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28/10/2010

Testament des Testaments

 

Bruit et silence des_.jpg

 

Du silence ou du bruit des mots

comme autant de maux et du

mur de PLANK

 

Le  Testament des Testaments

 

Dialogue, dans les jardins de la maison de l'athéologie, entre :

 

Multi C : Chantre du '' multiculturalisme ''

et

Changelejeu

 

 

Multi C -

'' La France est devenue pluriel il faut l'accepter ''

 

Changelejeu -

La France a toujours été le pays où s'expriment les différences dans le cadre d'une culture française de rassemblement, mais de quelle France parlez-vous ?

 

Multi C -

La France de la diversité !!!

 

Changelejeu -

c'est à dire ?

 

Multi C -

Eh bien, je me réfère aux modes de vie des populations qui reprennent sur notre sol les préceptes ou les prescriptions des traditions des pays dont-ils sont originaires eux ou leurs parents

 

Changelejeu -

Pouvez mieux préciser, car les différences et la diversité ce n'est pas pareil, n'est-ce pas ?

 

Multi C -

Non c'est bien ce que je dis, la diversité permet à chacun de faire ce qu'il veut !

 

Changelejeu -

Si je vous ai bien suivi, les lois républicaines doivent-être abrogées ; c'est bien cela ?

 

Multi C -

Forcément, sinon ce serait dénier la possibilité que chacun puisse faire ce qu'il veut dans son coin !

 

Changelejeu -

Pourriez-vous me donner quelques exemples ?

 

Multi C -

Oui bien sur; que chacun puisse pratiquer librement sa religion, par exemple !

 

Changelejeu -

Depuis 1905, cela a toujours été le cas __quoi donc encore ?

 

Multi C -

Oui mais il y a l'islamophobie, vous comprenez ?

 

Changelejeu -

Oui, c'est un mot inventé par le fascisme islamiste iranien pour tenter de faire interdire la critique de la religion mahométane, vous le saviez je suppose ?

 

Multi C -

Oui, mais peu m'importe, je pense que c'est une bonne chose !

 

Changelejeu -

Là encore suivant votre remarque il faudrait faire la même chose; interdire tous les formes de duellophobie...

 

Multi C -

Duellophobie ?

 

Changelejeu -

Interdire la critique théorique de toutes les philosophies fondée sur des croyances ou des idéologies non critiquées matérialistes de la volonté de domination, c'est bien ce que vous voudriez n'est-ce pas ?

 

Multi C -

Oui, critiquer les religions c'est un manque de respect !!!

 

Changelejeu -

Les religions ne sont pas des personnes, comment pouvez-vous dire cela ?

 

Multi C -

Au MRAP et à SOS Racisme ils disent qu'il faut défendre '' l'homme musulman '', vous en avez entendu parlé ?

 

Changelejeu -

Oui, mais cette proposition reflète la dérive sectaire et misogyne de quelques uns d'entre-eux, '' l'homme musulman '', vous pouvez demander à Yves COPPENS, '' on '' en connaît aucune trace, mais cela ne m'explique toujours pas ce que vous désignez par ''la diversité ''

 

Multi C -

Que voulez-vous dire ?

 

Changelejeu -

Qu'une partie des individus dans toutes les populations rejette l'autre, le différend, c'est un fait, mais pour autant la critique des idéologies non critiquées n'a aucun rapport avec le racisme, en revanche une religion peut-être plus ou moins qu'une autre raciste et conduire une majorité d'individus à l'intolérance

 

Multi C -

Comment ?

 

Changelejeu -

Quand une religion fait la confusion entre croyance et lutte politique, en quelque sorte elle se révèle totalitaire – Avec par rapport à l'homme l'infériorité institututionnalisée, sacralisée, de la femme et l'interdiction de  l'apostasie ; la musulmane, religion de l'irresponsabilité  en matière de racisme occupe le haut du pavé

 

Multi C -

Mais c'est dieu qui nous demande de ne pas renier notre confession

 

Changelejeu -

Ah, vous ne m'aviez pas dit que vous étiez musulman...?

 

Multi C -

Je suis né à Oran

 

Changelejeu -

Çà je le savais, mais cela étant, ce n'est pas marqué sur votre front que vous êtes de confession musulmane, tous les arabes ni tous les Kabyles ne sont pas tous musulman ni même croyant – j'ai même vu devant des caméras de télévision au Proche Orient un Cisjordanien courageux vivant à Ramallah sans se masquer le visage se déclarer incroyant...

 

Multi C -

Pour nous ce sont des traîtres !!!

 

Changelejeu -

Donc vous n'acceptez pas les différences en matière de religion ni l'incroyance, mais cela ne me dit toujours pas ce que vous entendez par '' la diversité ''...???

 

Multi C -

Élever nos enfants selon notre religion

 

Changelejeu -

Même si les prescriptions que vous qualifiez de divines sont contraires à nos lois civiles ?

 

Multi C -

Oui, sinon où serait la diversité, je vous le demande ?

 

Changelejeu -

Vous faites allusion aux mariages ?

 

Multi C -

Oui, c'est aux parents que revient la décision de dire à leurs enfants qui ils doivent épouser !

 

Changelejeu -

Bien, celles ou ceux [ même si ces derniers sont plus nettement faiblement concernés ] ne veulent pas que l'on choisisse pour eux et dans d'autres cas n'envisagent pas de se marier ni pour d'autres de ne pas faire d'enfants ?

 

Multi C -

Ce ne serait pas de bons musulmans, ils seraient terriblement châtié !!

 

Changelejeu -

Pourtant, j'ai entendu dire que les musulmans imprégné de leur religion d'amour faisaient preuve d'une tolérance sans égale

 

Multi C -

Cela n'a rien a voir; pour le bien de '' nos filles '', un bon musulman '' qui aime bien châtie bien '' !!

 

Changelejeu -

Mais dites-moi ne s'agit-il pas là de propos pris dans la bouche de Laurent FABIUS et portés sur la place publique par le défunt Georges FRÊCHE, que dans le cas présent, me semble-t-il, vous reprenez à votre compte ?

 

Multi C -

Je ne comprends pas là...

 

Changelejeu -

Rassurez-vous vous n'êtes pas le seul, mais revenons à la diversité; suivant votre propos, il ne faudrait plus interdire les mariages forcés, les crimes d'honneurs, la polygamie institutionnalisée , de juger selon le droit musulman tous les litiges tant du pénal, tant du civil...

 

Multi C -

Oui c'est cela diversité et bien d'autres choses...

 

Changelejeu -

Oui j'imagine, comme la lapidation, séparer dans les lieux publics les hommes des femmes, appliquer la sharia comme bon vous semble ou pour d'autres populations pratiquer l'excision sur les fillettes

 

Multi C -

Oui, c'est bien cela, la diversité c'est le respect de toutes les cultures

 

Changelejeu -

Donc pour résumer sur ce point, la diversité c'est le déni des différences, la négations des singuliers, des protections ou des droits de la personne [ droits de l'homme – complété des droits de la femme et des droits des enfants ]

 

Multi C -

Nous nous considérons que '' nos sœurs et nos frères '' doivent vivre exclusivement sous le regard du clan !

 

Changelejeu -

Nous sommes bien d'accord la diversité c'est la négation des différences par le refus de la mixité sociale, se cantonner dans ce que l'on nomme le repli identitaire – ce qui est un paradoxe puisque l'assujettissement de la conscience à la loi du clan c'est la négation même de la personne et le rejet de son identité en tant qu'être singulier

 

Multi C -

Je ne comprend pas ce que vous entendez par '' les différences '' !

 

Changelejeu -

Je vais vous citer un exemple relativement courant – lui était athée - elle de confession protestante, eurent deux enfants, vécurent une longue période heureux, se séparèrent - devinrent et restèrent de bons amis

 

Multi C -

Et leurs enfants sont-ils athées ou ont-il une religion ?

 

Changelejeu -

Adultes à cette question qui leur fut posée, ils répondirent que leurs convictions ne regardaient qu'eux et pas les autres

 

Multi C -

Sans religion, vous voyez bien que cette famille s'est complètement déstructurée !!!

 

Changelejeu -

Ah non

Je peux vous affirmer qu'ils s'entendent tous très bien et même qu'ils partagent en commun quelques unes de leurs passions y compris dans le cadre de l'élargissement familial actuel qui forme désormais pour chacun d'eux leur environnement

 

Multi C -

Oui mais enfin la dame [elle] allait au Temple et ce qui m'étonne c'est qu'elle n'est pas emmené avec elle ses enfants...???

 

Changelejeu -

Ce sont des démocrates – qui ont le sens de l'honneur, ils en ont parlé – surtout se sont parlé – décidé de respecter la liberté de conscience de leurs enfants – qu'ils ne les endoctrineraient pas, mais valideraient et encourageraient leur pratique naturelle [ commune à tous les enfants ] du questionnement – soit dit autrement non leur transmettre par principe '' quoi penser '' mais les aider à apprendre par eux-même à '' comment penser ''

 

Multi C -

Certes, mais à un moment ou à un autre leurs enfants ont probablement remarqué que leur mère se rendait dans un lieu de culte ?

 

Changelejeu -

Oui !

Leurs enfants bien-traités vers sept ou huit ans avaient accepté le point de vue de leur deux parents: à savoir que ce que faisait leur mère ne concernait qu'elle

 

Multi C -

Et vous, pouvez vous passer de religion ?

 

Changelejeu -

Allègrement - Ce n'est pas pour rien ni par hasard que je me nomme Changelejeu

 

Multi C -

Votre mode de penser rationnel devrait vous permettre de comprendre que sans dieu la vie n'a pas de sens et que l'émancipation des hommes par le progrès n'est qu'un mythe !

 

Changelejeu -

Je pourrais vous répondre que '' votre dieu '' ne s'est guère manifesté jusqu'ici ni pour le meilleur ni pour le pire, qu'au vu de ce constat il n'est guère de raisons de s'enfermer dans des espérances sans lendemain – seuls nos actes sont la cause de notre avenir

 

Ici  il y a deux horloges qui ne marquent pas le même temps – en dépit de fortes pressions sociales pour les faire rentrer les femmes à la maison elles ont [ dans le monde libre ] obtenus des acquis - qu'il est peu probable qu'elles s'en délestent – les hommes eux traînent les pieds...

 

Multi C -

Quel rapport faites-vous avec le temps et le progrès ?

 

Changelejeu -

Par exemple malgré le peu de bonne volonté des hommes pour partager avec les femmes les tâches domestiques, l'invention de la machine à laver le linge par exemple permet aux femmes de gagner du temps pour elles

 

Nul ne conteste l'intérêt utile d'un couteau de cuisine quand bien même d'autres s'en servent comme d'une arme – dans ce cas ce n'est pas le progrès qui est en cause mais bien l'idéologie

 

Multi C -

Et quel est ce monde libre ?

