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01/02/2013

Sectes - Religions

Gabrielle d'Estrées et sa sœur la duchesse de Villars.jpg

Gabrielle d’Estrées, celle qui pousse le roi à rédiger et signer l’édit de Nantes

 

Liminaire

Je précise que je ne suis pas ni croyant ni adepte d'une religion ni encore de ce que les bien-pensants qualifient de sectes

 

Justice

La Cour européenne des droits de l'Homme a condamné jeudi la Fance pour violation de la liberté de pensée de conscience et de religion, à la demande de trois sectes dont celle du " Mandarom "

Source :

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/trois-sectes-obtiennent-la-condamnation-de-la-france-par-la-cour-europeenne-des-droits-de-l-homme_1215531.html

 

Les faux semblants

Je constate qu'en France il est établi une distinction entre religions et sectes, ces dernières étant considérées socialement dangereuses

 

Hors quand est il réellement dans les faits ?

Certaines personnes membre d'une sectes ont été victimes d'abus de pouvoirs ou de violences criminelles sexuelles

Quand est il dans la religion catholique ?

L'ampleur de la pédocriminalité ( sans qu'on ne sache pas tout ), qui se nourrit  essentiellement de l'imposition de la chasteté

Que dire de la religion musulmane où s'impose la virginité pour déboucher sur le mariage contraint dont sont majoritairement victimes les femmes auquel il faut ajouter à leur encontre de subir créée pour le seul bénéfice des hommes l'institution de la polygamie

[ Ces derniers se gardent bien de proposer en contrepartie d'institutionnaliser la polyandrie ( polygynie courante dans l'antiquité, au moyen-âge et encore, à notre époque, observée, notamment en Inde ) ]

 

Quelle réalité ?

Pour moi, ce qui relie les religions et les sectes se vaut, c'est l'endoctrinement, ( quelque soit la méthode ), des enfants pour leur apprendre '' quoi penser '' et non de les aider à apprendre par eux-même à '' comment penser '', soit vivre leurs propres expériences sans imiter la démarche d'un autre

http://blvids.free.fr/Universit%C3%A9_populaire_de_Caen_.mp4

 

Les abus de pouvoirs, les crimes sexuels, la condition des femmes sous servitudes, aggravée pour la femme arabe ou iranienne '' musulmane '' ou non croyante ou laïque ;

pour ces deux dernières, plus qu'au même titre que pour la '' musulmane '' assujetties de force aux codes de l'infamie ( codes de la famille )

Faut-il en conclure que la violence ou les actes violents ou infamants sont plus répandus dans les sectes que dans les religions ?

Les faits n'en font pas la démonstration ! En tous cas ne permettent pas d'affirmer que les religions sont moins nocives quoique les bien-pensants disent des sectes ! C'est probablement le constat qu'a fait la Cour européenne... - Crab 1 Février 2013

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http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2012/08/26/l-universel.html

 

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/place-jean-paul-ii/

 

 

 


 

16/10/2011

La Démocratie oui !

" Je suis la limite de l'Agora ", gravée sur cette borne à Athènes

 

borne.jpeg

 

 

Un lecteur demande:

« La question est

de quoi vous basez vous

pour dire que la théocratie

est quelque chose de mal... »

 

 

 

 

Réponse :

En ces périodes de campagnes électorales pour les présidentielles de 2012, il est souverain de rappeler les grands principes fondements de notre république laïque

 

La théocratie

La théocratie, une forme de gouvernement dans laquelle l'autorité est prétendu d'essence divine, une des formes que revêt '' le mal absolu '', c'est à dire l'interdiction de penser autrement, l'interdiction de l'indépendance d'esprit

 

La culture Française

Être français, c'est être de culture française et cela s'oppose à toutes les idées de fonctionnement par la dictature

 

[ Connaissant l'empressement névrotique, les tentatives...de ceux partisans du multiculturalisme ou chantres du relativisme culturel qui se saisissent des rappels à la notion de culture française pour hurler au racisme, je préciserais donc, que pour moi un vichyste n'était pas français ]

