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29/10/2015

10 mois après la tuerie

Charlie  hebdo - Coco.jpg

Charlie Hebdo sort l'album annuel du journal satirique

Citation

Coco : " Il faut réaliser que c’est la dernière fois qu’on les verra dans un album annuel de Charlie ", souligne la dessinatrice. " C’est notre hommage de faire vivre leur travail encore et encore. C’est toujours une grande émotion pour nous de voir ces dessins. Il n’y a pas une semaine où on ne parle pas d’eux au sein de à la rédaction. C’est aussi une chaleur, quelque chose de positif de voir que leurs dessins prennent vie, bien au-delà des choses..."

" Petit à petit, ça va mieux ", souffle Coco. " On déconne sur l’actu, on commence à râler à se « foutre sur la gueule » quand on n’est pas d’accord. C’est ça, Charlie, c’est un grand débat."

" Les « un an » ne vont pas être facile à passer, ça cogite…", poursuit-elle. " On se pose des questions : et si, et si… Je sais que ça ne va pas partir comme ça. Je n’aime pas trop parler de moi… Je me concentre sur les choses essentielles comme le dessin."

Propos recueillis Par Céline Martelet et Emmanuel Bringuier

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Le mal : est-ce la critique ou la censure ?

Sans autres objets que de fragmenter l'occident, d'attenter à la liberté, les idéologies du différencialisme sont le cache-sexe du multiculturalisme ou du communautarisme, et sont essentiellement soutenues par des idéologues aveuglés par le relativisme culturel condescendant envers les étrangers

 

Abandon de la liberté et de la laïcité pour un mandat

Ce qui caractérise les meutes très médiatisées de « nos » Donquichottes « modernes », c'est à la fois idéologiquement, mais plus que tout par électoralisme leur constance à nier les réalités de nos sociétés : mécaniquement ( comme des robots ) évitent de dénoncer par pur électoralisme les dérives islamistes qui se manifestent au quotidiensans relâche, les cadres socialistes et une bonne partie des écologistes ( sans dédouaner le laxisme des droites, quand elles étaient au pouvoir ) à notre époque comptent parmi les plus représentatifs d'une classe politique prête, en s'abritant derrière le différencialisme à renoncer à la liberté, à l'égalité, à la fraternité et à la laïcité pour l'obtention d'un mandat - en un mot s'apprête à sacrifier la raison pour se maintenir ou accèder au pouvoir    - Crab 29 Octobre 2015

 

La liberté d'expression ne s'arrête pas là où commence la religion Suite: '' L'Art c'est la résistance''

http://laicite-moderne.blogspot.fr/search?q=L%27Art+c%27est+la+r%C3%A9sistance

 

ou sur :

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/l-art-c-est-la-resistance/

 

 

 

04/07/2009

WALLÂDA DE CORDOUE (de); et de l'Anté-islam...

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WALLÂDA DE CORDOUE ( de ) ; et de l'Anté-islam...

Je sais ce que je suis grâce à ce que nous sommes tous -

pour cela aucune femme ne peut me cacher

ni ses cheveux ni son visage 

Crab

La princesse Wallâda de Cordoue, avait inspiré à son amant, le vizir Ibn Zaydoun, ses meilleurs poèmes : « Bonheur ! Corps contre corps enlacés ; bouche contre bouche écrasées. Pur délice ! » Et, quand vint la séparation : « Tu t'es éloignée ; je me suis éloigné. Ni nos cœurs n'ont guéri ; ni nos larmes n'ont séché. »        

Vers de la poétesse

« sois prêt pour ma visite à l’obscurité,
parce que la nuit est la meilleure gardienne des secrets.
Si le soleil sentait l’étendue de mon amour pour toi,
il ne brillerait plus,
la lune ne se lèverait plus,
et les étoiles s’éteindraient d’émoi.»

Sukeina

Sukeina, fille de l’imam Hussein le martyr de Kerbela, arrière petite fille du prophète Mohamed ne s’est jamais voilée et cela malgré sa jeunesse, sa beauté et la noblesse de son rang elle refusa également d’abdiquer sa personnalité et ne consentit jamais au principe d’obéissance au mari : « Taa » ni au droit de ce dernier à la polygamie. Elle stipulait cette contestation de l’autorité masculine dans ses contrats de mariage

En outre; en récusant l’institution du Hijab cette féministe d’avant garde sapa son symbolisme en tant que séparation institutionnelle de deux espaces distincts, un espace privé réservé à la femme et un espace public géré par l’homme. Loin de se soumettre aux lois de la claustration, la pétillante Sukeina tenait, en effet, un salon littéraire à Médine et organisait des soirées interminables où se côtoyaient artistes, poètes et hommes de Lettres de diverses tendances et de différentes religions

Très fréquemment, les grands poètes de! '' ghazal '', poésie érotique, de l’école du Hijaz venaient à la résidence de Sukeina réciter leurs poèmes, vanter leurs talents et écouter les critiques. Aux cotés du célèbre Omar Ibn Abi Rabiaa on cite al Awas, Djarir mais surtout al Farazdak semble s’y être rendu quand il se trouvait dans les lieux

Sukeina ouvrait les discussions stimulait les débats littéraires, émettait des remarques, des commentaires sur l’emploi inadéquat d’un terme , d’un croisement , ou d’un motif inclus dans les vers cités les interventions de Sukeina relevaient une bonne connaissance de la poésie et de la culture de son époque

Elle a ainsi réussi à préserver l’école de la poésie « Ghazal » puisque ses adeptes étaient protégés et encouragés en bénéficiant de la caution des plus hautes sphères de la société médinoise

[.../...] Source Ikbal El Gharbi -  Université Ezzeytouna

 

Belle et mourir

Ce que l'histoire des religions nous a enseigné, c'est qu'une femme belle est un démon, qui ne peut que pervertir les hommes - qu'il faut la châtier - la tuer - la brûler

Aujourd'hui cette haine de la femme réduite à une peau de chagrin dans la plupart des religions monothéistes voit le flambeau repris par les islamistes - les voiles, la burqa ou le voile intégral en sont le révélateur le plus signifiant - Crab

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