 

Changelejeu -

Le monde non musulman ni celui inféodé aux fondamentalistes chrétiens des États-Unis ni encore celui fasciné par l'intégrisme catholique d'Irlande et de Pologne par exemple...

 

Multi C -

Cela ne vous interpelle pas qu'un pays comme les États-Unis ne comprenne pas la loi d'interdiction du port de la burqa

 

Changelejeu -

Cela ne peut me surprendre d'un pays ou la majorité des gens n'accepteraient pas d'élire un Président incroyant, ravagé par les fondamentalistes, où la peine de mort n'est pas abolie, ou le niveau d'endoctrinement dans toutes sortes de croyances [ou superstitions] pour une forte majorité des populations est tel qu'ils ont ont avalés toutes les couleuvres pour accepter sans discuter que leur pays parte en guerre contre l'Irak

 

Multi C -

Et l'autre horloge ?

 

Changelejeu -

Concerne le mythe du progrès censé rendre plus heureux le citoyen de nos démocraties issues des lumières

 

Multi C -

Ce mythe est un vaste échec et fait la preuve que quand les hommes sont éloignés de dieu rien de bon n'advient possible !

 

Changelejeu -

Près de ce que vous nommez dieu les effets, dans un passé récent, n'ont pas été probants...et c'est oublier qu'il y a toujours eu des athées et des agnostiques – faut-il vous rappeler que votre prophète avait ordonné et fait décapité certains d'entre eux - notamment fut assassiné décapité le poète critique Kab been Al Ashraf à Médine, opposant à Mahomet ?

 

Le progrès c'est ce qui permet aux personnes de trouver du temps pour elles – mêmes, mais aussi d'être plus près de leur proches – sachant que ce n'est pas toujours le cas pour tous

 

Multi C -

Ah, vous voyez que vous confirmez que ça ne fonctionne pas !

 

Changelejeu -

Oui et non, je peux émettre ce constat, que le temps promis et obtenus par le progrès; plus exactement par quelques innovations technologiques est compromis, surtout par une insuffisante  créativité, gaspillé, grappillé par la mauvaise gestion des hommes

 

Donc ce n'est pas le progrès en soi mais bien les croyances, les superstitions, les idées reçues, l'idée '' purement idéologique des bienfaits du progrès '' par défaut de pragmatisme, la misogynie religieuse, des incompétences dans bien des domaines qui sont la cause de la plupart des maux et du mal être que connaissent beaucoup trop de personnes dans nos sociétés

 

Multi C -

Dieu sauvera les hommes !!!

 

Changelejeu -

Nous feriez-vous du Odon VALLET sans le savoir ?

 

Multi C -

Je m'en Flatte !!!

 

Changelejeu -

Voyez-vous, il est parfaitement vérifiable que nous sommes fait certes de poussières d'étoiles mais aussi en partie de poussières de dinosaures – et mieux le comprendre permettra de saisir plus sûrement le sens de la vie et de favoriser des rapports sociaux de meilleure qualité

 

Multi C -

Que voulez-vous dire ?

 

Changelejeu -

Qu'il est vain de remplacer ce que je ne sais pas momentanément '' comment expliquer '' par une croyance, et dit en passant, sans la disparition des dinosaures nous ne serions pas là à en parler

 

Multi C -

Vous croyez que J C, ce dieu des chrétiens vaut mieux que le nôtre ?

 

Changelejeu -

Non ! Je vous rassure je ne m'assoie pas à coté d'un René GIRARD et je considère la crucifixion comme le pire et le plus malsain des exemples à donner aux plus jeunes

 

Multi C -

Dans la foi chrétienne, le Christ en portant sa croix porte avec lui le poids de tous les péchés des hommes – prouvant que l'on pouvait se sacrifier pour l'amour de tous les autres comme dans le film '' des dieux et des hommes ''

 

Changelejeu -

D'abord aimer tous les autres c'est la négation même de l'amour – prétendre expier pour tous les humains c'est se croire meilleur que les autres, c'est de la vanité ou en tous cas pédant – quand à la notion de péché ou le sens qui lui est attribué est plus que discutable

 

Multi C -

Pourquoi disiez-vous que le Christ est un exemple malsain ?

 

Changelejeu -

Se sacrifier, mourir pour des idées non seulement c'est stupide et génère le fanatisme, oppose toujours deux mondes totalitaire comme dans le film '' des dieux et des hommes '', une histoire qui ne fait qu'exalter une fois de plus la stupide notion masculine du sacrifice, voire dans de nombreux cas le terrorisme dont font les frais parfois tragiques en dommages collatéraux les enfants, les incroyants et les agnostiques

 

Multi C -

Donc vous ne concevez pas que l'on puisse se sacrifier pour les autres

 

Changelejeu -

Non !

S'il l'on en a la force et le courage, risquer sa vie pour porter secours à une personne en danger, la risquer en état de légitime défense ou pour libérer son pays d'un envahisseur est sans rapport avec la notion de sacrifice ou de souffrir '' comme un bien '' - en l'occurrence relève des devoirs du citoyen

 

Multi C -

Donc pour vous « aimez-vous les uns les autres » n'a pas de sens ?

 

Changelejeu -

Non c'est même un non sens, comme je vous l'ai dit auparavant, donc au même titre qu' '' aimer tous les autres '' c'est la négation même de l'amour – ne comptez pas sur moi pour aimer des prophètes plus faux et plus misogynes les uns que les autres ni des dictateurs chantres du collectivisme équivalant à la soumission à un dieu et je compte bien que l'humanité finisse par les juger au nom des droits de l'humain

 

Multi C -

A vous seul vous êtes pire que la réunion de Satan et Lucifer !!!

 

Changelejeu -

Là, vous me faites trop d'honneur, Crab, un de mes amis, dans sa fable : '' Satan ( de ) ; et du rire de Vénus....''

 

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/satan-de-et-du-rir... rappelait que Satan en tant qu'adversaire du mal s'était opposé à l'infanticide que s'apprêtait à commettre [ au nom de ses fantasmes ] Abraham

 

... et que Lucifer '' porteur de lumière '' était un symbole féminin qui faisait horreur aux chrétiens

 

Multi C -

Je ne veux plus vous entendre, je me bouche les oreilles et de ce pas je m'en vais

 

Morale :

Tenter de dialoguer avec un croyant ? [ Rire ] C'est bien plus facile d'approcher le mur de PLANK et continuer de chercher à savoir ce qu'il y a derrière  - Crab - le 28 Octobre 2010

 

Note

 

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Un génie : Giovanni Di Dondi...
Giovanni de'Dondi vivant avec son père de 1348 à 1359, partage son intérêt pour l'astronomie et l'horlogerie. En 1348 il commence ses travaux sur son astrarium. Il décrit en détail son projet dont la conception intellectuelle se poursuit jusqu'en 1364 : ses manuscrits sont suffisamment précis pour pouvoir reconstruire des exemplaires de son horloge. Il finit sa vie comme enseignant à l'université de Pavie. Il meurt à Milan en 1389.


D'aprés l'ouvrage de Jean Gimpel  sur l'histoire de l'Industrie  du Moyen Age, qui parle longuement de Giovanni Di Dondi , on apprend avec stupéfaction qu'au XIVème siècle un horloger de génie réussit à construire un "astrarium" , c'est à dire une horloge suffisamment complexe pouvant décrire les mouvements des astres connus à l'époque : Mercure,Venus, Lune, Mars , Jupiter et Saturne. En 1965 on a retrouvé à la Bibliothèque d'Oxford le traité de Dondi qui explicite, avec force schémas et 130 000 mots la construction de ce calculateur.

Des rouages ahurissants de complexité ( doubles ovales indentés tournants dans une roue indentée en interne, le tout monté sur un mécanisme différentiel mettant en mouvement différé d'autres rouages... ) taillés dans du bronze , qui donnaient heures , minutes, dates , fêtes mobiles ( Pâques et Pentecote) , mouvements des astres....L'auteur du livre , Jean Gimpel , explique minutieusement sur une vingtaine de pages les mouvements , oscillations et échappements de ce mécanisme. […/...]

Suite :

'' Satan ( de ) ; et du rire de Vénus....''

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/satan-de-et-du-rire-de-venus/

22/10/2010

Brève du 22 Octobre 2010

Brève du 22 Octobre 2010

 

At_interrog.jpeg

Symbole de l'incroyance: continuons de penser - image numérique - Crab -

Arguments fallacieux scandaleux

Lu dans ALGÉRIE - FOCUS

...mais aussi entendu dans la bouche de pseudos antiracistes français

Extrait d'une propagande [courante] - ou la pratique de l'amalgame; citation:

« Néanmoins, des parallèles peuvent être dressés avec la situation en Europe des années 1930 :

- une crise économique et sociale profonde qui ébranle les fondements du système ;
- une peur croissante à l’égard de l’immigration, qui mettrait en danger l’identité européenne.

Avec une différence notable : désormais, les immigrés menaçants ne sont plus juifs mais musulmans. »

Fin des extraits

-

Cette assertion est d'autant plus lâche que les juifs d'entre les deux guerres étaient français et non des immigrés – que durant la période d'occupation nazie la majorité des français ont évité le pire en refusant de collaborer sur la base des lois de Pétain

-

L'essentiel des arguments d'une tentative qui vise à traiter les arabes ''de tous musulmans'' pour mieux taxer de populiste ou de raciste tous ceux qui critique les pathologies que ne peut manquer de générer par sa nature [dans le fond et la formeune religion justement raciste

-

Quel mépris de faire passer les Français ou les européens pour des imbéciles incapables d'esprit critique ou de ne pas savoir faire la différence entre culture et inculture

-

Il est scandaleux d'autant plus en période de crise économique, de chômage, d'emplois précarisés que l'État ou les collectivités territoriale participe d'une façon ou d'une autre au financement de lieux de culte musulman - – une discrimination qui manifestement une fois de plus laisse sans réaction la Haldealors que l'urgence est la formation des personnes aux métiers nouveaux et d'anticiper les filières futures

-

Sinon pourquoi ne pas financer des maisons de l'athéologie, des agnostiques...ect... ?

C'est le même problème que j'ai souvent rappelé – les religions sont présentent dans les livres scolaires et non la tradition de l'athéisme dont la spécificité est la critique philosophique et théorique de toutes les philosophies [dont les religions] matérialistes de la volonté de domination

Crab  22 oct 2010

Notes:

Piqûre de rappel: Laïcité

Étymologie Laos: Unité de la population

Union de tous les êtres humains sur la base de 3 choses:

*Liberté de conscience

*Égalité de statut des options spirituelles: pas de privilège publique des religions ou de l’athéisme.

La laïcité n’est pas une option spirituelle mais un principe de traitement égalitaire de toutes les options spirituelles.