 

Ce que signifie être démocrate et insoumis, en un mot « Français » :

 

J'avais publié sur un de mes blogues, le 01 01 2010, Ci-dessous :

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Hellénisme

La grande dame, la liberté et la république:

hommage à Jacqueline de Romilly

Jacqueline de Romilly (1913-2010) nous a quittés le 18 décembre dernier, cette grande helléniste, haute figure de notre culture républicaine, qui a tant défendu la place de l’enseignement du grec comme porte d’accès à une culture générale dont les lettres classiques constituent un des piliers jamais démenti. On lui doit cet intérêt porté à la Grèce antique et à sa culture, non comme l’héritage d’une histoire arrêtée aux ruines d’une civilisation passée, mais comme une des clés de la compréhension du monde contemporain. Elle fut toujours animée d’une foi sans hésitation dans les valeurs universelles nées de ce berceau athénien de la démocratie où elle prenait à chaque instant sa respiration.



Lauréate du Concours général la première année où les filles pouvaient concourir puis, première femme élue au Collège de France (1973), elle devait accéder à la reconnaissance suprême de l’Académie française en en devenant membre (1988), seconde femme élue à y occuper un des sièges sacrés. Ce fut l’un des aboutissements d’un parcours exemplaire qui a fait de sa carrière de femme dans un monde d’hommes une très grande dame de notre République.



Elle ne nous parlait pas seulement de culture et d’histoire, mais de liberté !

Grande spécialiste du monde grec, c’est de liberté dont elle entendait nous parler, celle propre à cette invention émancipatrice du politique et de la citoyenneté, se synthétisant dans le gouvernement des hommes par les hommes, se fondant sur l’interchangeabilité des droits, la conscience d’un bien commun supérieur à tous les autres, l’homme mesure de toute chose. Elle n’avait de cesse d’attirer l’attention sur cet homme nouveau surgissant de l’histoire, l’homme grec : celui qui fait les lois auxquelles il obéit.



Elle luttait contre l’oubli d’un legs essentiel transmis depuis l’antiquité auquel notre modernité doit beaucoup, un oubli parfois entretenu vis-à-vis d’un vieux continent européen trop facilement identifié par certains à l’unique héritage judéo-chrétien. Elle a inscrit le travail d’une vie de transmission et de fructification d’un domaine dans le prolongement des inventeurs d’une civilisation qui a eu l’ambition de donner à l’homme la maîtrise de son destin, avec une forme de conscience qui demeure aux racines de la nôtre comme sa toile de fond.



Dans un contexte de relativisme culturel qui ne joue pas en faveur de la défense de cet acquis universel parfois incriminé hors propos d’ethnocentrisme, elle n’a cessé de rappeler que l’homme agent de son histoire est né en Grèce entre le VIIIe et le IVe siècle avant notre ère et nulle part ailleurs, comme un cadeau à destination de tous les peuples. Elle en interroge le mystère, sans cesse le secret de fabrication à travers un questionnement fondateur d’une démarche ouverte sur le sens de l’histoire : « Pourquoi la Grèce ? ».



Lorsqu’Œdipe, sous l’écriture du tragique grec Sophocle, nous dévoile le déterminisme de l’inconscient à travers la mise en scène prophétique d’un fils commettant sans le savoir ce qui apparait comme le crime suprême, l’inceste, pour mieux affirmer sa prohibition, on touche à une nouvelle humanité qui est incitée à prendre conscience d’elle-même, qui a à voir avec une nouvelle responsabilité de l’individu invité à anticiper sur les conséquences de ses actes. C’est l’émergence d’une notion de la responsabilité se référant à la loi commune, à cette capacité d’une société à savoir se corriger elle-même relativement à ce qu’elle définit comme son bien, telle que la démocratie le propose dans le gouvernement des affaires de la cité.

