieux sont basés sur des unités naturelles de durée définies par des phénomènes astronomiques. A notre époque, une année vaut 365,24220 jours
Le calendrier historique est un système de repérage des dates en fonction du temps. Ce système existe depuis des millénaires, il a été initialement conçus pour être en accord avec les phénomènes astronomiques et le cycle des saisons
Le calendrier actuel n'est rien de plus qu'un arrangement contre la nature qu'il s'agisse de celui des saisons ou contre la nature de l'espèce humaine
L'actuel calendrier est un arrangement religieux contre la nature...tant des saisons...
voire même contre la nature de l'espèce humaine
Tenter de faire de faire oublier le temps, l'hiver - l'été, que l'homme n'est pas au-dessus de la nature au profit d'une fable mortifère fondée sur la négation de toutes les forces vitales
Crab
(1) Le terme calendrier vient du latin calendae Les ''calendes'' désignaient pour les Romains le premier jour du mois qui était aussi le début de la nouvelle lune. Les jours étaient comptés à l’envers à partir des « Calendes ».
(2) Pour les égyptiens le 18 Juillet ''jour du lever héliaque de l'étoile Sotuis'' (Sirius) était le premier jour du calendrier de 365 jours un quart; dans la voute céleste au-dessus de l'Égypte, Sothis disparaissait pour apparaître à nouveau soixante dix jours après
(3) J'ai placé scientifique entre guillemets car c'était avant tout des théologiens et non pas de véritables chercheurs; leur souci n'était pas scientifique mais consistait à fonder un calendrier à partir d'une fable
28.01.2009
Le vrai du faux
La résurrection a bien eu lieu sans tambour ni trompette
L’inventeur du siphon a fait bien plus pour l’Humanité que tous les affabulateurs réunis de chacun des monothéismes
L’inventeur - lui est le vrai sauveur
28 01 2009 Crab
27.01.2009
Les idéologies compationnelles ou dites de l’espérance
Pour les uns, échapper à la mort, revient à se jeter à genoux, crier au miracle, remercier leur dieu de les avoir épargné.
Pour d’autres, vraiment sont-ils content de partir plus tôt, à cause d’une bombe d’impact plus précis?
Mais bon, ces derniers qui sont les premiers à partir ne courront plus le risque de s’écorcher les genoux
Si les croyants dans une religion monothéistes n’existaient pas il faudrait les inventer
Au rêve américain, je choisis le rêve Olympien (1), car ce n’est pas l’ouate que je préfère, mais bien l’Art.
En dehors de l’Art, il n’y a que des spiritualités de convenances; les monothéismes et leurs lots de compationnel, autant dire le déni d’autant de vitalité qu’il y a de nature d’être humain pensant
Pourquoi cette volonté expression d’animalité peureuse de vouloir créer une identité nationale artificielle, contre la notion même de culture, en tentant de cloner les esprits d’une population?
Crab
(1) Sans les tragédiens grecques; nous serions tous devenus faibles et peureux; donc apte à disjoncter.
Louis quatorze, en créant les jardins de Versailles à lui-même sonné le glas du despotisme divinisé durant la parenthèse chrétienne
Place du déni
Les papes et les intégristes bien des années après.
Benoît XVI était la conscience de J P 2.
Je propose que l’on rebaptise la place J P 2 à Paris - Place du déni -
La tolérance du premier des théologiens est égale à la peste psychique que ne peut que générer dans les esprits toute religion (1) mortifère
Crab
(1) Une idéologie de soumission, comme toutes les idéologies fondées sur des contrevérités
11.07.2008
Le "déni de dieu" pour le plaisir...
Un lecteur m'écrit
« Vous pouvez le dansez sur tous les tons, votre conviction est le déni de Dieu. Celui qui ne se pose pas la question de la spiritualité n'est pas athée, puisqu'il ne s'interroge pas». Fin de ses affirmations plus erronées l’une comme l’autre
Ma conviction et je constate une fois de plus que le sens des mots vous échappe ; ma conviction n’est pas, comme vous le dites ''le déni de dieu'', car cela signifierait [selon votre invention] ''que dieu existe''
Puisqu’il s’avère nécessaire de vous faire un croquis, exemple : Ce que l’on appelle le déni de grossesse - c’est à dire nier la réalité d’une grossesse bien réelle
Ça y est vous pigez? [RIRE] (J’en doute)
Donc je replace ici la réponse que je vous avais précédemment adressée ; «Un incroyant ne considère pas, comme vous le prétendez, ''comme une certitude l’absence de dieu'', car cela signifierait qu’il aurait ou voudrait entreprendre de démontrer l’inexistant [RIRE]
La spiritualité, je cite mon lecteur«Celui qui ne se pose pas la question de la spiritualité n'est pas athée, puisqu'il ne s'interroge pas » Fin d’une remarque incohérente et qui démontre encore une fois que ce concept ''spiritualité'' échappe à votre entendement
Là je remets un copié collé que j’ai eu l’opportunité de produire plusieurs fois sur les forums religion notamment de C dans l'air France 5
« La spiritualité, c’est la vie de l’esprit, la vie de la conscience humaine qui s’affranchit de l’immédiat .../..
La religion est une forme de spiritualité, mais il y en a d’autres
Un artiste qui crée des œuvres qui dépassent les limites du vécu immédiat, de l’utilité immédiate, fait œuvre spirituelle
Un savant qui élucide les lois du réel ou un philosophe qui réfléchit sur les principes de la lucidité et de la sagesse font aussi œuvre spirituelle »
Henri Pena-Ruiz La spiritualité, la religion non seulement n’en à pas le monopole...mais sa moraline en efface tout principe Mon lecteur ajoute
«Vous semblez croire que la raison s'oppose à la subjectivité. C'est une grossière erreur. La subjectivité trouve également sa justification dans les processus cognitifs. Elle agit comme une loupe qui grossit les traits de l'objet étudié. Le passage à la subjectivité est indispensable avant de passer à la raison. La raison est pure logique. Elle ne peut traiter que de l'information acquise, mais c'est la subjectivité qui fournit l'information. Voilà pourquoi, il y a tant de croyants et cela depuis si longtemps, et pour bien longtemps encore. C'est pour la même raison, qu'il y a des artistes et des poètes. Vous n'écoutez pas de la musique ? Cela ne déclenche rien en vous ?»