*Universalité de la puissance publique: La puissance publique ne doit promouvoir que l’intérêt commun à tous et ne doit pas financer de lieu de culte mais tous ce qui est d’ordre du service public. Henri Pena-Ruiz

Sy de la religion.jpg

Symbole des religions duelle - image numérique - Crab -

Suite sur...

''ISLAMOPHOBIE''

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/0-a-islamophobie/

 

 

19/10/2010

PANTHÉON

Brève du 18 Octobre 2010

 

Victoire contre les turcs le 12 septembre 1683 à Kahlenberg .jpg

Victoire contre les turcs le 12 septembre 1683 à Kahlenberg; une victoire européenne capitale

PANTHÉON

 

Nicolas premier de France locataire de l'Élysée

Littéralement, le nom hongrois de son père, né le 05 Mai 1928 à Budapest, issu par son père d'une famille de la petite noblesse hongroise anoblie le 10 septembre 1628 par l'empereur Ferdinand II de Habsbourg, était donc nagybócsai Sárközy Pál Istvan Ernő. En effet, son ancêtre, un paysan qui s'est battu contre les Turcs, n'a pas réellement reçu de titre de noblesse, mais le droit de faire précéder son nom de celui de son village d'origine ainsi que d'utiliser des armoiries

La famille Sarkozy possédait des terres et un petit château dans le village d'Alattyán, près de Szolnok, à 92 km à l'est de Budapest, où elle a exercé des fonctions électives à la mairie de Szolnok (dont celle d'adjoint au maire pour le grand-père de Nicolas Sarkozy). Cependant, son niveau de vie était plus modeste que ce qu'a pu indiquer Pal Sarkozy[3].

À l'arrivée de l'Armée rouge en 1944, la famille est expropriée et s'exile. Après de nombreuses péripéties à travers l'Autriche et l'Allemagne, Pál Sárközy rencontre un recruteur de la Légion étrangère à Baden-Baden. Il s'engage pour cinq ans et fait ses classes en Algérie à Sidi-Bel-Abbès. Il est cependant déclaré inapte au départ pour l'Indochine, puis démobilisé à Marseille en 1948. Il francise alors son nom en Pal Sarközy de Nagy-Bocsa.

_

Communiqué

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Je demande solennellement [comme on sut le faire, avant lui, ses ancêtres] à monsieur le Président SARKOZY d'empêcher l'entrée des Turc dans la communauté Européenne et non d'arrêter les musulmans à Poitiers mais de ne plus les laisser traverser la Méditerranée

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C'était depuis l'eau-delà un communiqué que lui adresse Charles Martel le dissident français désormais interdit de figurer dans les derniers livres d'Histoire de la France remis aux scolaires lors de cette rentrée 2010

Message intercepté...par Crab -

Dernière minute : Guy Môquet très reconnaissant envers le Président se serait dit-on chargé en personne de la bonne qualité de la transmission...

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Révisionnisme

Je résume ce que dit Madame Simone Veil sur les propos tenus par des individus irresponsables comme l'abbé Pierre et R Garaudy; ''que l'histoire est flagrante – qu'il n'y a rien à cacher – que toute l'histoire doit-être connue – et qu'il vaut toujours mieux qu'il y ait le plus d'histoire possible

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Vidéo A propos du révisionnisme

http://blvids.free.fr/0%20%20Simone_Veil_%c3%a0_propos_du_r%c3%a9visionnisme.mp4

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Vidéo complète sur

http://www.ina.fr/art-et-culture/litterature/video/I05003...

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birkenau.jpg

A l'arrivée à Birkenau

Le premier constat

''...Déjà les hommes et les femmes sont séparés'' ...

http://www.ina.fr/video/I04341522/simone-veil-a-propos-de...

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Notes

Citation: Sur la colline du Kahlenberg aux alentours de Vienne, le 12 septembre 1683, les 250 000 soldats turcs du grand vizir, Kara Mustafa Pacha, sont vaincus par l’armée autrichienne et allemande (70 000 hommes) commandée par le duc Charles V de Lorraine, et l’armée polonaise (30 000 hommes) du roi de Pologne Jean III Sobieski.
Les Turcs sont forcés à une retraite désordonnée et rapide. Le sultan donne l’ordre de décapiter le grand vizir vaincu. C’est la fin de la précédente expansion turque en Europe et le début de la reconquête des pays européens occupés par les Ottomans.
Les Turcs avaient mis le siège devant Vienne le 14 juillet 1683 et déjà une partie des remparts viennois étaient pris. Si Vienne tombait les Ottomans pouvaient poursuive leur invasion de l’Europe (Vienne est à peine à 750 km de Strasbourg, alors que par exemple la distance de Toulon à Dunkerque est de 1100 km !).
Mais plusieurs pays européens surent s’unir pour venir au secours de Vienne et conjurer la menace. Arrivées devant Vienne depuis leurs pays respectifs les forces européennes surent également, pour plus d’efficacité, décider très vite d’avoir un commandement unique centré sur le Roi de Pologne. Celui-ci mena lui-même la charge de cavalerie finale décisive avec ses redoutables lanciers polonais et la cavalerie des autres pays ; peut-être la plus grande charge de cavalerie de l’histoire. La spectaculaire charge de cavalerie du film « Le Retour du Roi » (2003), troisième volet de la trilogie « Le Seigneur des anneaux » de Peter Jackson, présente tellement de similitudes avec la situation et la charge devant Vienne que cela ne semble pas être un simple hasard !
En reconnaissance pour cette victoire, le pape Innocent XI institue la fête du Saint Nom de Marie (elle ne figure plus aujourd’hui au calendrier romain). Les boulangers viennois créent la brioche en forme de croissant (l’emblème ottoman) pour commémorer l’évènement. Ne mangeons plus nos croissants sans une pensée pour les valeureux et intelligents défenseurs de l’Europe qui surent s’unir pour arrêter et faire refluer cette invasion turque ce 12 septembre 1683.
Xavier Merlin

Suite sur...

Les fables du choucas

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/humour-3/

 

 

 

 

 

18/10/2010

Retraites - Suite

Brève

-

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Remettre la pendule à l'heure de notre temps


Publié le 16/10/2010 à 15:20 Reuters

La commission Attali

prône

une autre

réforme des retraites

PARIS (Reuters) - La commission Attali "pour la libération de la croissance" estime que la réforme des retraites actuellement examinée par le Parlement ne suffira pas à résoudre les problèmes de financement du système français après 2020.

Dans le rapport qu'elle a rendu vendredi au président Nicolas Sarkozy, elle propose d'étudier pour l'après-2020 une refonte plus profonde du système français par répartition pour l'orienter vers une retraite à la carte.

Elle reconnaît que les mesures d'âges privilégiées par le gouvernement, cibles du mouvement actuel de protestation, sont la solution la plus rapide pour réduire le trou des retraites.

"Mais le plan gouvernemental ne traite le financement des retraites qu'à l'horizon 2020", souligne la commission présidée par Jacques Attali, ancien conseiller du président socialiste François Mitterrand.

Elle déplore aussi des effets du recul de l'âge légal de la retraite à 62 ans et de la retraite à taux plein à 67 ans.

"Le relèvement de l'âge légal défavorise ceux ayant commencé à travailler très tôt et qui travailleront nettement plus longtemps que la durée légale, alors même que leur espérance de vie à la retraite est inférieure à celle des salariés entrés plus tard sur le marché du travail", écrit-elle.

Elle rejoint ainsi une des principales critiques adressées à la réforme actuelle par les grandes centrales syndicales.

Elle souligne que le dispositif carrières longues, pour ceux qui ont commencé à travailler avant 18 ans, ne permet pas de tenir compte complètement de la pénibilité du travail.

MODÈLE SUÉDOIS

Elle suggère d'accompagner la réforme de mesures favorisant le recrutement et le maintien dans l'emploi des seniors.

Mais elle recommande surtout de mettre dès maintenant à l'étude deux pistes, proches de celles proposées par le syndicat CFDT, par exemple, pour préparer l'après-2020.

La première consiste à permettre aux actifs d'arbitrer "plus librement" entre durée de retraite et niveau de pension par le jeu de la durée de cotisation et des surcotes ou décotes.

La commission insiste sur le rôle essentiel du niveau des décotes et surcotes (diminution ou augmentation du niveau des pensions en fonction de la durée de cotisation).

"Les montants actuels découragent les départs précoces et n'encouragent pas du tout les départs retardés", écrit-elle.

La deuxième orientation consisterait à mettre en place un système de comptes individuels de cotisation retraite, inspiré du modèle suédois.

Chacun cotiserait le même pourcentage de son salaire et ces cotisations, qui continueraient à financer le régime par répartition, seraient créditées sur des comptes individuels.

"Tout euro versé ouvrirait des droits, à tout âge, quel que soit son statut", expliquent les auteurs du rapport.

Les actifs pourraient, là aussi, arbitrer librement entre montant de leur pension et durée de leur retraite. Au départ à la retraite, le compte individuel serait converti en pension et le niveau de celle-ci calculé selon l'âge et la génération.

Pour la commission, ce dispositif a l'avantage de clarifier les droits à la retraite des jeunes générations et de bénéficier directement aux salariés modestes qui ont des carrières longues et dont le compte serait alimenté plus longtemps.

Emmanuel Jarry

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Texte en caractères gras surligné en jaune par moi-même     Crab

Suite sur

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2010/09/24/retraites.html

15/10/2010

DES RACINES SANS LES AILES

DES RACINES

SANS LES AILES

Toulouse - Pont Neuf.jpg

Commentaires; extraits de la LADEPECHE.fr

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Sous le Pont Neuf, coule "Des racines et des ailes"

On attendait Toulouse, ce fut Vesoul. Et encore, c'est trop méchant pour le grand Jacques. N'empêche, hier soir, l'émission «Des Racines et des ailes» sur France 3, devait nous illuminer, nous autres Toulousains et patients habitants des berges de la tumultueuse Garonne, du Val d'Aran jusqu'aux rives extrêmes de la pointe de Grave !

Las, le voyage promis tourna court en mauvaise croisière qui fleurait bon la vieille violette recyclée à la mode Technicolor. Tels des conquistadors de pacotille, nos hérauts cathodiques ne nous offrirent que désuètes verroteries et clichés surannés. Ainsi donc, Garonne nous menacerait tous de nous engloutir au moindre Autan mauvais, nous obligeant à vivre dans des cases sur pilotis. Ainsi encore, Toulouse-la-Rose ne serait qu une lente addition de moulins, de pastels, de briques de façade, saupoudrée d'un nuage de Caravelle, de Concorde rangés au musée du Ciel éternel. Le tout miraculeusement sauvé par un A380 royal en rotation sur les Pyrénées. Quel mauvais bouquet !