Freud lui-même, ce génial observateur de la complexité mentale de l’homme, ne s’y était pas trompé, en voyant au cœur de la culture grecque à travers le « complexe d’Œdipe » un des schémas explicatifs fondamentaux du développement de la personnalité et un des axiomes principaux de la psychanalyse. Certaines pulsions doivent être mises sous l’autorité de la loi et refoulées pour laisser place à l’action consciente de l’individu, c’est la condition de sa liberté, comme une nouvelle condition de l’homme s’émancipant à la fois des archaïsmes de l’instinct et d’une forme passée du religieux où la divinisation de la nature dominait la pensée. C’est le passage réussi de l’homme d’un temps biologique au temps psychologique. Il en découlera une démarche intellectuelle, philosophique, culturelle et scientifique qui donnera à la raison ses lettres de noblesse, d’Homère à Eschyle, de Sappho à Aristote.



La culture grecque : l’égalité et la raison bien de l’humanité.

Dès l’Iliade, on voit l’égalité commencer à s’imposer comme nouvelle valeur collective. Agamemnon est le roi suprême à la tête de l’expédition de Troie pour reprendre la Belle Hélène, qui est l’épouse de son frère Ménélas, à Pâris qui l’a enlevée. Il croit bon, en raison de sa position royale qu’il pense au-dessus du commun, de prendre à Achille Briséis, sa concubine, pour son bon plaisir et déclenche ainsi la colère du héros qui se retire de la bataille, thème principal de l’Epopée. Agamemnon sera en définitive contraint de la lui rendre, de renoncer à sa démesure face au risque de perdre la guerre et la face si Achille ne revient pas au combat, jusqu’à même devoir publiquement se déjuger, sous la pression de son camp avec le soutien des dieux. Agamemnon doit, comme tout autre, se soumettre à la loi commune qui rejette la démesure, fut-elle celle d’un grand roi, face à l’intérêt commun. S’imposait en reflet dans la société d’alors l’effacement de la royauté à la faveur d’une aristocratie des égaux, l’indication d’un nouveau chemin. C’était le début d’une nouvelle histoire de l’homme qui fera passer, non sans crises sociales animées par la revendication de l’élargissement de cette égalité à tous, le pouvoir des mains des rois dans celles des peuples. 



Comment ne pas voir une révolution en marche à travers cette comédie d’Aristophane, Lysistrata, où pour la première fois les femmes, par-delà l’exclusion de la citoyenneté dont elles furent victimes dans la cité, se voient donné tout le pouvoir par la mise en scène d’une grève du sexe qu’elles opposent aux hommes afin de les contraindre à arrêter de se faire la guerre. Dans une œuvre artistique, un pouvoir leur était alors conféré sur la destinée collective, sans précédent dans l’histoire, qui augurait de futures transformations dans la réalité retentissantes concernant les rapports hommes-femmes… L’égalité entre les sexes ne put sans aucun doute jamais être posée, sans cette révolution de la pensée grecque.



Jacqueline de Romilly avait ô combien raison de nous ramener ainsi vers la Grèce antique, qui inventa la démocratie mais aussi le théâtre avec sa tragédie et sa comédie, le droit public et l’alphabet à l’origine du nôtre, la philosophie sous les traits de la raison, l’art comme expression de l’artiste et non du magico-religieux, la justice collective avec ses jurys populaires qui faisait sortir les hommes de la logique brutale d’« œil pour œil, dent pour dent ».



La modernité républicaine prend source à la pensée de Périclès



Rendre hommage à cette grande dame, c’est d’abord et avant tout poursuivre l’œuvre engagée, de défense et de diffusion de l’hellénisme, une forme de pensée et de culture dérivant d’un tournant radical dans l’histoire : la civilisation grecque comme nouveau point de départ, comme nouveau paradigme d’un temps qui s’écoule jusqu’à nous et au-delà.