Fin d’un propos, qui faute d’argument, (tout à fait dans la pratique de bon nombre de monothéistes), m’invente des propos que je ne tiens pas ou n’ai pas tenu
M.... enchaine ; «Voyez-vous,Crab, vous croyez que l'absurde est de penser Dieu"»Fin de sa remarque, ou faute d’argument, il m’invente une croyance [RIRE]
Un incroyant ne considère pas absurde de penser ce que meurep nomme dieu ; un incroyant constate que les croyants ne font pas la preuve de ce qu’ils ont proclamé, se contentant d’aligner affirmations sur affirmations sans jamais rien démontrer
D’autre part un incroyant et c’est son droit, (en tous cas il en prend le droit), pour son plus grand plaisir consacre un peu de son temps à déconstruire les religions qui ont bâtis un dieu sur l’anthropomorphisme, car il estime que ces religions là (et leurs moraline) comptent parmi les pires tentatives de désinformations...
Crab
03.11.2007
Neutralité ?
M... m’écrit
« si on veut vraiment éviter l'endoctrinement dans un sens ou dans l'autre il faut rester neutre en lui disant qu'il y a deux théorie ,chacune a ses arguments .qd tu grandiras tu jugera toi meme les argument de chacune des theories et tu prendras ta decisions. je ne veux t'inflencer des maintenant »
Fin de sa remarque
La neutralité ne consiste pas à désinformer un enfant
Lire que le monde a été créé en sept jours c’est de l’ignorance
Lire qu’un dieu aurait créé l’homme est une spéculation effacées par toutes les connaissances acquises sur les origines de l’apparition de la vie sur notre planète
Lire qu’il y aurait une parole (dieu anthropomorphique) est une spéculation, une croyance, une fable et non pas une théorie, sinon une ''théorie'' dont le point de départ n’est pas critiqué, mais posé en principe
L’objet d’une théorie c’est de démontrer et non pas d’affirmer
La critique théorique de la ou de toute théorie est également nécessaire pour permettre à la pensée d’avancer.
Donc la neutralité ne consiste pas à désinformer un enfant
Crab
27.10.2007
Axiomanie
Faire vivre l’inexistant ; Éloge du désaxé
Que nous dit l’endoctriné; "dans le cas de l'existence de ''dieu'', l'axiome est nécessairement invérifiable...par conséquent, l'argumentation est inutile, ajoute t-il....
Notre monothéiste procède par l’axiome; ''dieu'' nous dit-il, "qui est considéré comme évident en soi"
Donc une utilisation dans le but de désigner le truc comme une vérité première
Seulement voilà, pour un incroyant, cette axiomatique doit bien entendu être non-contradictoire - sinon elle perd toute crédibilité -
Le recours à un axiome dans le but de représenter le point de départ (le truc nommé dieu) dans un système de logique est choisi arbitrairement, puisque l’endoctriné est le seul à proclamer que le truc "est considéré comme évident en soi"
Ce procédé basic, à propos du truc, veut ignorer la nécessaire démonstration - la déduction permet d’obtenir un résultat
Notre endoctriné veut occulter que le résultat de la démonstration n’est plus un axiome
Voilà pourquoi; notre endoctriné, quand il lui est demandé de démontrer se défile, ou placé au pied du mur se retranche derrière une béquille, la foi, ce qui revient au même
Remarque d’un incroyant; le choix d’un axiome non critiqué parce que le monothéiste le prétend non critiquable, lui permet de construire sa fable (la religion)
Religion, qui pour le monothéiste le plus attardé elle n’est pas critiquable, ainsi se referme la boucle.
Crab
LES MENSONGES PRINCIPAUX
Le mensonge des principales religions monothéistes judéo-chrétienne-musulmane
Cette courte étude à pour objet de démontrer le pillage, des mythes et légendes antiques, des textes des poètes philosophes Grecques, des philosophes grecques et romains pour construire un discours que les monothéistes tentent de faire passer pour une révélation
- mieux encore pour la parole ''de leur dieu''
Non seulement l’on pourra, au fil des textes mesurer l’étendue du pillage des textes antiques, textes dénaturés et appauvris par les rédacteurs monothéistes pour bâtir les idéologies ou morales (religions) dont ils essaient de faire accroire à tout un chacun qu’elles seraient la parole de leur dieu
Les principaux pillages ayant donné lieu à des textes arrangés essentiellement pour répandre dans les sociétés de l’époque une morale culpabilisant l’individu et de le faire vivre dans la crainte
Pandore
Zeus concevra une première femme pour punir les hommes ainsi que Prométhée. Héphaïstos façonnera Pandore (tous les dons) à partir de l'argile, Athéna lui donnera la vie et l'habillera, Aphrodite lui donnera la beauté pour attirer les hommes et Hermès lui apprendra le mensonge
Zeus offrira la main de cette créature à Épiméthée (celui qui réfléchit après coup), le frère déraisonnable de Prométhée. Il lui remettra une jarre, ou une boite scellée, contenant les maux qui affligeront l'humanité ainsi que l'Espérance, placée au fond
..../...
Pandore ne pourra résister à la curiosité d'ouvrir le récipient et libérera ainsi les fléaux, les maladies, les vices et tous les malheurs qui frapperont les êtres humains. Pandore refermera le couvercle trop tardivement. L'espérance restera enfermée dans la cassette. Elle se fera entendre pour être à son tour libérée, afin d'alléger les peines. Les hommes devront, dès lors, s'épuiser à la tâche afin d'assurer leur existence
Genèse ( III )
3 - Mais quant au fruit de l'arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit: Vous n'en mangerez point et vous n'y toucherez point, de peur que vous ne mouriez.
4 - Alors le serpent dit à la femme: Vous ne mourrez point;
5 - mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal.
6 - La femme vit que l'arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu'il était précieux pour ouvrir l'intelligence; elle prit de son fruit, et en mangea; elle en donna aussi à ''son mari'', qui était auprès d'elle, et il en mangea.
La suite chacun la connait ''le dieu des monothéistes'', à la hussard punit le serpent, menace Ève et Adam ''de tous les maux de la terre''
Dans les textes prétendus sacrés, Ève est issue d’Adam; Prédominance de l’homme sur la femme, une des conséquences du bricolage idéologique lié à la pratique courante et systématisée des monothéistes, non seulement de piller les textes des antiques mais en plus de les appauvrir pour valoriser l’homme au détriment de la femme.