Est-ce ainsi que les Toulousains vivent ? Bien sûr que non, bien sûr. Quid des défis du temps présent, de la cicatrice d'AZF, aux lignes d' acier de ces trains à grande vitesse dont nous poussons les feux ? Quid encore de nos énergies quotidiennes et répétées pour voler toujours plus haut ? Rien de tout de cela dans ce peu ragoutant plat écran. Trop souvent, la mauvaise télé convoque les morts à table. Nous sommes plus forts : nous nous régalons sans eux…

Yann BOUFFIN

Abondant courrier à la suite de l'émission «Des Racines et des ailes», dont le numéro spécial Toulouse diffusé mercerdi soir sur «France 3» a séduit tout autant qu'il a agacé ses télespectateurs.

Si le but était de faire parler de l'émission « Des Racines et des ailes » et de Toulouse, la ville sur laquelle « France 3 » a braqué ses caméras mercredi soir en prime time, c'est gagné.

Dès ce jeudi matin, nos lecteurs ont abondamment commenté le numéro « spécial Toulouse » présenté par Louis Laforge, qui, disons-le à la lecture du courrier que nous avons reçu, a séduit tout autant qu'il a agacé ses téléspectateurs.

Violette compte au nombre de ceux qui se réjouissent du spectacle offert mercredi soir par « France 3 ». « Un document admirable, de belles images de la ville, une vision fidèle de Toulouse », écrit cette lectrice dont l'avis fait écho aux louanges tressées par Jean-Jacques, parti loin de la Garonne pour raison professionelle. « Je vis dans la nostalgie de ma belle Ville rose dont j'ai retrouvé, mercredi soir à la télévision, l'âme, le charme, l'identité forte et éternelle qui me manquent tant ici, au-dessus de la Loire ».

Le rose de la brique, la voix de Nougaro en fond sonore, les merveilles de la Salle des Illustres, « tant de richesses révélées à la France entière et qui, soit dit en passant, valent bien celles d'Albi. A quand le classement de Toulouse au patrimoine mondial de l'Unesco ? », s'enthousiasme Philippe.

« L'écume de Toulouse et de la Garonne »

« Quel reportage convenu, que de clichés poussiéreux » estime, pour sa part, Monique, « Toulousaine et fière de l'être » qui porte ce jugement sans appel : « une émission qui ne traite que de l'écume de Toulouse et de la Garonne. Rien sur l'excellence médicale de la ville, rien sur la recherche, rien sur le Cancéropole », vitupère cette lectrice. « Ringard », grince aussi Nicolas, en ironisant : « un spécial Toulouse dans lequel je n'ai pas reconnu ma ville », écrit cet étudiant. « Quelques images vieillottes de la Cité des Capitouls perdues dans un film soporifique entre Val d'Aran et estuaire de la Gironde. On espérait mieux », conclut le jeune homme dont la déception est aussi grande que celle de Mercedes, petite fille d'immigrés venus de l'autre côté des Pyrénées. « Résumer la mémoire espagnole de la ville à un cours de flamenco est caricatural et ridicule », estime cette téléspectatrice. Un raté historique, mais également « un formidable loupé contre-productif pour Toulouse que cette émission a complètement oublié de projeter dans l'avenir », considère Pierre. « Ce n'est pas ainsi que nous rattraperons notre retard face à Bordeaux », conclut, amer, ce téléspectateur.

A l'inverse, Joëlle, bouleversée par « la beauté de l'émission diffusée mercredi, remercie « France 3 » qui nous a révélé, même à nous Toulousains, les merveilles de notre ville. Toulouse est la plus belle de France ! ».

Sous le Pont Neuf, coule "Des racines et des ailes"

On attendait Toulouse, ce fut Vesoul. Et encore, c'est trop méchant pour le grand Jacques. N'empêche, hier soir, l'émission «Des Racines et des ailes» sur France 3, devait nous illuminer, nous...

Fin des extraits

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Source

http://www.ladepeche.fr/article/2010/10/15/927517-Des-Rac...

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DES RACINES

SANS LES AILES


Remarques

Ce type d'émission [à l'image de ce qui se fait trop souvent sur les chaines publiques] se contrefiche de la créativité et des innovations qui font le génie des populations

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Elles n'ont pas d'autres souci que de colporter tout ce qui a trait à l'obscurantisme religieux

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Elles sont plus versées à faire connaitre le ''quoi penser'' et non le ''comment penser''

Crab

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Suite sur...

Caenville pionnière

Non pas ''quoi penser'' - mais ''comment penser''

http://blvids.free.fr/Universit%c3%a9_populaire_de_Caen_....

 

14/10/2010

DIGNITÉ DE LA FEMME

ÉGALITÉ

 

FEMMESHOMMES -

Burqa et le Senat02-476aa.jpg

Remerciements les plus vifs et les plus chaleureux à monsieur Robert Badinter, sans oublier les combats menés par madame Élisabeth Badinter ni celui des associations lucides qui ont sut faire abstraction de toutes les polémiques politiciennes ou  sectaires en participant activement à toutes les actions qui ont permis le vote de l'interdiction de la burqa

Remerciement à Jean-François COPÉ qui avait pris position sans ambages [je ne peux citer tous les élus qui avaient compris que c'est la liberté de conscience qui était – est - contestée et menacée par l'islam politique]

Crab

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Mardi 14 septembre 2010 2 14 /09 /2010 19:28

Robert Badinter vote l'interdiction de la burqa le 14 septembre 2010 au Sénat

Le sénateur Robert Badinter vote l'interdiction de la burqa le 14 septembre 2010

Séance au Sénat du 14 septembre 2010 (compte rendu intégral des débats)

PRÉSIDENCE DE Mme Monique Papon

 

Mme la présidente. La parole est à M. Robert Badinter, pour explication de vote.

M. Robert Badinter.
Madame la présidente, madame la ministre d’État, mes chers collègues, toutes les convictions qui se sont exprimées au cours de ce débat sont honorables, et je conçois parfaitement qu’une diversité d’approches se manifeste, notamment sur le plan juridique, dès l’instant où, unanimement, nous condamnons le port de la burqa ou du niqab.

Je commencerai par deux observations d’ordre juridique.

Je souhaite d’abord adresser une recommandation à Mme la présidente, en ce qu’elle représente le président du Sénat. Quel que soit le texte voté, il faut que le président du Sénat, comme celui de l'Assemblée nationale, le défère au Conseil constitutionnel. Je rappelle que le Premier ministre a demandé l’avis du Conseil d’État, mais qu’il ne l’a pas suivi, en tout cas pas complètement, et que, sur cette question, l'Assemblée nationale a adopté une position différente. Par conséquent, le risque existe.

Je n’aurai garde de prendre part à la discussion sur l’étendue de ce risque. Il revient maintenant au Conseil constitutionnel de se prononcer pour savoir si ce texte est constitutionnel ou non. Il doit être saisi immédiatement pour éviter que ne perdure une sorte d’indécision juridique, toujours préjudiciable quand il s’agit d’une question de cette importance, et que l’on soit contraint d’attendre l’inévitable question prioritaire de constitutionnalité. Je souhaite que cela soit fait. Je ne suis pas absolument convaincu que ce ne soit pas déjà l’opinion du président du Sénat et de celui de l'Assemblée nationale.

Sur la conventionnalité, ensuite, je formulerai deux remarques.

Dans un arrêt du 13 février 2003, la Cour européenne des droits de l’homme a adopté une position très claire sur les mesures d’interdiction de tous ordres prises par le gouvernement turc, soulignant qu’elles étaient parfaitement compatibles avec la Convention européenne des droits de l’homme. En 2010, une nouvelle décision est intervenue, dont il a été fait état au cours de ce débat : il s’agissait d’hommes portant des tenues montrant leur adhésion à une fraction religieuse extrême. Je le précise pour une raison simple : la Cour européenne des droits de l’homme a souligné que le problème était d’ordre religieux. Or la question dont nous débattons aujourd'hui n’est pas celle de l’atteinte à la laïcité.

M. Jean-Jacques Hyest, président de la commission des lois. Eh non !

M. Robert Badinter. C’est celle de l’égalité des femmes et des hommes, de l’égalité de droits, de condition, de la dignité et de la liberté des femmes,…

M. Roland Courteau. Très bien !

M. Robert Badinter. … toutes choses qui n’étaient pas soumises à la Cour européenne des droits de l’homme dans son arrêt du 23 février 2010. Il n’est pas indifférent de le rappeler.

J’en viens à mon propos essentiel : pourquoi vais-je voter ce projet de loi ? N’étant pas naïf, je sais très bien quelles étaient les motivations politiciennes à l’origine de ce besoin soudain de légiférer dans ce domaine. Je laisse toutefois cela de côté…

Certains se rendent dans les pays du Golfe et y constatent les progrès accomplis en matière de condition des femmes. D’autres, comme moi, s’intéressent à la vie des instances des Nations unies, en particulier du Conseil des droits de l’homme à Genève. J’ai eu l’occasion de le dire aussi bien à la commission des affaires européennes qu’à la commission des affaires étrangères, nous ne devons pas nous aveugler : nous sommes en présence de deux visions des droits de l’homme et nous vivons l’un des affrontements idéologiques les plus durs que nous ayons connus depuis les années de la guerre froide.

Ce conflit n’est pas, en effet, sans rappeler le temps où les communistes considéraient que s’opposaient deux visions des droits de l’homme, l’une bourgeoise, l’autre socialiste. Aujourd'hui, toutefois, il s’agit d’autre chose. Au sein de ces instances, nous avons constamment face à face, d’un côté, tous les États démocratiques, qui soutiennent le principe de l’universalité des droits de l’homme, et, de l’autre, les États qui répondent que les droits de l’homme sont un cadeau fait par Dieu à l’homme pour le rendre plus heureux sur cette terre, mais qu’ils doivent être interprétés à la lumière de la charia. Je pourrais citer un nombre important de textes qui reprennent cette position. Il n’est qu’à lire la dernière résolution proposée et votée sur l’initiative de la République islamique d’Iran lors de la 35e session du conseil des ministres des affaires étrangères de l’Organisation de la conférence islamique, qui réaffirme cette doctrine. Nous sommes bien là en présence d’un conflit majeur, en particulier pour les laïcs que nous sommes.

Lorsqu’interviennent des questions essentielles, telles que la peine de mort ou la résolution adoptée par le même conseil des ministres des affaires étrangères de l’Organisation de la conférence islamique en 2004, à la suite d’une protestation de l’Union européenne, sur la lapidation des femmes, cela prend tout son sens. La réponse fut : cela ne vous regarde pas, l’Union européenne n’a pas, au nom de sa conception des droits de l’homme, à nous donner de leçons sur ce que doit être la loi islamique.

Or il est des principes avec lesquels nous ne pouvons transiger, notamment celui qui nous occupe aujourd'hui, à savoir le principe fondamental, presque primordial, de l’égalité entre hommes et femmes.

