03/10/2016
La Traviata - le Parfum de l’Art
Vivre est un art,
vivre n’est pas exister, vivre, c’est être, vivre est la chose la chose la plus rare au monde, vivre est suivre les sentiers des plaisirs parce que le plaisir est la racine de la morale car il est vain d’espérer de la mort puisque la mort est absence de sensation
La spiritualité est la vie de la conscience,
en ce sens les religions monothéistes n’en n’ont jamais-eu le monopole car sans prendre part, pour le bien et dans le Droit commun à la recherche de l’éthique elles n’ont jamais-eu d’autre objectif - c’est leur genre - que de tuer le sexuel pour, contre la nature des choses, idéaliser et installer des sociétés exclusivement hyper hétérosexualités ;
loin des préoccupations métaphysiques de ceux ou de celles qui consacrent, sacralisent la défaite du corps et s’enrobent, se barbouillent de la foi pour exister, nul besoin de se prendre au sérieux, seul compte jouir sans se nuire ni nuire à autrui, nul besoin de renier son passé, nul besoin de se repentir, le repentir n’est qu’une idée de bigots comptant parmi les plus nuisibles à l’entendement humain car la seule chose qui compte est de ne pas se mentir ;
le repentir est prélude à l’injonction-interdiction de jouir de la vie, sanctifie à travers l’énoncé religieux le devoir de renoncer à la volupté dans notre bien trop courte existence : les moments savourés de bonheurs, les moments heureux d’impression extrêmement agréable donnée au sens que l’on se plaît à goûter en parfaite plénitude ;
en réalité, interdire ou s’interdire le plaisir, refouler, salir le désir par les mots, les discours d’un obscurantisme forcené ainsi que Savonarole qui, en pratique le fit si bien, en imposant, pendant plusieurs années à la société florentine, mu par la violence du fanatique sa vision aseptisée de la soumission au surnaturel ;
inévitablement, à un moment ou à un autre l’ennui surgit et le couple naturellement s’étiole, mais de la séparation, du respect réciproque, naît ou se substitue à la passion une tendre amitié ;
hors, de nos jours, ce dieu plus grand que grand persiste, tricheur n’a de cesse de sublimer la fidélité conjugale quand vêtu de son costume civil il œuvre, sans relâche, pour satisfaire, pérenniser la reproduction de l’espèce, ( si chère à ses nov-prêtres prédicateurs-prescripteurs, je veux parler de « nos pin-pans économistes pro-européens » ), avec à la clé la promesse d’une croissance démographique non sans effets « positifs » sur une croissance économique peu créatrice d’emploi car en réalité une croissance économique qui dépend essentiellement de la peu réjouissante robotisation de l’activité de production ;
un dieu de désamours qui compte pour deux, un peu comme un homme compte pour deux femmes dans le coran - un dieu schizophrène, obstiné dans cette prétention contre nature d’encrer pour toute morale cette idée déstructurante, nuisible, toxique de s’approprier le corps de l’autre ou d’exiger de l’autre la fidélité conjugale pour fabriquer ce couple sclérosé, rigide jusqu’à la frigidité, névrosé pour définir Le « modèle universel » fondé essentiellement sur le déni, le rejet de l’attirance sexuelle et ainsi de le situer dans le temps et l’espace aux antipodes des amours aimables et naturels, le sel de la vie
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Il mérite le mépris celui qui ose, même dans la colère, insulter une femme
En d’autres temps, il s’agissait de perpétuer la propriété, les biens, les rentes transmises de mâle en mâle dans un monde où le mariage arrangé avait force loi ;
venue de « nul part » La Traviata touchée, affectée, percée au plus profond d’elle, culpabilisée, finalement manipulée par le père de son nouvel aimant, peut-être le dernier de ses amours, pour elle le premier, qu’importe la durée des amours, renonce à sa passion, à la joie, au plaisir de s’abandonner à son désir à vivre peut-être le dernier moment de sa vie de grande amoureuse, au moment ou la maladie inexorablement la rapproche de la mort, désemparée, renonçant à un meilleur destin, à une meilleure fin, pour sauver « l’honneur » de l’étriquée, la mondaine et presque vulgaire famille d’Alfredo, elle se sacrifie sur l’autel des doctrines d’un milieu qui n’aura été le sien que l’espace d’un instant – une famille enpatriarquée jusqu’au bout des ongles ( comme il en existe encore ), enfin de s’effacer pour une cause qui n’est pas la sienne, et ce, quand bien même, grand musicien parmi les plus grands, mais aussi « bon apôtre » Verdi terminera la fin de son dernier acte sur une note, à mon goût, un peu trop chrétienne quand, devant le père et le fils bourrés de remords - du moins me semble t-il , Violetta persiste à se flageller, mais combien, ô combien admirablement chanté par l’incroyable soprano Francesca Dotto magnifiquement entourée de chanteurs et de chanteuses lyriques de grands talents dans une sublime mise en scène de Sofia Coppola dont les remarquables costumes, véritables œuvres d’art, ont été créés avec la maison Valentino
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Quand sur le dernier acte se referme le rideau, un long moment je m’en veux, oui je m’en veux beaucoup car je ne pas trouve les mots pour exprimer, pour dire combien j’ai tellement aimé, tellement aimé, tellement aimé cette version de la Traviata – Merci, merci, mille fois merci – Claude Bouvard dit Crab - 03 Octobre 2016
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Vidéo : Présentation, l’Odeur de la Sueur n’est pas le Parfum de l’Art
http://blvids.free.fr/La_Traviata.mp4
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Suites :
http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/07/mozart-lenlevement-au-serail.html
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Suite 2 :
http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/01/la-reine-de-la-nuit.html
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Suite 3 : Genre - une théorie ?