ARISTOPHANE
Jadis, la nature humaine était bien différente de ce qu'elle est aujourd'hui. D'abord il y avait trois sortes d'hommes: les deux sexes qui subsistent encore, et un troisième composé de ces deux-là; il a été détruit, la seule chose qui en reste, c'est le nom. Cet animal formait une espèce particulière et s'appelait androgyne, parce qu'il réunissait le sexe masculin et le sexe féminin; mais il n'existe plus, et son nom est en opprobre. En second lieu, tous les hommes présentaient la forme ronde. Ils avaient le dos et les côtes rangés en cercle, quatre bras, quatre jambes, deux visages attachés à un cou orbiculaire et parfaitement semblables, une seule tête qui réunissait ces deux visages opposés l'un à l'autre, quatre oreilles, deux organes de la génération, et le reste dans la même proportion. [...] Leur corps était robuste et vigoureux, et leur courage élevé, ce qui leur inspira l'audace de monter jusqu'au ciel et de combattre contre les dieux, ainsi qu'Homère l'écrit d'Éphialte et d'Otos
Zeus examina avec les dieux le parti qu'il fallait prendre. L'affaire n'était pas sans difficulté: les dieux ne voulaient pas anéantir les hommes, comme autrefois les géants, en les foudroyant, car alors le culte et les sacrifices que les hommes leur offraient auraient disparu; mais, d'un autre côté, ils ne pouvaient souffrir une telle insolence. Enfin, après de longues réflexions, Zeus s'exprima en ces termes : "Je crois avoir trouvé, dit-il, un moyen de conserver les hommes et de les rendre plus retenus, c'est de diminuer leurs forces. Je les séparerai en deux; par là, ils deviendront faibles; et nous aurons encore un autre avantage, ce sera d'augmenter le nombre de ceux qui nous servent [...]."
Après cette déclaration, le dieu fit la séparation qu'il venait de résoudre; et il la fit de la manière que l'on coupe les œufs lorsqu'on veut les saler, et qu'avec un cheveu on les divise en deux parties égales. Il commanda ensuite à Apollon de guérir les plaies, et de placer le visage et la moitié du cou du côté où la séparation avait été faite, afin que la vue de ce châtiment les rendît plus modestes. [...]
Cette division étant faite, chaque moitié cherchait à rencontrer celle dont elle avait été séparée; et, lorsqu'elles se trouvaient toutes les deux, elles s'embrassaient et se joignaient avec une telle ardeur, dans le désir de rentrer dans leur ancienne unité, qu'elles périssaient dans cet embrassement de faim et d'inaction, ne voulant rien faire l'une sans l'autre [...]. Et ainsi la race allait s'éteignant. Zeus, ému de pitié, imagine un autre expédient : il met par-devant les organes de la génération, car auparavant ils étaient par derrière; on concevait et l'on répandait la semence, non l'un dans l'autre, mais à terre, comme les cigales. Zeus mit donc les organes par-devant et, de cette manière, la conception se fit par la conjonction du mâle et de la femelle. Alors, si l'union se trouvait avoir lieu entre l'homme et la femme, des enfants en étaient le fruit, et si le mâle venait à s'unir au mâle, la satiété les séparait bientôt, et les renvoyait à leurs travaux et aux autres soins de la vie. De là vient l'amour que nous avons naturellement les uns pour les autres : il nous ramène à notre nature primitive, il fait tout pour réunir les deux moitiés et pour nous rétablir dans notre ancienne perfection. Le Banquet, 189d-191d,
traduction Dacier et Grou révisée par É. Saisset (1873)
Voila la différence, bien que dans le texte Zeus, ''n’est pas vraiment ce qu’on peut appeler un ange'', néanmoins il est soucieux de faire en sorte que la femme et l’homme soient égaux; «De là vient l'amour que nous avons naturellement les uns pour les autres: il nous ramène à notre nature primitive, il fait tout pour réunir les deux moitiés et pour nous rétablir dans notre ancienne perfection»
C’est un appel à l’amour
Et non pas à vivre dans la crainte ou la peur; L’idéologie des textes monothéistes.
PSYCHE (P syché )
« La plus jeune fille d'un roi, Psyché, sera si belle que les habitants du pays délaisseront Vénus (Aphrodite) pour se tourner vers elle. La déesse décidera de punir la jeune fille. Elle ordonnera à son fils, Cupidon, de lui inspirer une passion pour l'être le plus monstrueux qu'il trouverait.
Le dieu, devenu amoureux, ne pourra obéir aux ordres de sa mère. Il demandera à Apollon d'envoyer un oracle au père de Psyché afin qu'il l'abandonne sur un rocher isolé, dans sa robe de mariée. Le roi obéira malgré lui. Psyché sera enlevée par la brise de Zéphyr et amenée dans une vallée inconnue qui renfermait un palais dont les portes étaient ornées de pierres précieuses et le sol pavé d'or. Elle sera rejointe dans son sommeil par Cupidon, qui avait pris une apparence humaine. Il lui déclarera qu'elle serait la plus heureuse des femmes si elle s'abstenait de savoir qui il était ou de voir son visage. L'enfant né de leur union ne serait pas immortel si elle transgressait cet engagement. Psyché demandera un jour, à son mari invisible, la permission de rendre visite à ses sœurs. Il acceptera de les faire venir et lui demandera de ne pas répondre aux questions le concernant. Les sœurs, transportées par Zéphyr, deviendront terriblement jalouses.
Elles apprendront que Psyché n'avait jamais vu son mari et lui feront croire qu'il pouvait se transformer en un serpent capable de dévorer l'enfant qu'elle portait ainsi qu'elle-même. Psyché succombera à la curiosité afin d'apaiser ses craintes. Elle se munira d'une lanterne et d'un poignard et attendra que Cupidon soit endormi pour éclairer son visage. Elle laissera tomber une goutte d'huile sur le corps parfait de son mari. Cupidon se lèvera et s'envolera. Ses sœurs, qui voulaient l'épouser, sauteront du haut du rocher en robe de mariée. Elles s'écraseront au pied de la montagne»
La Vierge
C’est en procédant à un arrangement des plus grossiers, en trafiquant ce poème, que les chrétiens ''inventent'' la fécondation de la ''vierge'', par le susnommé dans le texte, saint esprit.