Nous ne cessons d’œuvrer pour le faire entrer plus avant dans nos sociétés. Or, ce principe est défié. Et ceux qui le défient le font, croyez-moi, en connaissance de cause, pour tester nos facultés de résistance.

On ne peut pas transiger avec ce principe, s’accommoder d’un signe, d’un signal, d’une tenue. Car le voile est porté où, et par qui ?

Ce sont les talibans qui contraignent les femmes à porter la burqa. Dès que les talibans prennent ou reprennent le pouvoir, la burqa devient obligatoire et, parallèlement, les filles sont retirées des écoles. C’est à ce moment-là que le port de la burqa prend toute sa signification.

Au-delà même du port du voile intégral dans la rue, il faut voir le symbole qui est transmis, exprimé, inscrit dans cette tenue. Nous devons donc réagir. Il s’agit, je le répète, d’un principe avec lequel nous ne pouvons pas transiger, que nous ne pouvons pas abandonner.

Je rappelle simplement, mais c’est essentiel, que le droit à la liberté d’opinion figure dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
À l’époque, on avait précisé, ce qui était singulier, « même religieuse » ! Alors, la liberté d’opinion religieuse ? Oui ! La liberté de pratiquer sa religion ? Oui ! La laïcité les garantit à chacun.

Mes chers collègues, en interdisant le port du voile intégral dans l’espace public, vous n’empêchez personne de pratiquer sa religion. Ce n’est pas une dragonnade ou une inquisition ! Nous favorisons au contraire, comme je le souhaite, par la construction de mosquées et par l’expression constante de notre sympathie, de notre amitié, la garantie à tous ceux qui le veulent d’exercer leur croyance et leur foi.


En interdisant le port du voile dans l’espace public, vous n’empêchez pas celles qui le veulent de pratiquer leur religion, mais vous ne tolérez pas que les éléments les plus intégristes et les plus fanatiques affichent et proclament leur vision, que nous ne pouvons pas accepter, d’une société où les femmes disparaissent de l’espace public et ne sont plus que des fantômes. Cela, non ! Et c’est la raison pour laquelle je voterai ce projet de loi.

(Applaudissements sur l’ensemble des travées.)

Robert Badinter.jpg

 

Tous les voiles islamiques

auraient

faire l'objet de la même interdiction!

 

Pourquoi?

Considérons l'argument le plus hypocrite qu'il ait été tenu d'entendre ou de lire ça et là pour maintenir le port du voile: Soit l'inégalité entre femmes et hommes

  Une association qui caricature à qui mieux mieux le combat féministe universaliste *   [voir les deux  notes en fin de texte] fait savoir qu'ils et elles connaissent le vrai sens du port du voile – hé oui mon bon monsieur, ma bonne dame, c'est qu'ils  et elles sont évolués nos ''féministes''

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citation

le symbole et l'acte – par le bureau des chiennes de gardes

- publié en 2005 -

''Qu’est le voile? D’abord, un symbole religieux et politique. C’est le symbole d’une oppression des femmes, d’une diabolisation du corps et de la sexualité des femmes, qui fait des femmes des indécentes par nature qu’on doit camoufler, entraver. Pour nous la réalité et l’interprétation de ce symbole ne souffre aucune contestation.'' Fin d'un premier extrait

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Mais, [comble de l'inconscience) ajoutent t-ils et ajoutent t-elles;

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''Mais le voile a une réalité concrète, il est porté par des filles et des femmes bien réelles. Et nul-le ne peut entrer dans l’esprit de ces femmes pour y découvrir les raisons précises qui les motivent. Porté par conviction religieuse, par lassitude, par faiblesse ou par calcul, par provocation ou par ras-le-bol, les personnes qui se sont donné la peine de rencontrer des femmes voilées savent combien il existe de cas différents. Qu’une fille, qu’une femme veuille avoir la paix en rentrant chez elle, veuille ne plus être insultée, veuille aller à l’université et ait besoin pour cela du soutien parental, etc., quelle féministe pourra l’en accuser? Accusons le voile, et ses justifications religieuses intolérablement sexistes. Mais pas les porteuses de voile. '' Fin d'un deuxième extrait - un propos qui n'est rien de plus qu'expression d'une ''démarche'' diffamatoire

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Nous savions qu'Épicure avait ses pourceaux – à présent nous savons que les féministes universaliste ont leurs chiots

Pourquoi, ces arguments sont diffamatoires?

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Ils affectent d'ignorer que la problématique dans l'interdiction du voile à l'école et dans les administrations, n'était pas la différence qu'il peut y avoir entre ce qui relève du symbole et ce qui revient à un acte individuel, car par la loi, le but recherché à l'époque était la protection de l'enfance et plus particulièrement d'éviter la maltraitance intellectuelle des fillettes …

Sinon c'était [c'est] admettre que les parents ont ce droit terrifiant, celui de ne pas respecter la liberté de conscience de leurs enfants – [ce qui est trop souvent le cas] la porte ouverte à l'endoctrinement et à sa conséquence: L'aliénation, l'assujettissement de la conscience des fillettesà une idéologie masculine fondée sur des valeurs négatives ou guerrières [les patriarcats]

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C'est en ce sens qu'il est en effet regrettable que la loi d'interdiction... sous la Présidence CHIRAC n'ait pas été voulue applicable sur l'entier espace public

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Dans l'état actuel, compte tenu des tentatives de faire régresser les droits des femmes, pourquoi à nouveau ne pas remettre en débat l'interdiction des voiles islamiques sur l'ensemble du territoire ce qui démontrerait que notre démocratie est capable de lever toute ambiguïté quand à la signification réelle du voile?

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Les deux notes

* Ces aboiements [1] sont des propos qui trouveraient toutes légitimités chez Ardisson où ''l'humour'' misogyne reflet d'une masculinité ancestrale y est considéré comme unecroyanceaussirespectablequ'uneautreou un Ruquier recevant un Tarik Ramadan sans lui opposer sur le plateau un de ceux que ce dernier s'empresse de dénigrer avec la malhonnêteté intellectuelle qui le caractérise

* Dans ''Fausse route'' [à partir de la page 186] Élisabeth BADINTER décrit très bien ce bricolage idéologique qui se fait passer pour féministe

[1] Mais ce ne sont qu'aboiements de ''féministes de basse-cour'' l'esprit encore englués dans les moraline religieuses - la caravane passe, maintient son cap; la prise de conscience que le féminisme est universel et ne peut être assujetti aux bricolages idéologiques identifiés par des différenciations que tente d'installer dans notre pays un clanisme résurgence d'un âge révolu, ennemi de la femme libre et autonome   Crab

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Vidéo:

Elisabeth_Badinter__Simone_de_Beauvoir

http://blvids.free.fr/Elisabeth_Badinter__Simone_de_Beauvoir.mp4

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Simone VEIL

http://blvids.free.fr/Simone_Veil___la_loi_d_une_femme.flv

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Brève du 17 Otobre 2010

Publié dans Marianne2

Les ANI, ces informations que zappent les médias...

Eric Conan - Marianne | Dimanche 17 Octobre 2010 à 07:01

Il est des ANI, actualités non identifiées. Elles passent mais on n'y prête guère attention. Préférant l'écume de l'information à son fond. Dernier exemple en date, la validation par le Conseil Constitutionnel de l'interdiction du voile intégral dans l'espace public, passé quasiment inaperçue.

Trou noir.jpg

C'est devenu une banalité de le relever : certaines informations, certains faits tombent dans des « trous noirs » de l’actualité. Ils disparaissent des pages, des écrans ou des micros sitôt annoncés quand d’autres sont disséqués, mis en scène ou montés en polémique jusqu’à plus soif. Dernier exemple : l’annonce, il y a une semaine, le 7 octobre, de la décision du Conseil constitutionnel de valider la loi interdisant la dissimulation du visage dans l'espace public et visant implicitement le voile intégral. Des brèves ici et là, mais peu de détails sur le contenu et les motivations, et encore moins de commentaires. Un silence d’autant plus remarquable que la position supposée du Conseil Constitutionnel avait fait l’objet d’une avalanche d’hypothèses, supputations et suppositions au moment de l’annonce et de la discussion de ce projet de loi controversé.

On se souvient que nombre d’acteurs politiques, notamment à gauche, avaient excipé du barrage inévitable et imparable du Conseil Constitutionnel pour adopter une position de défausse : ils se prononçaient contre le voile intégral mais aussi contre une loi l’interdisant en expliquant avec assurance qu’elle était contraire à la Constitution, aux droits de l’homme, au droit européen, au respect de la personne humaine, etc… Et que le Conseil constitutionnel serait contraint de la recaler. D’ailleurs, disaient-ils, n’était-ce pas déjà la position ancienne, invariable et réaffirmée du Conseil d’Etat et de ses fins juristes qui avaient encore expliqué en mars dernier qu’une interdiction totale du voile intégral était juridiquement impossible ? Position du Conseil d’Etat dont s’était prévalue la direction du Parti socialiste pour ne pas voter la loi, consigne qui ne fut d’ailleurs pas suivie par plusieurs députés socialistes ainsi qu’une grosse partie des sénateurs socialistes emmenés par Robert Badinter, lequel avait argumenté contre la position officielle de son parti en assurant qu’une interdiction était conforme à la Constitution. Il avait raison et le Conseil, gardien de cette dernière, l’a dit très clairement et très simplement.

Avec quels arguments ? Ils n’ont quasiment pas été précisés par les médias alors qu’ils tiennent en quelques lignes. Le comble est que, parmi les très rares commentateurs, beaucoup ont raconté que le Conseil jugeait que « la laïcité » française permettait cette interdiction ou qu’il « réaffirmait le caractère laïc de la République française ». Ce qui montre qu’ils n’ont même pas pris la peine de lire le très court texte de la décision qui n’invoque à aucun moment la laïcité, avec laquelle le voile intégral n’a rien à voir, comme beaucoup de juristes avisés l’avaient déjà souligné.

Le Conseil Constitutionnel n’invoque en effet pas une seule fois la laïcité, terme totalement absent de sa décision qu’il a appuyé en validant les trois arguments invoqués dans la loi et dont aucun ne fait allusion à la religion : 
1) le voile intégral constitue un « danger pour la sécurité publique »,
2) il ne répond pas aux « exigences minimales de la vie en société »,
3) il place les femmes « dans une situation d'exclusion et d'infériorité manifestement incompatible avec les principes constitutionnels de liberté et d'égalité »
En invoquant les nécessités de « l'ordre public », dont l’état des mœurs d’une société fait partie, le Conseil Constitutionnel a rappelé que la loi a le droit de défendre « les actions nuisibles à la société » et estimé que la dissimulation contrainte ou volontaire du visage en faisait partie. Il affirme ainsi nettement que la cohésion sociale nécessite le respect de l’état juridique et culturel de la société française : les « exigences minimales de la vie en société » sont évidemment celle d’une société bien précise et pas virtuelle ou imaginaire. Le Conseil Constitutionnel s’oppose ainsi nettement à la thématique du multiculturalisme qui n’a cessé d’inspirer le Conseil d’Etat. Mais aussi la plupart des médias. Est-ce pour cela qu’ils toussent et qu’on ne les a pas entendus depuis la décision du Conseil ?