François, pape des pauvres d’esprits a encore frappé, c’est son genre
http://laicite-moderne.blogspot.fr/2016/02/genre-une-theorie.html
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Rappel : La Traviata diffusée sur Arte samedi dernier - France 2 avait quelques temps auparavant diffusé cet opéra de Verdi
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Notes :
Au printemps 2016, la cinéaste Sofia Coppola dévoilait sa première mise en scène lyrique à l’Opéra de Rome : une Traviata sur son trente et un, avec des costumes conçus par la maison de couture Valentino.
En digne héritière de son père, Francis Ford Coppola, dont la filmographie est infusée d’art lyrique, la réalisatrice de Lost in translation et Marie Antoinette connaît l’opéra. Si, par le passé, elle a décliné la mise en scène de Così fan tutte, c'est Verdi qui a convaincu Sofia Coppola de fouler pour la première fois le plateau du Teatro dell’Opera di Roma. Son attrait pour les personnages féminins égarés a certainement joué, autant que la perspective de travailler avec la maison Valentino. Alors que ses successeurs, Maria Grazia Chiuri et Pierpaolo Piccioli, ont habillé les rôles secondaires, Valentino Garavani a repris du service et dessiné quatre robes haute couture, tout en étoffes éclatantes et crinolines éblouissantes, épousant les variations psychologiques de la malheureuse héroïne de Verdi. - Source arte
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Diffusé sur arte :
" La Traviata " par Sofia Coppola & Valentino
Avec :
Francesca Dotto - Violetta Valéry
Antonio Poli - Alfredo Germont
Roberto Frontali - Giorgio Germont
Anna Malavasi - Flora
Andrea Giovannini - Gastone
Roberto Accurso - Il Barone Douphol
Andrea Porta - Il Marchese D'Obigny
Graziano Dalla Valle - Il Dottor Grenvil
Chiara Pieretti - Annina
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Direction musicale : Jader Bignamini
Costumes : Valentino Garavani
Choeur : Coro del Teatro dell'Opera di Roma
Chorégraphie : Stéphane Phavorin
Composition : Giuseppe Verdi
Décors : Nathan Crowley
Lumière : Vinicio Cheli
Mise en scène : Sofia Coppola
Orchestre : Orchestra del Teatro dell'Opera di Roma
Réalisation TV : Francesca Nesler
20:08 Publié dans La Reine de la Nuit, La Traviata - le Parfum de l’Art | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chrétienté, civilisation, culture, féminisme, mœurs, monothéismes, mythologie, opéras, soprano_colorature, traviata, verdi | Facebook | | | Imprimer |
27/07/2015
Alcina
Nous savons depuis longtemps que les religions haïssent le sexe, que le corps des belles femmes, ces ensorceleuses, ces sorcières méritaient bien leur sort dans le passé d'être brûlée vive - cinq jeunes filles ont agressées une autre jeune fille qui bronzait en maillot de bain dans un parc de la ville de Reims, quand bien même elles ne justifieraient dans l'instantané leurs actes au nom de la religion, ce serait un non sens d'omettre de rappeler qu'il est peu probable qu'elles ne soient pas mentalement, malgré dans notre pays la bien réelle sécularisation, impactée par plus de 15 siècle de moraline monothéiste qui à fait de la femme une pécheresse, une tentatrice, en un mot une sorcière qu'il faut mettre, en toute circonstance, à l'écart de l'espace public et en période de crise économique de tout faire pour privilégier l'emploi des hommes
Il est parfaitement observable que « nos grands experts économistes » très médiatisés ( notamment par C dans l'air ) n'ont pas vocation à défendre les amours, mais ont plutôt une vision pratiquement fusionnelle, similaire de la visée des hiérarchies monothéistes ou des pro-allaitement maternel dans la défense des politiques publiques dont la finalité a pour objet de privilégier, de financer la croissance démographique : les premiers, et peu importe qu'il y est plusieurs millions de chômeurs, au nom d'une vis hélicoïdale sans fin de la croissance, les autres autres au nom de la famille, ne pas en douter, pour ces derniers dans une société exclusivement hétérosexualisée