L’histoire de Psyché témoigne de la richesse et de la force poétique de son auteur, et m’entraine dans des rêves délicieux, autant le texte bassement matérialisme du la prétendue grossesse de la vierge apparait comme vulgaire, et surtout, surtout, surtout méprisant à l’encontre de la femme - niant son pouvoir de donner la vie
Sans imagination, sans valeur poétique, les auteurs chrétiens, dans un infâme bricolage, n’auront jamais réussi qu’à appauvrir, au niveau de leurs écritures, la pensée des poètes
Du moins ont-ils tout tenté pour anéantir la pensée, la poétique d’humains libres et autonomes, fort heureusement sans y parvenir
Aujourd’hui, pour retrouver et comprendre les racines réelles de notre culture il est indispensable de décrypter la méthode de construction de ce gros bricolage idéologique qu’est une religion monothéiste, et de montrer ainsi qu’elle n’est en rien une parole révélée, mais bien l’expression de la misogynie de ces auteurs
.
Ces religions monothéistes perdent toujours plus d’adeptes année après année, leurs influencent se réduisent comme une peau de chagrin, submergée par l’enthousiasme et la force de l’imagination des poètes qui depuis l’antiquité contribuent à l’édifice humaniste, humanisme qui fonde notre culture d’hommes et de femmes modernes
La résurrection
L’affaire de la résurrection jugée au Tribunal de l’Histoire
Ou la légende de la résurrection - Phasme d’un mythe antique
La salamandre dans La nature fait chaque an peau neuve - C’était un mythe, symbole dans l’Antiquité de l’éternelle jeunesse
Quelques siècles plus tard ''les saints enquêteurs kto'' rédigent leurs passions et falsifient le fait en écrivant sur un mode morbide la résurrection (1) de leur messie
Le mythe antique est universel ; C’est un symbole fort, respectueux du corps, et nourrit nos plus beaux rêves d’hédonistes car il est éternel
Heureusement que le ridicule ne tue pas
Lire ci-dessous
Conçu du Saint-Esprit
Parvis 21 : D'un point de vue catholique, ce n'est pas orthodoxe de dire que Jésus a été conçu "normalement", puisqu'il "a été conçu du "Saint Esprit". Mais peut-être vos guillemets ajoutaient-ils cette nuance ? L'orthodoxie catholique dirait-elle que Jésus n'était pas un homme "normal" ? J'ai lu le livre de Jean-Marc MOSCHETTA : "Jésus, fils de Joseph", où l'auteur reprend le mémoire qu'il a soutenu à la Faculté de Théologie de Toulouse, et où il soutient, avec toutes les précautions oratoires nécessaires, que Jésus est né de l'union physique d'un homme et d'une femme, ce qui n'empêche pas qu'on puisse dire, en même temps, qu'il a été "conçu du Saint-Esprit". Ayant reçu le label de la Faculté de Théologie de Toulouse, je ne pense pas que Jean-Marc MOSCHETTA, enfreigne l'orthodoxie catholique, et je pense que plus d'un théologien catholique serait prêt à soutenir cette même opinion
.../...dire, en même temps, qu'il a été "conçu du Saint-Esprit"
Art d'être femme
MARIE
C’est l’Art d'être femme - la note de plaisir dans cette histoire incongrue
Le comble du sexisme - Ne pas comprendre qu’une femme déclare qu’elle s’est faite engrosser par le Saint esprit pour échapper à la lapidation
Moralité : Heureusement pour elle, la finaude, que son entourage était majoritairement croyant [crédule]
C’est bien, peut-on dire ''une idée de mec''
Pas de corps, donc pas d’empreintes génétiques de l’intervenant sexué qui avait bon gout et ne manquait pas d’esprit
Car Marie était jolie, jolie, jolie et encore bien plus
Marie, Marie l’histoire de Marie, celle d’une femme fière Marie, hédoniste elle est Marie
Une histoire plutôt bienvenue dans un monde phallocrate qui constituait son environnement - Un moment de vie un peu coquin mais combien libérateur
Marie était une femme intelligente - Pour échapper à la lapidation elle a inventé, en profitant de la crédulité ou de la niaiserie de son entourage, qu’elle devait sa grossesse au St esprit
Nous vivons une époque formidable
Aujourd’hui Marie donnerait une tout autre version de SON acte amoureux
Marie dirait
"Je fais ce que je veux et avec qui je veux, rien ne vous empêche d’aller prier pour mon salut, pendant que vous faites cela vous ne me cassez pas les.....".
Crab
Prologue
J’ai souvent eu l’occasion d’écrire que les monothéistes non seulement n’ont jamais rien inventé, mais pratiquaient couramment, tout au long de leur fastidieuse rédaction des textes de leurs religions, ce que de nos jours l'on appellerait un copié collé
Comprenant les arrangements nécessaires pour assoir la suprématie du fils sur la fille, la suprématie de l’homme sur la femme
Que peut bien nous rappeler le mythe suivant?
IPHIGENIE ( de ) ; et d'un mythe humaniste...
Citation
«Fille d’Agamemnon et de Clytemnestre, suivant la tradition la plus commune, Iphigénie était destinée par son père, sur le conseil du devin Calchas, a être sacrifiée à la déesse Artémis, qui retenait la flotte grecque à Aulis et l’empêchait de gagner Troie. Appelée par son père sous le fallacieux prétexte qu’elle allait devenir l’épouse d’Achille, elle devait périr sous le couteau du sacrificateur, quand Artémis, prise de pitié, lui substitua une biche, l’enleva dans une nuée, et la transporta à Tauride» Fin de citation
ABRAHAM ( un ) ; et d'un copié collé déshumanisant...
Dans le monothéisme, le sacrifice est commandé à un homme et non plus une femme et c'est le garçon ( hors notion de pitié) considéré comme plus important que la fille qui doit-être sacrifier
C'est à ce moment, ici, que ce fait une différence fondamentale entre la pensée humaniste des Grecs et l’idéologie phallocrate des textes du monothéisme
La fonction du sacrifice d'Abraham, n'a pas d'autre fin que d'asseoir la suprématie du garçon sur la fille, de l'homme sur la femme
Là, c’est net et clair le père d’Iphigénie croyant et fasciné par un devin suit l’oracle dans le but d’asseoir sa suprématie dans la bataille
Mais là nous sommes bien loin, des textes des monothéistes; ici il ne s'agit pas seulement ''d’un commandement divin'' et son corollaire la soumission à un dieu, fut-il, plus tard, prétendu être ''le seul'', mais bien d'un moment ou la pensée critique l'emporte sur l'idéologie, la religion ou encore le dogme
Cette croyance en les oracles et non pas un savoir est parfaitement identifiées comme telle par Artémis qui elle ne sombre pas dans la confusion est révélateur de la pensée humaniste des poètes de l'antiquité grecque..