Fin de l'article

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Djamel Debbouze avait déclaré, pour justifier la burqa, ….''que l’Islam était en Europe depuis 3000 ans'' [RIRE]

La réponse d'une lectrice, dans un forum:

"Cette “dimension” est entrée en Europe par la violence les armes à la main en 711, en 721 cette dimension assiégeait la ville de Toulouse , toujours les armes à la main et il fallu l’alliance de toutes les populations d’Aquitaine, Basques , Vascons , Wisigoths, Gallo-Romains pour la repousser une première fois, et elle remettait le couvert en 732 aux portes de Poitiers où il fallut cette fois-ci l’intervention des Francs d’un Charles Martel pour l’arrêter une bonne fois pour toute, et la dimension “européenne” allait encore continuer à piller et ravager toute la Provence et jusqu’aux Abbayes de Cluny et aux Portes de la Bourgogne pour nous faire connaître la “finesse” de sa “culture”, voilà , en gros ce qu’est la “dimension” européenne de l’islam!

Fin

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Le ''visage'' de la mort-

Suite sur...

Conseilmusulman féminin de la fatwa

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/conseil-feminin-de...

 

13/10/2010

''Éthique''

 

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Photo: Maxisciences

 

ÉthiqueLes cellules souches


Un exposé des faits qui démontre l'état actuel de la recherche tout en soulignant que le retard pris par la France  [sans explicitement le nommer] est dû à l'obscurantisme religieux

La vidéo

http://blvids.free.fr/12%20Ethique_et_cellules%20souches....

 

Suite...

 

IN VITRO

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2010/10/05...

 

 

09/10/2010

La laïcité vandalisée par l'islamisme

Vandalisme pudibond : la représentation de Ganymède a été recouverte d'une mosaïque par les censeurs chrétiens.jpg

Vandalisme pudibond: la représentation de Ganymède a été recouverte d'une mosaïque par les censeurs chrétiens



NEUTRALITÉ

Je ne suis pas croyant mais néanmoins je considère comme une lâcheté sans précédent que l'on ait supprimé des manuels scolaire deux épisodes de l'histoire de France; Clovis et Charles Martelil faudra désormais que les parents supplée l'enseignant...


La laïcité

vandalisée parl'islamisme


Ci-dessous un article publié dans LePost

08/10/2010

Licenciée pour port du hijab, l'ex-salariée de la crèche réclame 80.000 euros de dommages et intérêts

 

Cette employée de la crèche expérimentale Baby-Loup de Chanteloup-les-Vignes, dans les Yvelines a été embauchée en 1997.

En 2003, enceinte, elle a cessé son travail, indique Le Parisien.

Fatima a repris son travail, le 8 décembre 2008, après deux congés parentaux.

" Elle est revenue couverte de noir de la tête aux pieds. Seul son visage était visible. Et elle a exigé de travailler avec le voile " explique Natalia, la directrice de la crèche.

Cette dernière a alors mis en avant le règlement intérieur qui fait " obligation  de respecter une neutralité confessionnelle, philosophique et politique ".

La salariée a campé sur ses positions.

Dans un premier temps Fatima a été mise à pied avant d'être licenciée pour faute grave le 20 décembre 2008.

La salariée a alors porté l'affaire devant les prud'hommes, tout en alertant la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité ( Halde ).

La Halde * qui a rendu un avis défavorable pour la crèche, l'accusant de discrimination.

Le conseil des prud'hommes de Mantes-la-Jolie, doit se prononcer le 8 novembre prochain sur ce dossier.

Fatima réclame 80.000 euros de dommages et intérêts à la crèche.

Si l'ex-salariée obtient gain de cause, cette crèche unique en France, ouverte 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7,  pourrait fermer ses portes.

La philosophe Elisabeth Badinter, marraine de la crèche Baby Loup, voit dans cette affaire " une illustration de plus de la volonté des extrémistes de tester la République et ses limites "

Source LePost


Cette tentative politique d'imposer le voile dans cette crèche n'est que la conséquence de l'énoncé d'un non sens définit par '' la laïcité positive '' comme s'il pouvait y avoir une laïcité négative – grotesque...


 

DISCRIMINATION ?

 

* Comment peut-on parler de discrimination, [ selon la Halde ], quand cette personne n'a pas d'autre visée que d'exhiber '' sa prétendue croyance '' dans le but politique de la banaliser au yeux des enfants sans observer le moindre respect de leur liberté de conscience, ni les '' convictions '' de leurs parents - au mépris des règles fixée par la crèche et de la neutralité confessionnelle qui sied aux personnels d'encadrement dans les établissements publics destinés à recevoir des enfants


Imaginez qu'une personne dans la crèche disent aux enfants devant-elle que sa croyance est une absurdité – une autre que son dieu ne vaut pas un pet de lapin - ce serait tout autant légitime

Est-ce qu'en tant que parents vous accepteriez de confier votre enfant à un personnel qui se fait ouvertement la guerre devant des enfants en bas age ?


C'est une guerre déclarée  par les islamistes à la laïcité - donc menée sur l'espace public comme cela se faisait avant que la loi de 1905 érige en symbole fondateur la neutralité salutaire pour le bien de tous les citoyens


Dans notre pays le Droit ne doit pas devenir une sorte d'abstraction juridique dont mécaniquement devraient bénéficier les minorités car cela ferait prévaloir le communautarisme et les pressions de la Halde sont inadmissibles car elles vont dans ce sens


Considérer [ comme la Halde ] les minorités comme ontologiquement victimes c'est la négation même de ce que montre l'islam politique, dans de nombreux quartiers – le refus de de ses adeptes de s'adapter, de respecter les valeurs de la république


Dire une fois de plus que l'athéisme est aussi une tradition philosophique qui prend corps bien avant notre ère - tradition bien vivante jusque dans l'actualité – un fait historique que veulent ignorer tous ceux qui voudraient introduire ''l'enseignement'' du fait religieux dans les programmes scolaire


Alors que loi d'interdiction de circuler affublé d'un voile intégral [ burqa ] vient d'être validée par le Conseil Constitutionnel ; il est bon de rappeler que le port de n'importe lequel des voiles islamique est un acte politique et non la manifestation d'une liberté religieuse


Ne rien leur céderet s'il faut une fois de plus légiférerfaisons-le !


N'oublions jamais que chaque fois que l'on met un islamiste [ homme ou femme ] hors d'état de nuire que beaucoup d'arabes applaudissent partout dans le monde – beaucoup d'algérien considèrent que nous avons en France récolté le pire en laissant s'installer notamment dans notre pays beaucoup de partisans du FIS qui risquaient la prison en Algérie


A cet état de guerre engagé contre les valeurs qui font notre identité nationales s'ajoutent les politiques glauques d'un Bouteflika qui pour se maintenir non seulement cède régulièrement aux pressions des islamistes mais se fait le champion du « french-bashing » - [ dénigrement de la France ]


Chaque fois que ''l'homme musulman'' vous jette à la figure la colonisation – rappelez lui que l'esclavage et la traite des esclaves inter-africaine avait dépassé [ en quantité ] considérablement l'activité des européens dans ce sordide domaine...

( Que malgré des lois récente d'interdiction l'esclavage est toléré dans plusieurs pays africains...)


Autant rappeler que la loi '' dite Taubira '' [ lois du 25 février 2005 ] devra être abrogée car elle laisse accroire l'idée que la traite des esclaves est exclusivement le fait des blancs contre les noirs [ ou des occidentaux *] – c'est aux historiens qu'il appartient d'écrire l'histoire et non pas aux politiques de rédiger les livres destinés aux milieux scolaires


Il est bon aussi de préciser, pendant toute la longue période où une petite minorité de français pratiquaient la traite des esclaves, la majorité d'entre-eux étaient encore assujettis à l'aristocratie et au roi


Et d'insister que quoi qu'il ait été de sombre, la France finit par abolir l'esclavage dans ces colonies  - Crab


* Rappeler que...

Deux autres traites ont existé également: la traite exercée par les Arabes sur les Noirs et celle pratiquée par les Noirs sur d’autres Noirs

Par ailleurs inadéquat la qualification de la traite négrière comme génocide

Les traites négrières n’ayant pas pour but d’exterminer un peuple, il est nécessaire de distinguer ainsi le processus d’extermination des juifs et la traite négrier


Bien comprendre qu'il n'y à rien à tirer de bon ou de respectable de l'islamique – ci-dessous:


Notes

La Présidente du Tribunal de Bobigny à demandé à une voilée intégrale de se découvrir le visage sinon de quitter la salle

La momie ambulante mortifère a choisi de sortir en déclarant avec le sordide culot qui caractérise ces ennemies de la femme '' qu'elle s'en doutait ''...


Un tribunal islamique à Islamabad [ en 2007 ] avait lancé une " fatwa " exigeant la démission de la ministre du Tourisme, Madame Nilofar Bakthiar, pour avoir posé " de manière obscène "


Il s'agissait de photos où elle était entourée de parachutistes français

En fait, la ministre avait fait un saut en tandem et embrassé sur la joue son instructeur masculin, une fois de retour au sol...


Ce saut avait pour objet de permettre de lever des fonds en faveur des enfants victimes du séisme d’octobre 2005 qui avait fait plus de 73.000 morts dans le nord du Pakistan


Ci-dessous une enquête par FABRICE TASSEL


Crèches : tous voiles dehors?

 

La Halde, qui avait donné raison à la salariée d’une crèche des Yvelines licenciée pour port du foulard islamique, pourrait finalement revoir son jugement.

Un lieu unique en France est menacé. Il s’agit d’une crèche, Baby Loup, la seule à ouvrir sept jours sur sept et 24 heures sur 24. Située dans le quartier populaire de la Noé, à Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), elle permet, grâce à ses horaires, à des femmes seules de travailler. Infirmières, policières, serveuses, elles représentent 40% des 171 familles inscrites ; 230 enfants, dont les parents travaillent presque tous avec des horaires flexibles, sont accueillis à l’année, y compris la nuit de Noël. Et cela dure depuis 1991, dans cette ville parmi les cent plus pauvres de France.

Baby Loup est menacé par un conflit du travail qui a dégénéré en une affaire de voile symptomatique du climat régnant dans certains quartiers. En résumé, une ex-salariée, Fatima Afif, a été licenciée en 2008 pour avoir refusé d’ôter son voile islamique comme l’exigeait le règlement de l’association. Du côté des prud’hommes, l’affaire se réglera début novembre. Le versement des indemnités réclamées par la plaignante pèsera sur les finances de la crèche.