Dans un cas comme dans l'autre l'ennemi, c'est la sexualité, surtout le « criminel », ce « diabolique » plaisir sexuel ressenti par les femmes – quand on pense que des « salopent » osent de plus en plus en parler publiquement – mais voilà, ce sont avant tout les belles femmes , ces « garces » qui ne peuvent que déranger l'ordre moral, l'ordre établit que des populations rétrogrades ( y compris parmi des populations qui se déclarent féministes ) ne veulent pas ou plus voir en maillot de bain, ni même en mini-jupe, quand d'autres n'ont pas de plus fausse pudeur, sans la moindre retenue ne songent qu'à les envelopper dans un linceul mortuaire pour en faire des objets sexuels aussi faussement respectable que le « vrai faux suaire de Turin »
Rien de nouveau sous le soleil exactement, rien de nouveau sous le ciel nuageux formé des sombres et des plus obscures moralines monothéistes où la plus petite expression de sensualité sera déclarée sexiste d'autant plus qu'elle sera médiatisée, ainsi tout va pour le mieux, dans le meilleur des mondes du microcosme paranoïaque des attardés de l'histoire de la fesse, ennemis de la force charnelle, affolés par la sensualité mise dans le vibrant Alcina d'Haendel, plus que jamais, toujours et toujours, aussi furieusement, ne percevant rien d'une société qui à changé depuis longtemps déjà, néanmoins plus que jamais empressés de mettre le glaive dans la main de Don José l'assassin de la belle, de l'indomptable, à leurs yeux de l'impardonnable Carmen – Crab – 27 Juillet 2015
Suites :Mozart - L’Enlèvement au sérail
http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/07/mozart-lenlevement-au-serail.html
ou sur
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2015/07/24/mozart-l-enlevement-au-serail-5661785.html
09:51 Publié dans Alcina, BIBLIOTHEQUE MEDICIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alcina, carmen, cinéma, civilisation, culture, féministes, haendel, mozart, liberté_d'expression, sexualité, monothéisme, mythologie, mœurs, opéras, soprano_colorature | Facebook | | | Imprimer |
24/07/2015
Mozart - L’Enlèvement au sérail
Lâcheté déclarée : Extrait d'un article de presse :
Avec L'Enlèvement au sérail à l'affiche du Festival d'Aix dans la nouvelle mise en scène de Martin Kusej, l'actualité brûlante fait irruption dans le monde feutré de l'opéra classique. Avant la première, le directeur du Festival, Bernard Foccroulle, a pris la parole pour indiquer qu'il avait demandé au metteur en scène d'opérer deux modifications dans son spectacle
On apprendra plus tard que l'une s'est faite avec l'accord de l'artiste: la suppression d'images de décapitation, devenues insupportables. Et une autre contre l'avis du metteur en scène: l'apparition d'un drapeau de Daech. On reconnaît ici la méthode Foccroulle, qui consiste à trouver le plus juste compromis. La directrice de l'Opéra de Berlin avait été beaucoup plus radicale en annulant une nouvelle production … - Lu dans '' Le Figaro ''
Remarque le '' monde de l'opéra '' ne peut-être taxé de feutré que par des crétins, because, dans les grands opéras tout commence par la grande question : Qu'est-ce que les Lumières ?
Kant en 1784 dans Réponse à la question : ( « Beantwortung der Frage : Was ist Aufklärung ? » ) :
« Les Lumières sont l'émancipation de l'homme de son immaturité dont il est lui-même responsable
L'immaturité est l'incapacité d'employer son entendement sans être guidé par autrui. Cette immaturité lui est imputable non pas si le manque d'entendement mais la résolution et le courage d'y avoir recours sans la conduite d'un autre en est la cause
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! Voilà donc la devise des Lumières » Fin de citation - en tant qu'incroyant, si besoin est, je pourrais parfaitement en faire ma devise
En deux mots '' L’Enlèvement au sérail '', c'est l’histoire du sauvetage, par un jeune noble espagnol, de sa fiancée détenue dans le harem d’un pacha oriental
1781 : Dans L’Enlèvement au sérail, Stephanie ( librettiste ) et Mozart ( qui a lui-même grandement participé à l’écriture du livret ) font échanger à Blonde, jeune Anglaise prisonnière du Sultan, et le garde Osmin qui ne parle que despotisme possessif, séquestration, torture, asservissement de la femme, et qui donc veut posséder physiquement la jeune femme - extrait du '' Leid n°2 '' ( acte 1 ) de la séquence 2 :
Osmin
Mais s’il la veut toujours fidèle,
Qu’il enferme bien la belle :
Car ces créatures frivoles attrapent
Au vol les papillons et se plaisent
Trop à goûter le vin nouveau.