Crab
Voilà ici ce qui fait une différence fondamentale entre la pensée humaniste et l’idéologie phallocrate des textes de chaque religion monothéiste
Là, c’est net et clair le père d’Iphigénie complice d’un devin dans le but d’assoir sa suprématie, ce n’est pas un ‘’présumé ordre divin et son corollaire la soumission à un dieu, fut-il, plus tard, prétendu être le seul’’
Mais cette idéologie de pouvoir est défaite par Artémis comme un révélateur de la pensée humaniste des anciens grecs
Crab
Le Voile islamique
Le voile
Outil de discrimination sexuelle à l’encontre de la femme est l’exemple abouti de cette volonté affligeante de nier l’identité féminine
Pour l’intégriste, une femme libre et autonome, c’est inacceptable
De bâtir un projet de société visant à séparer les hommes et les femmes dans tous les compartiments publiques de notre société
Dès l’origine le port du voile fait l’objet d’une réglementation dont le but est de priver les femmes de toute liberté et autonomie, bien des siècles avant la rédaction du Coran
L’insigne dont la signification c’est de cantonner la femme dans le rôle d’épouse dépendante et soumise à un homme sans qu’elle ait choisi cette condition
Le port du voile chez les femmes du Moyen-Orient découle d’une très ancienne coutume
On en trouve la trace dans les lois instaurées par Teglath-Phalazar Ier (transcription du nom assyrien Toukoulti-apal-Esharra qui signifiait littéralement « l’enfant de la déesse Esharra est ma force »), rois d’Assyrie qui régna au XIIe siècle avant notre ère
Elles stipulaient déjà que
«Les femmes mariées qui sortent dans la rues n’auront pas la tête découverte. La concubine qui va dans la rue avec sa maîtresse (l’épouse) sera également voilée
La hiérodule (prostituée sacrée) qu’un mari a prise sera voilée dans les rues. Et celle qu’un mari n’a pas prise ira la tête découverte. La prostituée (non sacrée) ne sera pas voilée, sa tête sera découverte»
Il n’y a rien de ''révélé'' dans tout cela, mais il s’agit bien de l’idéologie misogyne et sexistes de quelques Bédouins vivant au septième siècle
Procès en hérésie d’une archéologue turque
Cela s'est passé en 2006 à Istanbul le procès de Muazzez Ilmiye Cig, quatre-vingt-douze ans, archéologue à la retraite. Dans son dernier livre, un essai politique intitulé Mes réactions de citoyenne, cette spécialiste de la civilisation sumérienne en Mésopotamie avait écrit que le port du voile remontait à plus de 5000 ans, soit bien avant la naissance de l’islam. Elle avait en outre précisé qu’il était alors porté par des prêtresses initiant de jeunes hommes à la sexualité
Un avocat, s’estimant "insulté", a porté plainte et l’auteure devait être jugée pour "incitation à la haine religieuse"
Elle risquait un an et demi de prison
Le procureur a estimé que "les éléments du délit n’étaient pas constitués", que les opinions défendues par l’archéologue ne mettaient pas en danger la sécurité publique, et les juges ont dès lors prononcé son acquittement, ainsi que celui de son éditeur, dès l’ouverture du procès
Le sexisme façon islamique
Sourate IV, verset 34 : "Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu'Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu'elles font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand !"
Cette sourate montre que le Coran n’est rien de plus que l’expression de l’idéologie phallocrate de quelques Bédouins au septième siècle
Pour parachever cette courte étude je propose quelques éléments de réflexion qui me paraissent symbolique du vivre ensemble dans notre société qui ne doit en aucun cas rompre avec sa culture - Celle d’une Démocratie laïque
(Toute croyance est privée; Une ''affaire'' de conscience, pour les personnes pratiquantes ou non
Le cléricalisme, c’est la confusion entre croyance religieuse et lutte politique
La confusion entre croyances et savoir
C’est à ce titre que la critique de l’idéologie religieuse est un droit fondamental de ce que l’on nomme: La liberté d’expression - Crab. 08 02 07)
(La spiritualité est le principe de la pensée humaniste ou des valeurs universelles
Le bricolage d’idéologies est le principe de la substance des religions monothéistes
Crab. 03 02 07)
(Sans l’incroyance et l’hédonisme, ce serait l’extinction de l’Humanité - Crab. 07 03 07)
(Une civilisation débute par le mythe et évolue par le doute, grâce au doute
Crab 17 04 2007)
(Dans toute l’histoire de l’humanité il n’y a jamais eu qu’un seul miracle - La Musique - Crab 2007)
19 06 2007-06-19
Crab
17.02.2009
L'Art et la Nature
L'Art et la Nature
En finir avec les Aristotélicien
Toutes les croyances seraient respectables? Non!!
Pourquoi?
Seules les personnes sont respectables et toutes les idéologies ou théories sont parfaitement critiquable (1) et (2)
Souvent, j'ai dû écrire que la religion plaçait l'Homme au-dessus de la nature et qu'il n'en était rien et d'ajouter; l'Homme est la nature et en même temps une petite partie de la nature
Toute personne de bon sens sait que les croyances monothéistes sont des mensonges
L'analyse par la pensée critique des textes monothéistes révèlent autant de produits perclus d'incohérences de toutes nature issue du délire de quelques poignées d'individus peu scrupuleux de respecter leurs lecteurs ou auditeurs(3)
Aristote soutenait que l'Art était une imitation de la nature tout en soulignant l'opposition avec la nature.
Ce qui revenait à encrer dans l'esprit de ses contemporains (4) que l'Homme est différent de la nature (Ce qui ferait sourire un artiste comme PICASSO ou MAGRITTE ou encore bien des surréalistes).
Hors prétendre que l'Homme est la nature et en même temps une petite partie de la nature c'est faire observer qu'il n'y a aucune opposition entre l'Art et la nature et c'est encore une des nombreuse façons de démontrer que l'édifice religion est une maison de paille, l'habitation des pourceaux d' EPICURE [Rire]
L' Homme artiste n'est donc pas un imitateur mais participe des forces d' Art de la nature
C'en est fait de la thèse Aristotélicienne; redisons le, l' Homme est la nature...
J'aime beaucoup ce vers de SHAKESPEARE: «Nous sommes de la même étoffe dont son fait les rêves»
Mardi 17 Février 2009 Crab
(1) Les religions sont des idéologies, d'entre toutes les idéologies.
(2) Quand les personnes ne sont pas respectables,dans notre société, c'est le Droit qui le dit.