« Rigueur ». Mais, depuis le 1er mars, l’affaire va bien au-delà de ce conflit du travail. Dans la dernière délibération signée par Louis Schweitzer avant son remplacement par Jeannette Bougrab à la tête de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations (Halde), l’institution a créé la surprise en donnant raison à Fatima Afif. Estimant que Baby Loup était une structure privée et donc ne pouvait pas licencier une salariée pour port du voile sans la discriminer. Choqués, des parents ont demandé une nouvelle saisine de la Halde, qui décidera lundi s’il faut rouvrir une instruction. MRichard Malka, un des avocats de Baby Loup, dénonce «le caractère extraordinairement partisan»,«l’absence de rigueur juridique et, malheureusement, le manque d’honnêteté intellectuelle» de la Halde. Il s’appuie sur une batterie de décisions judiciaires validant des licenciements prononcés par des sociétés privées pour port de signes religieux ostentatoires ou d’une tenue vestimentaire prohibés par le règlement intérieur.

Mais la nouvelle position de la Halde aura aussi une portée politique, car Jeannette Bougrab a plusieurs fois critiqué la décision du 1er mars. «Comment une crèche qui bénéficie de fonds publics et s’insère dans une politique publique peut-elle être purement privée ? Baby Loup assure une mission de service public. C’est le même débat que pour l’école, mais sur les enfants de 0 à 3 ans il y a un vide juridique», explique-t-elle à Libération. Elle confie aussi que si la Halde ne revient pas sur la décision de mars «ce serait un échec pour [elle]». Pour autant, elle ne démissionnerait pas.

Le parcours de Fatima Afif a beaucoup compté dans la tournure qu’a pris l’affaire. Entrée dès 1991 dans la crèche, elle a été formée par Baby Loup jusqu’à en devenir directrice adjointe. Alors qu’elle avait quitté l’école en cinquième, elle a décroché, en 1997, le diplôme d’éducatrice de niveau bac + 2. L’exemple type d’un parcours émancipateur (33 femmes ont été formées par Baby Loup) comme l’a souhaité Natalia Baleato, la fondatrice de la crèche. Réfugiée politique ayant fui le Chili puis l’Argentine, cette sage-femme s’est jurée, en ouvrant Baby Loup, d’offrir aux femmes un outil d’émancipation. Se définissant comme «laïque mais respectueuse de toutes les opinions», cette petite femme énergique n’hésite pas à rappeler à ses 18 salariées l’importance du droit de vote, «car la plupart ne savent pas ce qu’est la vie dans un pays totalitaire». Natalia Baleato se souvient de longues discussions avec Fatima Afif, sur la place des femmes ou la sexualité. A partir de la moitié des années 90, Fatima venait parfois avec un hijab, mais l’enlevait sans difficulté à l’entrée de la crèche, comme le font encore les six musulmanes de Baby Loup. Puis, au retour d’un congé de six ans (deux grossesses et des congés d’éducation parentaux), elle a radicalisé sa position jusqu’à exiger de porter en permanence un voile qui la couvrait de plus en plus. Jusqu’à un affrontement violent avec sa directrice et son «licenciement pour faute grave». Contactée, son avocate n’a pas souhaité commenter l’affaire.

«Ce conflit n’est pas personnel, il témoigne d’une réelle évolution du quartier face au fait religieux», insiste Natalia Baleato. Aziz Bentaj, un consultant nommé par Pierre Cardo, l’ancien député et maire de Chanteloup, estime aussi qu’à travers Baby Loup «la transmission de l’éducation par les femmes sera perdue si elle est prise en otage par le fait religieux». De son côté la mairie de Chanteloup-les-Vignes apporte «un soutien plein et entier à Baby Loup et désapprouve la Halde», selon un haut fonctionnaire, qui admet cependant «une divergence d’analyse avec Baby Loup sur une supposée menace islamiste, et une envie de ne pas jeter de l’huile sur le feu dans une ville où, globalement, existe un pacte de fait entre les différentes confessions».

«Boulevard». Quel que soit son degré, le débat est bel et bien devenu politique. Elisabeth Badinter, la marraine de la crèche, estime que la délibération de la Halde «ouvre un boulevard à toutes les revendications qui se servent de la religion» (le Point du 15 juillet). La preuve, après la décision de la Halde, une salariée catholique de Baby Loup a demandé, en vain, à ne pas travailler à Pâques. Photo Louise Oligny

Fin de l'article


Nous ne cessons de prévenir depuis bientôt près de vingt ans des tentatives de destruction de la laïcité par des groupes qui se sont interdits à eux-mêmes de continuer de penser  - Crab

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Madame Elisabeth Badinter déclarait...

« Je suis convaincue qu’une majorité de la population française, quelle que soit son origine, est pour la laïcité en tant que protection de la liberté de chacun. En revanche, j’entends monter l’intégrisme religieux depuis une bonne dizaine d’années, que ce soit chez les musulmans ou chez les juifs. Ce sont désormais les religieux qui, d’une certaine façon entendent peser sur les communautés. Alors certes la laïcité n’est pas en danger du fait d’un consensus majoritaire pour la faire respecter. Mais la pression des religions est bien plus importante que jadis. Plus grave encore, pendant 20 ans, la montée du différentialisme a fait des dégâts. Cette conception étrange de la liberté qui dit « je fais ce que je veux et je vous emmerde », sans souci des autres, constitue un profond mouvement de société. En France, nous sommes très influencés par cette notion anglo-saxonne de la liberté. Résultat, le communautarisme monte en puissance. » ( extrait d’un entretien avec le magazine Macité, 2003 )


Piqûre de rappel

Teglath-Phalazar Ier qui a décrété que '' Les femmes mariées qui sortent dans la rues n’auront pas la tête découverte. La concubine qui va dans la rue avec sa maîtresse ( l’épouse ) sera également voilée. La hiérodule ( prostituée sacrée ) qu’un mari a prise sera voilée dans les rues. Et celle qu’un mari n’a pas prise ira la tête découverte. La prostituée ( non sacrée ) ne sera pas voilée, sa tête sera découverte '' [ 12 siècles avant notre ère ]

Étymologie

Au septième siècle de notre ère le mot voile n'existe pas dans la langue arabe [du coran]

Le mot arabe traduit en français par voileson utilisation dans le coran

Sourate 36
YA-SIN (YA-SIN)
83 versets
Pré-Hégire

[.../...]

9. et Nous mettrons une barrière devant eux et une barrière derrière eux; Nous les recouvrironsd'un voile: et voilà qu'ils ne pourront rien voir

Fin de l'extrait

Rien à voir avec un prétendu port de voile sur la tête  - Crab

La vidéo:

http://blvids.free.fr/Elizabeth_Badinter___Les_petits_b%c...


Suite sur...

Caenville pionnière

Où, non  '' quoi penser '', mais '' comment penser ''

http://blvids.free.fr/Universit%c3%a9_populaire_de_Caen_....

05/10/2010

IN VITRO

in vitro.gif

Robert G. Edwards

 

Le Vatican ou l'église se réfère à une invention spirituelle machiste sus-nommée ''dieu'' pour prétendre que ce dernier est le seul maître de la vie pour marquer une fois de plus son opposition à la fécondation in vitro


Comment ces individus peuvent-ils se prétendre garant d'un quelconque souci de moralité ou d'humanité eux qui passe leur temps à inculquer [par l'endoctrinement] des inepties à propos des origines et l'évolution ?


Le prix Nobel de médecine 2010 récompense l'heureux papa de millions d'enfants dans le monde. [et ce n'est que justice] C'est en effet Robert G. Edwards père de la fécondation in vitro, qui reçoit cette année les honneurs de la célèbre fondation suédoise et les dix millions de couronnes suédoises qui vont avec (1,1 million d'euros). La technique révolutionnaire sur laquelle il a travaillé une grande partie de sa vie avait déjà été récompensée en 1978 par la naissance du premier «bébé-éprouvette», Louise Brown


Vidéos :

http://blvids.free.fr/Le_Figaro_Sciences_et_Technologies_...

 

Suite sur...

LUCY la belle histoire...

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/lucy-sapiens/

 

Crab   - 05 Octobre 2010

 

03/10/2010

Violences urbaines: La cité du Mâle

CENSURE ?

Évitée de justesse

 

Diffusion d'un documentaire sur Arte

Malika Sorel.jpg

Malika Sorel


Citation ; ''On n’a eu de cesse, bien au contraire, de se voiler la face devant la réalité des situations qui se produisaient sur le terrain, hantés par la seule crainte de la stigmatisation'' Malika Sorel


Article

La cité du Mâle, le docu choc enfin sur Arte

Daniel LECONTE, France-info, 29 09 2010
envoyé par FranceInfo. - L’info video en direct.

Daniel Leconte était l’invité hier matin de France Info pour revenir sur un documentaire, La Cité du Mâle qui évoquait les rapports hommes - femmes dans la cité Balzac à Vitry en banlieue parisienne, là ou en 2002 avait été brulée vive Sohane par son petit ami. Cette affaire avait à l’époque défrayé la chronique et avait notamment donné naissance à l’association "Ni putes Ni soumises" dont est issue la secrétaire d’Etat à la ville, Fadela Amara.

Le documentaire, dont la diffusion avait été initialement prévue pour la rentrée sur Arte, avait été déprogrammé au tout dernier moment. Les accusations avaient alors fusé, bidonnage d’un coté, censure de l’autre. Et le documentaire était resté dans les cartons alors que cette déprogrammation avait généré un énorme buzz.

Venu présenter la soirée "Thema" d’hier soir, au cours de laquelle La cité du Mâle serait finalement diffusé, Daniel Leconte a une nouvelle fois fait face à la critique, la journaliste de France Info reprochant au documentaire d’être un travail médiocre présentant des propos sans leur contexte. Accusation à laquelle Daniel leconte a répondu en faisant remarquer que le contexte allait être donné par l’émission et que c’en est justement le but.*

 

En outre

Daniel Leconte précise que toutes les personnes interviewés sont filmées de face et ont toutes signés pour autoriser la diffusion


Ajoute que le référé dont parlait une partie de la presse est une contrevérité - qu'il n'y a jamais eu de référé de déposé pour demander l'interdiction de la diffusion de ce film documentaire

Ce documentaire a donc été diffusé hier soir sur Arte, et est consultable pendant une semaine sur le site de la chaine Franco-allemande. Je le place juste ci-dessous également afin que vous puissiez le voir en contexte avec les propos de Daniel Leconte.

Si vous souhaitez voir l’intégralité de la soirée Théma diffusée hier soir, vous pouvez la retrouver sur le mini site qui lui est consacré. Vous aurez alors l’intégralité du contexte si ardemment défendu par son présentateur.-

Fin de l'article

* Après la diffusion, au cour du débat qui s'ensuit


Avant la diffusion...

