30/09/2016
Un DIManche particulier
C’est encore la faute des juifs,
ils sont partout, partout, partout : figurez-vous que l’un d’entre-eux Bernard Giberstein inventa les bas nylon Dimanche et les collants sans coutures, puis un autre Marcel Bleustein-Blanchet*1 publiciste de génie les fait connaître de toutes les femmes sous la marque DIM – conséquence l’apparition presque spontanée dans l’espace public de belles jambes qui ne voulaient plus se cacher après des siècles ou montrer ses chevilles était le premier des péchés capitaux, enfin la mini ou la jupe courte fut et vint couronner le grand TOUT de la féminité assumée par de jeunes femmes qui ne se prenaient pas au sérieux, elles furent et sont pour nos jeunes générations décomplexées l’expression de la vie – ô lala, ô lala, quel grosse malheur, les enfoulardées et les enburkinidées vont en faire une jaunisse – mais, mais pas seulement...
[ 1* : père d’Élisabeth Badinter, philosophe, femme de lettres, vraie républicaine et vraie féministe qui ne craint pas d’être accusée d’islamophobie par ses meilleurs pourceaux d’Épicure ]
I
Une femme qui se sait séduisante sait s’habiller
Dès 1968 quand il ne restait plus que le soutien-gorge [ et encore ], les pudibonds pour la plupart émanant de mouvements anglo-saxons ou pseudo-féministes patentés issus des trois quarts mondes se sont mobilisés effrayés à la vue d’un sein ou encore à la vue d’une poitrine nue, depuis d’une décennie à l’autre n’en finissent jamais de tenter d'idéologiser le corps de la femme ;
le point d’orgue, summum de la crétinerie la plus sordide intervient quand, dans l’espace public, sans pudeur ni faire preuve de la moindre retenue, se fait jour l’exhibitionnisme forcené d’enfoulardées et d’enburkinidées qui entendent essentialiser les hommes en se couvrant islamique des pieds à la tête, pourquoi ? :
simplement parce que ces « femmes » ou ces ombres couvertes d’un linceul mortuaire appuyées par leurs soutiens pudibonds de toutes origines n’ont pas compris ou affectent de ne pas comprendre que pour une femme éduquée et cultivée l’essentiel, le primordial est la réappropriation de son corps tout en étant parfaitement consciente que la séduction est faite pour elle même et pas pour plaire aux hommes
[ Ce qui n’interdit pas aux hommes d’y être sensible, et pour le meilleur - nous n’en douterons point... ]
I
La féminité est éternelle, elle ne se perd jamais !
Mais ce moyenâgeux monde des pudibonds fixés des deux cotés de l’Atlantique, dont entre-autres les enfoulardées et les enburkinidées sont la partie visible de l’iceberg, ce n’est cependant pour ces dernières qu’un feu de paille qu’il est néanmoins juste et nécessaire d’éteindre au plus vite quand on sait que 28 % des musulmans installés en France sont pour la charia, et ce d’autant plus qu’après des siècles d’enfermement corseté ou ferraillé du corps de la femme [ excepté dans l’Antiquité ], leurs plus belles journées ne vaudront jamais les plus beaux DIManche des années de bonheur marquées du sceau d’un féminisme intense et insécable, à présent gravé dans le marbre de l’imaginaire collectif et plus particulièrement culturellement celui des femmes, et que plus rien ne peut effacer
Désormais, les femmes cultivées, émancipées ou insoumises savent que le plaisir de se plaire est la racine de la morale féminine - vidéo 1 :
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Vidéo 2 :
http://blvids.free.fr/Les_Etoiles_du_Ballet_de_l_Opera_Trailer.mp4
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Suites : Tartuffe les armes à la main
http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/09/tartuffe-les-armes-la-main.html
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ou sur :
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2016/09/15/tartuffe-les-armes-a-la-main-5848036.html
Crab – 30 Septembre 2016
07:42 Publié dans Un coran bleu - rouge, Un DIManche particulier | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : athéisme, bernard_giberstein, marcel_bleustein-blanchet, burkini, Élisabeth_badinter, féminisme, foulard_islamique, juifs | Facebook | | | Imprimer |