(3) Prophètes, théologiens ou scribouillards de toutes obédiences.
(4) De nos jours Aristote demeure le chouchou de nos gentils monothéistes.
28.01.2009
Le vrai du faux
La résurrection a bien eu lieu sans tambour ni trompette
L’inventeur du siphon a fait bien plus pour l’Humanité que tous les affabulateurs réunis de chacun des monothéismes.
L’inventeur, lui le vrai sauveur
28 01 2009 Crab
27.10.2007
Axiomanie
Faire vivre l’inexistant - Éloge du désaxé
Que nous dit un monothéiste militant: "Dans le cas de l'existence du truc (dieu), l'axiome est nécessairement invérifiable"
Par conséquent, l'argumentation est inutile, ajoute t-il....
''Notre'' monothéiste procède par l’axiome...dieu nous dit-il, "qui est considéré comme évident en soi".
Donc une utilisation dans le but de désigner le truc comme une vérité première.
Seulement voilà, pour un incroyant, cette axiomatique doit bien entendu être non-contradictoire ; sinon elle perd toute crédibilité
Le recours à un axiome dans le but de représenter le point de départ [dieu] dans un système de logique est choisi arbitrairement, puisque l’endoctriné est le seul à proclamer que dieu "est considéré comme évident en soi"
Ce procédé basic, à propos du truc, veut ignorer la nécessaire démonstration -a déduction permet d’obtenir un résultat.
Notre endoctriné veut occulter que le résultat de la démonstration n’est plus un axiome.
Voilà pourquoi; notre monothéiste militant, quand il lui est demandé de démontrer se défausse, ou placé au pied du mur se retranche derrière une béquille, la foi, ce qui revient au même.
Remarque d’un incroyant - le choix d’un axiome non critiqué parce que le monothéiste le prétend non critiquable, lui permet de construire sa fable (la religion).
Religion, qui pour le monothéiste le plus attardé elle n’est pas critiquable, ainsi se referme la boucle.
Crab
24.10.2007
Inexistence de dieu – suite -
Réponses à un de mes lecteurs
Son pseudo: fagnard
fagnard vous me citer «Ce serait absurde de vouloir prouver l'inexistence de quelque chose qui n’existe pas» Fin de ma phrase
fagnard vous escamotez une fois de plus une partie de mes propos figurant dans mes textes précédents pour rabâcher, je vous cite: «Oui, c'est absurde. Mais poussons tout de même la logique jusqu'au bout puisque tu affirmes qu'il n'existe pas, c'est que tu peux en faire la preuve. Non? Pour ma part, je me contente de dire que je n'en sais rien s'il existe ou non» Fin de votre répétition
Encre une fois puisque vous ne faites aucun effort pour mémoriser mes propos; l’inexistence n’a pas besoin d’être démontrée, puisque le machin que le croyant nomme dieu est le fruit de son imagination
[Seul ce qui est existant peut-être démontré]
Vous poursuivez, je vous cite; «Je me méfie des positions péremptoires car elles supposent une connaissance exhaustive et donc l'existence d'éléments matériels permettant d'appuyer les affirmations. Or tu n'en possèdes aucun» Fin de votre remarque.
Je n’ai pas besoin de produire des éléments matériels; Je constate que le croyant ne peut rien prouver, donc ''dieu'' est le fruit de son imagination. Je ne vois pas de raison d’aller chercher midi à quatorze heures
Vous insistez, et dites; «Il y a une différence entre celui qui affirme que les fantômes existent et celui qui dit croire que les fantômes existent. Pour ma part je ne crois pas à l'existence des fantômes, mais je ne peux pas le prouver non plus (sinon je dirais "les fantômes n'existent pas" ). Au premier je demanderai des preuves scientifiques de ce qu'il avance, et au second je confronterai mes arguments avec les siens tout en sachant l'un et l'autre que nous formons nos avis sur la base de perceptions intuitives et qui n'ont rien de scientifiques. Je suis conscient également qu'il n'est pas impossible qu'un jour on puisse prouver l'existence des fantômes» Fin de votre système de ''comparaison''
Comparaison placée entre guillemets car là, des exemples que vous avez choisi, je ne lis rien de plus qu’un étalages de croyances qui toutes se valent.
Vous me citez à nouveau; «C’est le sommet du ridicule ; prétendre que le croyant ne proclame pas, dans ce cas que sont, à la vue de tous, les édifices religieux ?» Fin de ma phrase
Et vous ajoutez, je vous cite; «Rien à voir. Mais vraiment là... c'est n'importe nawak!» Fin de votre affirmation non suivie du développement qui s’impose et que produit toute personne éprise de correction...
A nouveau, vous me citer; «La foi, je vous ai dors et déjà fait savoir que c’est la béquille de ceux qui ne savent pas dire « je ne sais pas » Fin de ma phrase
Et toujours en fanfaron vos prétendez me donner une leçon, une fois de plus, je vous cite; «Crois-tu que c'est très sérieux d'utiliser des aphorismes comme argument? Tu ne peux pas évacuer le concept de la foi d'un tour de passe-passe à l'aide d'une phrase comique que tu as dû lire dans un livre et qui t'as suffisamment amusé pour le répéter régulièrement ici». Fin de votre propos de mauvaise foi
La foi est présentée comme un «argument» qui dispense de prouver ou de faire la preuve.
Donc, une fois encore, je place argument entre guillemet, car la foi brandie n’a pas d’autres fonctions que de masquer, j’y reviens l’incapacité à prouver l’existence de ce que vous désignez par dieu...