Lien en fin de l'article

Remarques

C'est effarant cette négation de la réalité dans les banlieue ou sévit dominante la dictature des gros bras – ou le seul enjeu comme dans tous les lieux et pays où le patriarcat logiquement use des pires violences morale [par la loi] et physique [par l'emprisonnement et l'assassinat] pour régner, en France pour contrôler un quartier


Toutes mes sources d'informations depuis de nombreuses années me remontent que la cité Balzac n'a pas l'exclusivité de cette violence misogyne, phallocrate, et homophobe [qui trouve son origine dans les textes des religions duelle *]

Pour certains, c'est une minorité et le documentaire leur donnent l'impression de généraliser disent-ils...


Oui c'est une minorité – mais une grosse minorité; cette minorité fait la loi – cette minorité n'est pas tombée du ciel, elle le produit d'une éducation où la femme n'est rien de plus qu'un objet, une marchandise – que dans tous les cas elle est la propriété de l'homme ou du clan, ce que beaucoup de gens, dans notre société, ne cessent de dénoncer sans trouver suffisamment d'écho dans les médias


Un soulagement le documentaire a été diffusé suivi du débat prévu après la projection..     Crab

* La pire de toute et dominante à l'origine de la résurgence du patriarcat dans nos banlieue est celle de ''l'homme musulman'' puisque désormais c'est ainsi qu'il faut désigner cette idéologie moyenâgeuse [ou idéologie des gros bras]


Notes

"La cité du mâle" - REPROGRAMMATION
Mercredi 29 septembre à 21h35 dans la THEMA
« Femmes pourquoi tant de haine ? »
Le 31 août, ARTE a déprogrammé dans l'urgence le documentaire La cité du mâle, après avoir pris connaissance une heure avant la diffusion des risques encourus par une personne liée à ce film.
La chaîne le diffuse mercredi 29 septembre à 21h35, ainsi que l’ensemble de la THEMA Femmes, pourquoi tant de haine ?, après avoir procédé aux modifications permettant en particulier d'assurer de manière plus effective l'anonymat de certains protagonistes du film, et d’éviter tout risque de diffamation

Retour à Vitry, où Sohane fut assassinée dans un local à poubelles, et coup de projecteur sur les agressions machistes dans les cités.

Présentation du film

2004, à Marseille : Ghofrane, 23 ans, est lapidée. 2005, à Neuilly-sur-Marne : Chahrazad, brûlée à 60 % par son ex-petit ami, est maintenue plus de six semaines dans un coma artificiel. 2009, Oullins, dans la banlieue de Lyon : Fatima, 22 ans, est étranglée par son frère… La jeune femme s’était fiancée et avait trouvé un emploi. Chaque jour, les services de police enregistrent plus d’une vingtaine de plaintes pour des actes de délinquance similaires… Cathy Sanchez s’est immergée plusieurs semaines à Vitry, là où, en 2002, Sohane, 17 ans, est morte brûlée vive dans un local à poubelles… La réalisatrice, qui s’était mobilisée à l’époque, veut comprendre comment les choses ont évolué. Pourquoi les violences faites aux femmes sont-elles trop souvent ignorées ou minimisées ? À travers les scènes de la vie quotidienne, les dits et les non-dits, se dégagent les valeurs autour desquelles se construit une certaine identité masculine et le constat d’une situation qui ne cesse de se dégrader

Sources : Tous les liens en bas de page


Malika Sorel, qui participe au débat de la Thema « Femmes : pourquoi tant de haine ? », apporte un point de vue engagé sur les questions soulevées par les deux documentaires

Malika Sorel est membre du Haut conseil à l'intégration. Elle a publié l’ouvrage "Le puzzle de l'intégration - les pièces qui vous manquent" (Mille et une nuits). Ingénieure de l’École polytechnique d’Alger et diplômée d'un troisième cycle de Sciences-Po, elle a occupé la fonction d’ingénieur, puis celle d’ingénieur d’affaires et de recrutement de cadres dans des PME appartenant au secteur de la défense et des télécommunications.

Avez-vous été surprise de la violence des propos tenus par les jeunes dans le documentaire ?
Non, pas le moins du monde, non plus d’ailleurs que des expressions des visages, car j’ai déjà vu tout cela dans une autre vie, de l’autre côté de la Méditerranée. Du fait de l’importance des flux migratoires, il était hautement prévisible, en raison même du fonctionnement de ces populations, qu’elles reformeraient leurs sociétés d’origine sur la base de leurs propres normes collectives. Il est par ailleurs important de mentionner que la crise morale, intellectuelle et politique profonde que traverse notre société y aura grandement aidé. Notre société doute en effet profondément, et n’a plus guère confiance en elle-même ni en ses ressorts profonds.

Comment décririez-vous les visions qu’ils ont de la femme ?
Il n’existe à leurs yeux que deux catégories possibles pour une femme : « pute » ou « soumise ». C’est, bien malheureusement, cette vision de la femme qui leur est transmise dès le plus jeune âge au travers de l’éducation qu’ils reçoivent. Les femmes qui refuseront de se soumettre aux lois ou contraintes édictées par le groupe devront le plus souvent subir l’enfer sur Terre. Ce n’est pas du tout fortuit que Fadela Amara ait choisi d’intituler son association comme elle l’a fait. Il eût été salutaire de préciser qu’il ne s’agissait nullement là d’une évolution de la vision de la femme dans la société française du XXe siècle, mais que nous nous trouvions confrontés, pour un certain nombre de raisons, à une vision importée. Si cette vérité avait été dite par les pouvoirs publics, cela aurait aidé les populations de l’immigration à intégrer les données propres à la société française. Non seulement cela n’a pas été fait, mais on n’a eu de cesse, bien au contraire, de se voiler la face devant la réalité des situations qui se produisaient sur le terrain, hantés par la seule crainte de la stigmatisation. Ajoutons également la dictature du relativisme culturel et l’idéologie de la diversité culturelle, qui ont peu à peu pris en otage notre société. Voilà ce qui a constitué un formidable terreau pour la transplantation d’une misogynie qui se traduit par une rare violence non seulement à l’égard des femmes, mais également à l’égard d’hommes qui ne sont pas reconnus comme de « vrais » hommes.

Comprennent-ils la gravité de leurs paroles ?
Non, pas du tout, et le reportage le met très bien en évidence. La gravité se jauge en effet au regard de son propre référentiel de valeurs et de principes. Ce que nous avons vu et entendu dans ce reportage est extrêmement grave au regard des normes collectives de la société française. Cela ne l’est pas pour eux. Leur comportement est tout à fait rationnel. Il répond aux exigences de leur milieu, et correspond simplement au respect de l’enseignement qui leur a été transmis au sein de leur famille, de leur environnement, de leur société. Ces jeunes gens ont le grand mérite de s’exprimer de manière honnête, directe et claire. D’autres ont adopté un double langage qu’il est alors plus difficile, pour le profane, de décrypter.

D’où vient cette obsession de vouloir tout contrôler ?
Pourquoi vouloir tout contrôler ? Dans certaines sociétés, il ne suffit pas de respecter soi-même les valeurs du groupe. Incombe également à chacun la responsabilité de veiller à ce que l’ensemble des normes collectives soient respectées par tous les autres membres du groupe. Le contrôle social sur chaque individu est donc permanent. Inutile de préciser que ce mode de fonctionnement donnera naissance à des êtres qui auront le plus grand mal à grandir détendus et sereins. Cette obsession de vouloir tout surveiller, tout contrôler se nourrit de la conviction, transmise par l’éducation, que le salut de chacun dépend non seulement de son propre comportement, mais également de celui de son entourage.

Les filles semblent prendre à leur compte certaines de ces thèses et réflexes. Est-ce une façon de s’en protéger ?

Se soumettre pour ne pas risquer les foudres du groupe, et même devenir soi-même un loup pour ne pas être attaquée par les autres loups ? C’est une stratégie qui peut parfois être adoptée pour tenter de se construire une bulle d’oxygène ou un instant de répit. Mais il y a en réalité bien plus préoccupant pour notre société : c’est le défi que constitue une éducation conduite comme un « lavage de cerveau », une dépersonnalisation destinée à mieux piloter les personnes. C’est un processus voisin de ce qui a été observé sous certains régimes totalitaires. Cette éducation fabrique des êtres qui éprouvent les plus grandes difficultés à devenir libres au sens où l’entend notre société, à savoir des individus qui disposent d’un libre arbitre, d’une autonomie de décision, d’un sens critique et d’une véritable capacité de raisonnement. C’est là qu’il faut chercher les raisons du malheur de nos enseignants, qui ne sont pas confrontés à une simple problématique de transmission des savoirs, mais à un problème autrement plus complexe qui dépasse de très loin la mission de l’école. Avec une éducation qui de plus n’hésite pas à recourir à la violence psychologique, morale et physique, il n’est pas du tout surprenant que beaucoup de filles constituent à leur tour des maillons de la chaîne et contribuent à la perpétuation du système. Pour ne pas renforcer l’effet pervers d’une telle éducation, il est important de veiller à ne pas verser dans la communautarisation, ce qui se produit lorsque l’on traite au niveau politique avec des communautés ou lorsque l’on considère les êtres sur la base de leur supposée appartenance ethnique ou raciale. Il faut au contraire s’attacher à traiter avec les seuls individus, sur la base de leur appartenance à la famille humaine.
   Interview réalisé par David Carzon

Piqûre de rappel :

Le débat sur l'identité nationale avait pour objet de réfléchir aux valeurs qui pourraient nous rassembler, nous permettre de vivre ensemble – il a été galvaudé...essentiellement par tous les chantres [toujours les mêmes] du relativisme culturel...

Ce débat doit être poursuivi, jusqu'à l'éradication des idéologies moyenâgeuses qui polluent la vie de la majorité des gens dans ''les quartiers'' par tous ceux qui ne supportent pas l'idée même que les femmes puissent-être libres et autonomes    Crab 03 13 2010

domesticviolence61.jpg

 

Vidéos du Film

http://blvids.free.fr/z10%20La_cite_du_male_Le_meilleur_du_pire.mp4

Nota

Votre navigateur ''vous demandera'' [peut-être] d'enregistrer la deuxième * vidéo figurant sur la liste car c'est un point flv

* :

http://blvids.free.fr/z11%20Enquete_Debat_Blog_Archive_La_cite_du_male.flv

 

http://blvids.free.fr/z12%20videos__La_cite_du_male.mp4

 

http://blvids.free.fr/z8%20La_cite_du_Male__le_docu_choc_enfin_sur_Arte.mp4

 

James_Ensor_-_l_intrigue_-_1895_-_90_x_150_cm.jpg

James Ensor - L'intrigue -

 

Suite sur...

Violences urbaines suite

http://laiciteetsociete.hautetfort.com/violences_urbaines./