La mètis des grecs (les ruses de l’intelligence) nous en offre certaines des plus belles manifestations : De l’ingénieux Ulysse, crevant l’œil du cyclope pour retrouver sa liberté tout en se rendant invisible à sa vengeance à se donner comme nom « Personne » plutôt que de se dire roi d’Ithaque, indiquant par là une désacralisation de la fonction royale, à celui du piège du cheval de Troie, offrande faite à l’ennemi qui va par démesure l’accepter pour qu’elle le détruise, comme la métaphore de la nouvelle place donnée au passé avec lequel il s’opère une rupture sans retour simultanément qu’il en est pris possession à travers une nouvelle forme de conscience du temps, tout nous montre ici que la modernité des anciens a encore et encore à nous en apprendre pour aller plus loin de l’avant.



La pensée grecque a inspiré les humanistes de la renaissance, irrigué la pensée des Lumières et la Révolution française, les grands principes sur lesquels se fonde notre modernité républicaine. Un de ces bouleversements de la réalité porteurs de changements dans la façon même de poser les problèmes.



Jacqueline de Romilly a fait sa thèse de doctorat sur « Thucydide et l’impérialisme athénien », sur celui qui fut le premier historien de l’histoire après les prémices d’Hérodote, il n’y a là aucun hasard. La plus belle des références à lui faire est sans doute cette Oraison funèbre prononcée par Périclès, s’il faut en croire Thucydide précisément qui la rapporte dans son récit prenant pour objet « La guerre du Péloponnèse », qui nous donne toute la hauteur de cette culture en héritage : « Notre régime politique ne se propose pas pour modèle les lois d’autrui, et nous sommes nous-mêmes des exemples plutôt que des imitateurs. Pour le nom, comme les choses dépendent non pas du petit nombre mais de la majorité, c’est une démocratie. S’agit-il de ce qui revient à chacun ? La loi, elle, fait à tous, pour leurs différents privés, la part égale, tandis que pour les titres, si l’on se distingue en quelque domaine, ce n’est pas l’appartenance à une catégorie, mais le mérite, qui vous fait accéder aux honneurs. (…) Nous pratiquons la liberté non seulement dans notre conduite d’ordre politique, mais pour tout ce qui est suspicion réciproque dans la vie quotidienne ; nous n’avons pas de colère envers notre prochain, s’il agit à sa fantaisie, et nous ne recourons pas à des vexations qui, même sans causer de dommages, se présentent au dehors comme blessante.” (« Les plus beaux textes d’Homère à Origène », sous la direction de Jacqueline de Romilly, de l’Académie française, Danielle Jouanna, Simina Noïca, Bayard, Les Belles Lettres, 2003). Cette évocation de la démocratie et cette fine psychologie qui s’attache au respect des sentiments humains sont révélatrices d’acquisitions mentales qui ont, à cet endroit, éclatées au grand jour et valent pour nous, sur le mode intemporel.



Voilà des idées propres à une démarche emprunte d’humanité, que Jacqueline de Romilly n’a cessé de porter, pour tenter qu’elles ne puissent échapper au moindre des citoyens. Un sens de l’humanité sorti de l’histoire dont les valeurs et les idées sont toujours dans l’actualité, surtout si on a à l’esprit les remises en cause actuelles des valeurs républicaines de liberté, d’égalité et de fraternité, au nom du droit à la différence confinant à la différence des droits, du communautarisme encouragé par le clientélisme politique, d’un retour radical du religieux et du patriarcat déniant aux femmes qu’elles puissent être les égales de l’homme ! Précisément, la conquête de l’égalité des droits entre les sexes ne fit pas l’économie, en regard de la tradition et de la religion, de hautes luttes pour s’imposer, passant par des exemples de femmes comme Jacqueline de Romilly qui, sans en avoir l’air et sans s’en être réclamée, sans en faire non plus le combat d’un genre contre un autre, a voulu œuvrer simplement au nom du bien de tous.



Une grande dame, symbole républicain d’émancipation : après l’Académie, le Panthéon !