Et vous ajoutez; «Par ailleurs ta phrase de café-théâtre est partiellement fausse puisque la foi autorise le doute» Fin
Donc raison de plus pour le croyant de ne plus utiliser cette terminologie; et cela confirme, d’autant mieux que souvent j’ai eu l’opportunité d’écrire que la foi ne vaut pas argument
Enfin vous me citez à nouveau; «Un chercheur lui ''obéit'' à des exigences morales, et se fait un devoir d’informer» Fin de ma remarque
Et vous avez le culot d’escamoter que mon propos était ma réponse en rapport avec un de vos ''arguments'' de l’un de vos précédents messages
Donc vous me dites; «Cette manie de l'analogie erronée entre croyant et chercheur! Comme si un scientifique était forcément athée. Et un chercheur musulman ou catholique, il obéit à quoi? Quand prendras-tu en considération que la science et la croyance sont deux choses différentes qui peuvent néanmoins habiter chez une même personne». Fin
Nulle part et dans aucun de mes messages, quand je parle d’un chercheur, je n’ai jamais fait et en aucun cas allusion à ses croyances ou à son athéisme
Je dis ou je répète, qu’un chercheur fait la différence entre ce qui relève d’une hypothèse, ce qui est démontré ou prouvable ou encore ce qu’il peut prouver
Cela ce nomme, l’honnêteté intellectuelle; soit le contraire d’affirmations non suivies d’une démonstration pour faire la preuve
Crab
26.08.2007
La pensée suite
Un de mes lecteurs
Son pseudo: Sulim
Sulim vous m’écrivez «Que des auteurs partagent vos jugements de valeur, cela je n’en doute pas. Mais cela reste des jugements de valeur. Et je pense qu'ils les assument comme tel ce qui n'est pas votre cas»
Me dites-vous
Non seulement c’est l’habitude des défendeurs de la moraline chrétienne de nier ce qu’enseigne la vie, mais c’est aussi dans leur habitude de nier les faits de l’histoire
Car il y a une histoire de la pensée puisqu’elle évolue, et au sens contemporain la pensée peut être remplacée par la culture
Les valeurs universelles [les droits de l’homme] sont les composantes de la pensée, donc la pensée et l’humanisme se confondent et ne font plus qu'un
Il n’y a que des Christicole-Mahométan (1) pour refuser la pensée d’autant plus qu’elle est celle du message démocratique; Droits de la femme, libertés d’expression, de conscience et individuelles
Cette définition est parfaitement représentative des valeurs de liberté qui forme les contenus de la pensée ; « La pensée humaine, la succession et l'enchaînement des idées qui ont formé la civilisation. Le développement, l'histoire de la pensée humaine Littré»
Crab
25.08.2007
Discussion à bâton non rompu
Lu sur un site
L'athéisme est une doctrine qui consiste à nier l'existence de Dieu. Elle ne saurait cependant se contenter de rejeter purement et simplement l'idée de Dieu, car elle lui pose un grave problème; d'où vient l'universalité du phénomène religieux ?
Énoncé simpliste
Pourquoi simpliste? Depuis l’aube des temps connus bon nombre d’être humain, plutôt que de se dire chaque fois qu’il ne comprenait pas quelque chose «je vais réfléchir, observer, analyser pour comprendre»; Non au lieu de cela faute de savoir pour combler le vide dû à l’incompréhension de bon nombre de phénomènes naturels remplace par défaut de savoir ou de comprendre par la (des) croyance.
Progressivement l’accumulation des croyances produira les idéologies (religions) de la construction des dieux puis d’un dieu qui seront les outils de dominations pour assujettir plus par la force que de gré les populations à une classe cléricale associée le plus souvent à des rois.
Un curé ou un mollah
" L'athéisme est une attitude naturelle pour celui qui réfléchit s'il ne voit rien de divin " (1)
Un incroyant ou un Athée
"Non pas du tout, l'athéisme est une attitude naturelle pour celui qui réfléchit, et réfléchit d’autant plus s’il ne lui est pas fait la démonstration pour faire la preuve de l’existence d’une quelconque origine divine" (2)
Un curé ou un mollah
"La foi, me dispense de Faire la preuve"
Un incroyant ou un Athée
«La foi? N’est-ce pas là une béquille, par défaut d’argument l’incapacité, pour vous, à dire; «Je ne sais pas»? "
Un curé ou un mollah
"Fait ch... celui-là!!!
-
Lu sur un site; Cette phrase est exemplaire des tentatives de manipulations à laquelle se livrent les monothéistes pour endoctriner leurs ouailles. Vous la retrouverez rabâchée d’un site Christicole-Mahométan à l’autre
-
Là le sens de la phrase ne relève plus d’un point de vue partisan "Vous n’êtes pas capable de prouver ce que vous affirmer, cela me donne à réfléchir; Et de tenter de comprendre pourquoi vous éprouver le besoin d’inventer''
Crab
17.02.2009
L'Art et la Nature
L'Art et la Nature
En finir avec les Aristotélicien
Toutes les croyances seraient respectables? Non!!
Pourquoi?
Seules les personnes sont respectables et toutes les idéologies ou théories sont parfaitement critiquable (1) et (2)
Souvent, j'ai dû écrire que la religion plaçait l'Homme au-dessus de la nature et qu'il n'en était rien et d'ajouter; l'Homme est la nature et en même temps une petite partie de la nature
Toute personne de bon sens sait que les croyances monothéistes sont des mensonges
L'analyse par la pensée critique des textes monothéistes révèlent autant de produits perclus d'incohérences de toutes nature issue du délire de quelques poignées d'individus peu scrupuleux de respecter leurs lecteurs ou auditeurs (3)
Aristote soutenait que l'Art était une imitation de la nature tout en soulignant l'opposition avec la nature.
Ce qui revenait à encrer dans l'esprit de ses contemporains (4) que l'Homme est différent de la nature (Ce qui ferait sourire un artiste comme PICASSO ou MAGRITTE ou encore bien des surréalistes)
Hors prétendre que l'Homme est la nature et en même temps une petite partie de la nature c'est faire observer qu'il n'y a aucune opposition entre l'Art et la nature et c'est encore une des nombreuse façons de démontrer que l'édifice religion est une maison de paille, l'habitation des pourceaux d' EPICURE [Rire]
L' Homme artiste n'est donc pas un imitateur mais participe des forces d' Art de la nature
C'en est fait de la thèse Aristotélicienne; redisons le, l' Homme est la nature...
J'aime beaucoup ce vers de SHAKESPEARE: «Nous sommes de la même étoffe dont son fait les rêves»
Mardi 17 Février 2009 Crab
(1) Les religions sont des idéologies, d'entre toutes les idéologies
(2) Quand les personnes ne sont pas respectables,dans notre société, c'est le Droit qui le dit
(3) Prophètes, théologiens ou scribouillards de toutes obédiences
(4) De nos jours Aristote demeure le chouchou de nos gentils monothéistes
28.01.2009
La résurrection a bien eu lieu sans tambour ni trompette
L’inventeur du siphon a fait bien plus pour l’Humanité que tous les affabulateurs réunis de chacun des monothéismes
L’inventeur, lui le vrai sauveur
28 01 2009 Crab
27.10.2007
Axiomanie
Faire vivre l’inexistant - Éloge du désaxé
Que nous dit un monothéiste militant: "Dans le cas de l'existence du truc (dieu), l'axiome est nécessairement invérifiable"
Par conséquent, l'argumentation est inutile, ajoute t-il....