Trallalera, trallalera.
[ …/...]
Surtout au clair de lune,
Amis, surveillez-les bien !
Souvent un jeune galant la guette,
Appâte et charme la follette,
Et alors bonsoir, fidélité !
Trallalera, trallalera.
[ …/... ]
Puis le dialogue suivant ( Acte II, scène 1 ) :
Blonde :
« Tu t’imagines sans doute avoir affaire à une esclave… qui obéit en tremblant à tes ordres ? Mais là tu te trompes fort ! On ne se livre pas à ces fantaisies avec les Européennes ; avec elles, on s’y prend tout autrement ».
Osmin :
« Moi je suis ton maître et toi tu es mon esclave ; j’ordonne, tu dois obéir ! »
Blonde :
« Moi ton esclave ? Ha ! Une femme une esclave ? Répète-moi cela encore une fois ! »
Et d’ajouter un peu plus loin : « Les femmes ne sont pas des marchandises qu’on offre ! Je suis anglaise, née pour la liberté, et je défie quiconque veut me contraindre…Une femme est une femme où qu’elle soit. Si vos femmes sont assez sottes pour se laisser opprimer, tant pis pour elles ! »
Dans sa colère, Osmin s’écrie :
« Par Mahomet, par Allah, c’est le diable en personne ! »
Et dans le duetto qui suit, Blonde, femme insoumise, lance :
« Jamais un cœur né dans la liberté ne se laisse réduire en esclavage ».
Je vous donne en mille que nos islamophiles de service, dont je peux douter de leur niveau de connaissance des grands opéras, ne manqueraient pas scandalisés, n'en doutez pas,de dire que Mozart et son librettiste étaient « racistes*1 » ( *1 : islamophobes )
Mozart qui a mis en scène la liberté dans '' L’Enlèvement au sérail '', l’égalité dans '' Les Noces de Figaro '', osera traiter avec audace de la fraternité dans '' La Flûte enchantée ''
À notre époque, des islamophiles bornés* ( * : anti-féministes ) aimeraient ou tenteraient tout pour ne plus permettre demettre en scène cet opéra dans sa version originale de peur de stigmatiserquelques parties de populations qui, dans notre pays de liberté, se réclament de la culture musulmane dans ce qu'elle est de plus sordide -quand courageusement des femmes arabes et iraniennes, libres, autonomes, se référent à leur entendement* ( * : à la française) et non à la religion pours'employer, dans les '' mondes islamiques, '' à dénoncer en surnommant '' les codes de la familles'' ( lois sur la famille,conçues pour asseoir la dominations des hommes sur la femme ) '' les codes de l'infamie '', en vigueur, encore à notre époque, dans la plupart des pays dominés par les musulmans
Ce grand œuvre, cet opéra défend les valeurs mises en avant par les '' Lumières '', ce qui fera dire à Goethe, admiratif : « Tous les efforts que nous faisions pour parvenir à exprimer le fond des choses devinrent vains au lendemain de l’apparition de Mozart. L’Enlèvement nous dominait tous ».
Les valeurs de l'humanisme, des '' Lumières '' oppose l'absolutisme à la liberté, dans l'Europe de Mozart où les femmes du XVIIIe siècle commençaient à prendre toute leur place dans la société avant que ne vienne sur le devant de la scène politique un Robespierre* ( * : qui fit guillotiner la vraie républicaine Olympe de Gouges ) puis un Napoléon* ( * : son code civil anti-femmes ) pour tout leur reprendre, par la loi d'asseoir la domination des hommes sur les femmes
Les efforts de Belmonte pour soustraire Konstanze de la servitude du pacha Selim ne sont pas sans rappeler que les luttes féministes pour l'obtention des '' droits des femmes '', n'ont, dans notre pays, que quelques décennies, qu'en conséquence nous ne devons pas permettre l'installation des idéologies rétrogrades musulmanes car point de liberté pour les femmes et les hommes sans passer par le féminisme universel – Mozart, en son lumineux temps, en son entendement sans se référer à la religion où à je ne sais quel guide prétendu spirituel l'avait compris et mis en œuvre ! - point de liberté sans la critique athée et féministe des religions est depuis, désormais une expression majeure de notre culture qui a pris tout son sens, s'est fondée à la lecture des grands opéras - Crab – 24 Juillet 2015
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Suites 1 : Opéras
http://laicite-moderne.blogspot.fr/search?q=Op%C3%A9ras
Suite 2 : http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2013/11/25...
11:12 Publié dans Mozart - L’Enlèvement au sérail, Opéra de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : opéras, soprano_colorature, chrétienté, cinéma, civilisation, culture, féministes, liberté_d'expression, mœurs, monothéisme, mythologie | Facebook | | | Imprimer |