L’égalité républicaine incluant les femmes a pu et su ainsi synthétiser, la modernité grecque qui les excluait du politique, l’histoire avançant souvent d’un pas à la fois, avec les avancées contemporaines des libertés individuelles, des libertés publiques, de la démocratie et de la laïcité portant l’intérêt général au dessus des différences et des religions, avec aussi la dimension sociale de la République jouant un rôle si essentiel en faveur de la solidarité de la nation. L’émancipation des femmes, ce mouvement révolutionnaire qui constitue à part entière une histoire dans l’histoire qui a encore bien du champ devant elle à l’échelle de notre planète, a été et reste porteuse d’émancipation pour toute la société, pour toute l’humanité, à quoi a formidablement contribué à sa façon, la « grande dame » dont nous parlons.



Gardons de Jacqueline de Romilly ces quelques mots en ouverture d’un petit ouvrage de poche qu’elle écrivit « la Grèce antique à la découverte de la liberté » (Editions de Fallois, 1989) pour faire partager sa passion de l’hellénisme : « L’idée de la liberté nous vient de Grèce, où elle a été découverte et proclamée avec force, pour la première fois et de façon durable. » Des lignes qu’on ne se lasse pas de relire, écrites d’une main ferme et d’une pensée qui voit loin, qui font partie de notre patrimoine commun le plus vivant. Elle pourrait mériter le Panthéon. - Guylain Chevrier, Docteur en histoire -

Source - http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/l-...

 

Suite

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2010/12/31/0-laicite-le-chantier-2011.html



 

29/09/2011

France Télévisions

France Télévisions prétend soutenir des causes, manifestations et événements qui rejoignent sa mission de service public et participent des valeurs citoyennes et culturelles qui sont les siennes

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E. Munch

 

Valeurs citoyennes et culturelles !

Les valeurs citoyennes et culturelles qui sont les siennes – les siennes ?

Faut-il comprendre que France Télévisions n'est pas la télévision de tous les françaises et français ?

 

Faut-il dissoudre l'église ?

Dans une société qui sait que la religion n'a pas le monopole de la spiritualité, toute doctrine qui prône l’existence d’un au-delà ou l’existence de principes de nature « spirituelle » peut constituer un grave trouble à l’ordre public. « Spirituelle entre guillemets »

 

Prétendre qu'il existe un au-delà ne relève d'aucune spiritualité mais tout simplement d'une fiction

La spiritualité, la vie de la conscience n'implique pas de faire passer une fable pour autre chose que ce qu'elle est, somme toute le fruit de l'imagination

 

Il est vain, pour certains, de réclamer une démocratisation de l’Église, dans la mesure où cette conception est erronée ; [ là, je cite l'hypocrite pape J P II ], une conception qui ne correspond « ni aux données bibliques, ni à la Tradition de l’Église de l’époque des apôtres ». « La vérité n’est pas issue d’une '' Église de base ''. Il s’agit d’un don qui vient d’en haut, qui vient du Ciel »

L'absence de démocratie c'est ce qui définit une secte quelque soit sa taille, donc L'église catholique [ cela vaut pour les autres religions monothéiste ]

 

Statistiquement, il n’y a pas plus de condamnations en justice dans les groupes étiquetés comme sectes que dans les religions acceptées. Il y en a même plutôt moins. Le critère du nombre de condamnations en justice pour menacer un groupe de dissolution est donc totalement arbitraire. Il ne sert qu’à donner une apparence de rationalité à un projet de loi autoritaire visant à exclure de la vie publique des groupes qui ne plaisent pas à quelques élus

 

Dissoudre les sectes pour absence de démocratie pourrait être une raison suffisante sinon leur retirer ce pouvoir de monopoliser une matinée chaque dimanche au frais du contribuable ou encore de réserver sur une autre chaîne de France télévision en contrepartie une matinée consacrée aux modes critiques et d'expressions des incroyants, des athées et des agnostiques

Crab – 29 Septembre 2011

 

Suite à partir de la page :

http://laicite.over-blog.com/article-erfurt-85000356.html