''Notre'' monothéiste procède par l’axiome...dieu nous dit-il, "qui est considéré comme évident en soi"
Donc une utilisation dans le but de désigner le truc comme une vérité première
Seulement voilà, pour un incroyant, cette axiomatique doit bien entendu être non-contradictoire - sinon elle perd toute crédibilité
Le recours à un axiome dans le but de représenter le point de départ [dieu] dans un système de logique est choisi arbitrairement, puisque l’endoctriné est le seul à proclamer que dieu "est considéré comme évident en soi"
Ce procédé basic, à propos du truc, veut ignorer la nécessaire démonstration -a déduction permet d’obtenir un résultat
Notre endoctriné veut occulter que le résultat de la démonstration n’est plus un axiome
Voilà pourquoi; notre monothéiste militant, quand il lui est demandé de démontrer se défausse, ou placé au pied du mur se retranche derrière une béquille, la foi, ce qui revient au même
Remarque d’un incroyant - le choix d’un axiome non critiqué parce que le monothéiste le prétend non critiquable, lui permet de construire sa fable (la religion)
Religion, qui pour le monothéiste le plus attardé elle n’est pas critiquable, ainsi se referme la boucle
Crab
24.10.2007
Inexistence de dieu – suite -
Réponses à un de mes lecteurs
Son pseudo: F.........
F......... vous me citer «Ce serait absurde de vouloir prouver l'inexistence de quelque chose qui n’existe pas» Fin de ma phrase citée par F..........
F......... vous escamotez une fois de plus une partie de mes propos figurant dans mes textes précédents pour rabâcher, je vous cite: «Oui, c'est absurde. Mais poussons tout de même la logique jusqu'au bout puisque tu affirmes qu'il n'existe pas, c'est que tu peux en faire la preuve. Non? Pour ma part, je me contente de dire que je n'en sais rien s'il existe ou non» Fin de votre répétition
Encre une fois puisque vous ne faites aucun effort pour mémoriser mes propos; l’inexistence n’a pas besoin d’être démontrée, puisque le machin que le croyant nomme dieu est le fruit de son imagination
[Seul ce qui est existant peut-être démontré]
Vous poursuivez, je vous cite; «Je me méfie des positions péremptoires car elles supposent une connaissance exhaustive et donc l'existence d'éléments matériels permettant d'appuyer les affirmations. Or tu n'en possèdes aucun» Fin de votre remarque
Je n’ai pas besoin de produire des éléments matériels; Je constate que le croyant ne peut rien prouver, donc ''dieu'' est le fruit de son imagination. Je ne vois pas de raison d’aller chercher midi à quatorze heures
Vous insistez, et dites: «Il y a une différence entre celui qui affirme que les fantômes existent et celui qui dit croire que les fantômes existent. Pour ma part je ne crois pas à l'existence des fantômes, mais je ne peux pas le prouver non plus (sinon je dirais "les fantômes n'existent pas" ). Au premier je demanderai des preuves scientifiques de ce qu'il avance, et au second je confronterai mes arguments avec les siens tout en sachant l'un et l'autre que nous formons nos avis sur la base de perceptions intuitives et qui n'ont rien de scientifiques. Je suis conscient également qu'il n'est pas impossible qu'un jour on puisse prouver l'existence des fantômes» Fin de votre système de ''comparaison''
Comparaison placée entre guillemets car là, des exemples que vous avez choisi, je ne lis rien de plus qu’un étalages de croyances qui toutes se valent
Vous me citez à nouveau; «C’est le sommet du ridicule ; prétendre que le croyant ne proclame pas, dans ce cas que sont, à la vue de tous, les édifices religieux ?» Fin de ma phrase
Et vous ajoutez, je vous cite; «Rien à voir. Mais vraiment là... c'est n'importe nawak!» Fin de votre affirmation non suivie du développement qui s’impose et que produit toute personne éprise de correction...
A nouveau, vous me citer; «La foi, je vous ai dors et déjà fait savoir que c’est la béquille de ceux qui ne savent pas dire « je ne sais pas » Fin de ma phrase
Et toujours en fanfaron vos prétendez me donner une leçon, une fois de plus, je vous cite; «Crois-tu que c'est très sérieux d'utiliser des aphorismes comme argument? Tu ne peux pas évacuer le concept de la foi d'un tour de passe-passe à l'aide d'une phrase comique que tu as dû lire dans un livre et qui t'as suffisamment amusé pour le répéter régulièrement ici» Fin de votre propos de mauvaise foi
La foi est présentée comme un «argument» qui dispense de prouver ou de faire la preuve.
Donc, une fois encore, je place argument entre guillemet, car la foi brandie n’a pas d’autres fonctions que de masquer, j’y reviens l’incapacité à prouver l’existence de ce que vous désignez par dieu...
Et vous ajoutez; «Par ailleurs ta phrase de café-théâtre est partiellement fausse puisque la foi autorise le doute» Fin
Donc raison de plus pour le croyant de ne plus utiliser cette terminologie - cela confirme, d’autant mieux que souvent j’ai eu l’opportunité d’écrire que la foi ne vaut pas argument
Enfin vous me citez à nouveau; «Un chercheur lui ''obéit'' à des exigences morales, et se fait un devoir d’informer» Fin de ma remarque
Et vous avez le culot d’escamoter que mon propos était ma réponse en rapport avec un de vos ''arguments'' de l’un de vos précédents messages
Donc vous me dites; «Cette manie de l'analogie erronée entre croyant et chercheur! Comme si un scientifique était forcément athée. Et un chercheur musulman ou catholique, il obéit à quoi ? Quand prendras-tu en considération que la science et la croyance sont deux choses différentes qui peuvent néanmoins habiter chez une même personne» Fin
Nulle part et dans aucun de mes messages, quand je parle d’un chercheur, je n’ai jamais fait et en aucun cas allusion à ses croyances ou à son athéisme
Je dis ou je répète, qu’un chercheur fait la différence entre ce qui relève d’une hypothèse, ce qui est démontré ou prouvable ou encore ce qu’il peut prouver
Cela ce nomme, l’honnêteté intellectuelle - soit le contraire d’affirmations non suivies d’une démonstration pour faire la preuve
Crab
08:44 Publié dans 70 Le mensonge monothéiste | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : femme, religion, culture, voile | Facebook | | | Imprimer |
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